J'aimerais vous proposez, si ce sujet n'est pas encore existant. Je ne l'ai pas remarqué. Si c'est le cas, n'hésitez pas à m'y reconduire.
J'aimerais vous proposer un endroit dans ce forum ou partager nos réflexions.
La réflexion sur la pratique et la pratique de l'écris sont de plus en plus demander lors de nos formations.
C'est pourquoi j'aimerais trouver un lieu où partager des réflexions, qui, peut-être, pourrons nous faire évoluer dans notre pratique ?
Qu'en pensez-vous ?
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Réflexion sur la pratique
Re: Réflexion sur la pratique
Comme point de départ à ce sujet sur la pratique de la réflexion voici un texte sur la liberté :
Permettre la liberté aux bénéficiaires...
Sommes-nous libre dans le cas où celle-ci est permise ? Sommes-nous bienveillant en la permettant ? La liberté de choix est-elle inscrite dans un texte de loi ? Dans ce cas est un devoir ? Le devoir de liberté est-il oprimant ? Est-ce de la démocratie ? Qu'est-ce que la démocratie moderne est-ce vraiment démocratique ?
Où sont les groupes de vote citoyens de la base grecque de cette fameuse liberté démocratique, liberté de choix et de savoir ?
Le parlement, groupe d'initié par la politique lissée par leur scolarité commune, façonner, statufié, muter.
Les présidents, les rois, les dictateurs, les manigance politiques,...
Le peuple a perdu sa place. Dans un fonctionnement devenu si flou qu'on en perd sa contenance.
La liberté ? Liberté de quoi, de qui et pourquoi ?
La liberté de suivre le mouvement comme tout le monde, d'essayer d'entrer dans sa case étriqué et d'espérer y trouver sa place, de l'air, une possibilité de mouvement.
Tout faire pour ne pas dépasser sa surface induite, informel, limitantes.
La liberté faite de devoirs, de loi et de droit.
Une liberté contraignante censée permettre la liberté de tout un chacun en veillant à ce qu'elle soit sécurisante, citoyenne, politiquement correct.
Non ! Ne nous libérons pas de cette liberté. Vivons dedans ! Mouvons-y-nous. Faisons des alliances, agrandissons des cases.
Cette liberté est permissive tant que nous prenons connaissance de son existence. De ces possibilités. Tant que nous exerçons notre chance de pouvoir faire valoir nos droits, d'émettre nos positions, de dire notre désaccord. Tant que nous exerçons nos droits de citoyen démocrate en allant militer, en sortant dans les rues, en discutant entre citoyens, sans vouloir créer un débat qui déboucherait sur un accord commun, fais d'écrasement, de soumission, de grand gagnant.
La liberté démocratique n'est jamais autant présente que lorsqu'elle est menacée. Vivons donc libre de mettre nos positionnement dans tout et n'importe quoi. D'exister, d'être atypique.
En montrant et en acceptant la différence de chacun sans l'intégrer, sans se lisser. En s'incluant dans la société, sans s'intégrer et le faire de manière consciente. Sans se marginaliser, sans anarchiser sans comploter en secret. Mais le faire au grand jour et aux damnes de chacun.
Les idées, les actes, la mouvance, les manifestations, les grèves, tout cela sont des actes de liberté.
À vous de vous permettre d'être libre. N'attendez pas qu'on vous donne cette liberté, car vous l'avez déjà point vous l'avez toujours eu.
Que pensez vous de cette pensée ? Vas-t-elle trop loin ? Permettez-vous la liberté à vos bénéficiaires ?
J'attend des réponses des critiques du texte ou de ce qu'il contient, j'attend d'apprendre de partager mes pensées et d'écouter les vôtres (ou les lires ).
Permettre la liberté aux bénéficiaires...
Sommes-nous libre dans le cas où celle-ci est permise ? Sommes-nous bienveillant en la permettant ? La liberté de choix est-elle inscrite dans un texte de loi ? Dans ce cas est un devoir ? Le devoir de liberté est-il oprimant ? Est-ce de la démocratie ? Qu'est-ce que la démocratie moderne est-ce vraiment démocratique ?
Où sont les groupes de vote citoyens de la base grecque de cette fameuse liberté démocratique, liberté de choix et de savoir ?
Le parlement, groupe d'initié par la politique lissée par leur scolarité commune, façonner, statufié, muter.
Les présidents, les rois, les dictateurs, les manigance politiques,...
Le peuple a perdu sa place. Dans un fonctionnement devenu si flou qu'on en perd sa contenance.
La liberté ? Liberté de quoi, de qui et pourquoi ?
La liberté de suivre le mouvement comme tout le monde, d'essayer d'entrer dans sa case étriqué et d'espérer y trouver sa place, de l'air, une possibilité de mouvement.
Tout faire pour ne pas dépasser sa surface induite, informel, limitantes.
La liberté faite de devoirs, de loi et de droit.
Une liberté contraignante censée permettre la liberté de tout un chacun en veillant à ce qu'elle soit sécurisante, citoyenne, politiquement correct.
Non ! Ne nous libérons pas de cette liberté. Vivons dedans ! Mouvons-y-nous. Faisons des alliances, agrandissons des cases.
Cette liberté est permissive tant que nous prenons connaissance de son existence. De ces possibilités. Tant que nous exerçons notre chance de pouvoir faire valoir nos droits, d'émettre nos positions, de dire notre désaccord. Tant que nous exerçons nos droits de citoyen démocrate en allant militer, en sortant dans les rues, en discutant entre citoyens, sans vouloir créer un débat qui déboucherait sur un accord commun, fais d'écrasement, de soumission, de grand gagnant.
La liberté démocratique n'est jamais autant présente que lorsqu'elle est menacée. Vivons donc libre de mettre nos positionnement dans tout et n'importe quoi. D'exister, d'être atypique.
En montrant et en acceptant la différence de chacun sans l'intégrer, sans se lisser. En s'incluant dans la société, sans s'intégrer et le faire de manière consciente. Sans se marginaliser, sans anarchiser sans comploter en secret. Mais le faire au grand jour et aux damnes de chacun.
Les idées, les actes, la mouvance, les manifestations, les grèves, tout cela sont des actes de liberté.
À vous de vous permettre d'être libre. N'attendez pas qu'on vous donne cette liberté, car vous l'avez déjà point vous l'avez toujours eu.
Que pensez vous de cette pensée ? Vas-t-elle trop loin ? Permettez-vous la liberté à vos bénéficiaires ?
J'attend des réponses des critiques du texte ou de ce qu'il contient, j'attend d'apprendre de partager mes pensées et d'écouter les vôtres (ou les lires ).