Le Social

Ca fait 1 semaine que je sais maintenant que j'ai gagné au tribunal. Les services sociaux sont passés pour des imbéciles et mon ex a été débouté de toutes ses demandes.
Mon fils sait que je suis là pour sa sécurité. J'ai entamé une psychothérapie avec un psychiatre qui me soutient dans ma démarche. Je sais que la bataille est encore longue puisque maintenant il faut que j'attaque les services sociaux. Quant à mon fils, il va bien. C'est mon compagnon qui s'occupe de sa psychothérapie. C'est son job, et ça lui évite de se confier à quelqu'un qu'il ne connaît pas. Ce n'est pas un vrai psychologue, c'est un psycho-socio-anthropologue, mais ses connaissances sont assez pointues pour subvenir aux soucis de mon enfant. Et tant mieux. Je ne me voyais pas le baloter de psy en psy. Depuis le trou du *** de psy de l'ADPPJ, maintenant je me méfie d'eux comme de la peste.
Enfin voilà, par décision de justice, il a été reconnu que le rapport des services sociaux était un vrai torchon et que le père de mon fils est un homme dangereux, alors qu'il a été porté aux nues par une assistante sociale et un psy.
C'est une grande victoire pour moi, et je sais maintenant que rien n'est impossible. Merci de votre soutien en tout cas.

Je suis ravie pour vous quant à la décision du tribunal. Par contre, si je peux me permettre, je crois que la place de votre conjoint est une place de parent et NON celle d'un thérapeute quelque soit ses compétences. Chacun doit rester à sa place les parents, les éduc, les psys et les as.
bonne continuation

Bonjour Chopinette,
Je suis très émue à la lecture de votre histoire paralellement, je vis la même mésanventure que vous auprès des services sociaux du conseil général de mon département.
Je suis accusée de criminelle au titre de l'art. 375 du c.pénal sur un appel téléphonique anonyme (copine de ma fille) âgée de 14 ans en 1996.
Chopinette, je vois que vous, vous avez gagné pouvez-vous, me transmettre le nom de votre avocat, j'ai grand besoin d'aide, car depuis 2001, je ne cesse de me battre avec le c.général mais tout ce que je dis il le retourne contre moi comme vous. Merci - Colette.

chère chopinette, je suis colette, je t'adresse un sos, j'ai besoin d'aide suite à mon message du 17/12/2008, je viens d'être condamnée par le tribunal administratif, il ne retient que les arguments du conseil général - que puis-je faire contre un faux jugement qui favorise les collègues du conseil général - aide moi - merci

pourrai je avoir le nom de ton avocat merci

bonjour

je viens de tomber par hasard sur votre sujet Chopinette et bien que le sujet soit assez ancien, je me tourne vers vous car je vis la même situation. Si vous pouvez me contacter se serait génial je voudrais savoir comment vous vous en êtes sorti svp. merci

Bonjour à toutes...

En lisant votre histoire, Chopinnette (et très certainement Pitchoune), je me rends compte que les situations se suivent et se ressemblent.
Je suis également dans cette tourmente liée à ce que je pense être la partialité de certains travailleurs sociaux et leurs évaluations en surface (dixit: "nous ne sommes pas là pour connaitre la vérité, savoir les faits, mais pour évaluer comment le papa et vous, voyez la situation..."; "votre enfant ne veux pas nous parler, c'est son choix", "non, nous n'avons pas besoin de voir vos papiers -cf échanges de mails, dépôt de plainte, rapport du psy etc-").

Waaaaouuuuh!!!

Auquel il faut rajouter bien sûr la mauvaise foi de certaines personnes (pour ne pas dire l'"ex")...

J'ai le sentiment de ne pas être entendu dans mon souhait de protéger mes enfants (les faits sont avérés et "constatés") et pire encore d'être qualifiée de procédurière!

J'aimerais Choupinette ou Pitchounne (ou d'autres personnes confrontées à ce problème) qu'on puisse partager nos expériences, nos moyens pour trouver une issue à cela.

Car là, c'est à y perdre la raison!

Merci, merci beaucoup.

Bonjour Lise, je vous donne mon adresse mail si vous voulez me contacter. pitchounne75@hotmail.fr merci par avance

Bonjour tout le monde,
Voici notre problème
Nous sommes des jeunes parents et c'est notre 1er enfant.
Ma femme; nous sommes un couple marié , a accouché le 9 mars à l’hôpital, on va dire "D" à Paris pour ne pas le nommer puis nous sommes restés 15 jours la bas et après 3 semaines on est allé à la PMI de cette même Hôpital "D" à Paris **TOUT S' EST TRÈS BIEN PASSE** MA femme a un petit studio à Paris (hérité de se parents)
On est retourné dans notre banlieue sud ville "N" dans un petit pavillon qu'on a aussi la on nous a conseillé d'aller voir la PMI de notre Commune on va dire "N "pour ne pas la nommer
La puéricultrice de cette ville de banlieue "N" est venue à la maison contrôler ma femme pour le bain du bébé ma femme est un peu timide a été très impressionnée par elle, la puéricultrice son air autoritaire inquisiteur et elle eu peur d'elle, elle a paniqué a fait glisser notre Bbé dans sa bassine d'eau - de bain un peu. **Il faut préciser que la puéricultrice a aucun moment n'est venue montrer à ma femme l'aider à faire le bain de notre BEBE comme elle devait en principe le faire quand c'est le 1er enfant d' une jeune ma femme**
Suite a cela on nous a convoqué tout de suite à la PMI de cette ville de banlieue "N". On nous a imposé prés de 100 heurs de travailleuse familiale TISF (2 a 3 heures par jour tous les jours sauf les mercredi et les WE), ceci jusqu’au fin mois de mai mi mois de juin 2012. Tout s'est bien passé ma femme a bien collaboré et moi aussi car j'ai pris tous me vacances d'été d'un seul coup étant donné la situation. Puis on nous a de nouveau convoqué à la PMI de cette ville de banlieue "N" on nous a dit que malgré les progrès importants de ma femme (en tant que jeune mère), si mon épouse elle ne se rendait pas dans un Centre Foyer Hôpital mère - enfant jour et nuit pour prés de 1 ou 2 mois, où on s'occupe de jeunes mères en "difficultés" on nous ferait carrément un Signalement ? Effaré et effrayé nous avons accepté on a été obligée de "collaborer". Ma femme est alle dans ce centre foyer hôpital depuis 10 juillet 2012 avec notre chère petite bébé de 5 mois à l'heure actuelle. Tous les fins de journée je m y rend aussi...
Le centre nous a montré le rapport Favorable de l' Hôpital "D" et de la PMI de l 'Hôpital "C" à Paris sur nous onma femme avait accouchée ?
Mais aussi le rapport un peu négatif de PMI de notre ville de banlieue "N" sur nous. On a aussi apporté de notre côté une attestation favorable d'une psychiatre très sérieux Parisien sur ma femme. Le Directeur de ce centre mère enfant, se demandait pourquoi on n'avait pas refusé mais ma femme par crainte d'un signalement a accepté de s 'y rendre avec notre Bébé.
Voila là au centre Mère - enfant à tout se passe bien mais on nous dit qu'il faut retourner à la PMI de notre ville de banlieue "N" mais nous ***on est inquiet***.
On voudrait retourner à la PMI de l'Hopital "D "à Paris ou tout s'est bien passé. Ou ne plus aller voir les PMI et aller voir des pédiatres privées. Le centre mère - enfant semble nous défendre ! Mais on n'est pas sûr et certain si on retourne à la PMI de notre ville de banlieue "N" ils vont de nouveau nous chercher sans doute de tas de problèmes à ne plus en finir!
-Car la puéricultrice de la PMI de cette ville de banlieue "N" avait dit que tout c' était mal passé à l’Hôpital "C" a Paris alors que le rapport envoyé par cet Hôpital au centre foyer centre mère - enfant montre que tout s' était bien passé .
-Elle a aussi dit que ma femme était trop âgée 38 ans pour avoir un bébé ?
-Elle a dit aussi qu'elle avait des pbs psychologiques puisqu'elle consulte une psychologue libérale à Paris pour elle même.
-Et qu'elle était une personne mal habille avec ses gestes.
-La PMI de la ville "N" a d’ailleurs appelé sa psychologue pour qu'elle accepte aussi que ma femme aille dans ce foyer centre mère enfant, elle avait l'ere très surprise inquiète.
-Elle la PMI de la vile de banlieue "N" a dit aussi que j'étais absent car j'avais un emploi sur Paris ?

Alors j'ai pris tous mes congés d'été d'un seul coup pour leur monter mon engagement, ma capacité ma motivation immense à m’occuper de notre bébé. Quand ils ont dit cela j’avais aussi pris un congés parental de 12 jours,et ma femme ses congés de maternité bien sûr et ses longs congés d' été aussi comme moi même.
-Pr contre ils me trouvent assez habille de mes gestes moi le père la pMI de la ville de banlieue "N"

Voila les faits et les dires :

-Si nous allions dire à la PMI de l’Hôpital "D" a Paris la situation est ce qu'ils ne vont pas se braquer contre nous car on souhaite retourner la bas et ne plus aller à la PMI de notre ville de banlieue "N" ou visiblement ils nous ont dans le "nez" si on peut dire.
QUESTION :
Que dois -t - on faire SVP. Est ce que le centre mère enfant ou ma femme est allé va nous défendre face à la PMI de notre ville de banlieue "N" ou ils sont assez très très autoritaires ? Que va t il se passer après le foyer mere - enfant pour nous est ce que les choses vont cesser et tout rentrera dans l'ordre nous avons engagé aussi une assistante maternelle agrée dans notre ville de banlieue pour septembre 2012 SVP
Merci pour vos conseils avisés et vo si possible

Je viens de tomber sur votre post, heureuse vraiment pour vous, j'ai connu une situation où j'ai dû moi meme me battre pour garder mes enfants, et j'ai trouvé une avocate vraiment compétente. Ne prenez jamais des avocats commis d'office, ils s'en tapent de votre dossier, ils reçoivent les sous, et vous font poireauter... pas très éthique tout ça. J'ai gagné aussi mais c était vraiement très dure. Donc votre histoire me touche.
Juste un petit aparté : J'ai connu une femme qui elle avait abandonné ses enfants les laissant à son mari dont elle venait de quitté.
Quelqu'elles soient les raisons pour lesquelles elle a quitté son mari (et elle avait raison), je pense qu'abandonner ses enfants c'est impardonnable, bien sûr quand elle a voulu les reprendre la ddass à dit niet, normal non? J'avais pas un sous quand j'ai quitté le père de mes enfants, mais mes enfants je les ai pris avec moi. Depuis de l'eau a coulé sur les ponts, cette mère indigne (c mon avis), se permet de montrer les autres du doigts, d'émettre toutes sortes de critiques sur les autres parents, mais je pense qu'elle devrait avoir un peu plus d'ouverture d'esprit après ce qui lui est arrivée. Mais cela ne lui a pas permis de s'ouvrir aux autres bien au contraire. Ses enfants un peu plus grand aujourd'hui, sont dépressifs... à qui la faute?

Donc oui il faut se battre pour ses enfants, c trop facile de se barrer et de revenir après,... pour moi les enfants ont subi une maltraitance psychologique irréparable qu'elle portera toujours comme une croix.

La vie vaut la peine d'etre vécue... avec ceux que l'on aime