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Re: questionnaire mémoire CAFRUIS

Publié : 27 mai 2005 12:10
par jerome
salut Christophe et les autres...

je n'ai que peu de temps pour te répondre et n'aurai d'ailleurs pas grand chose d'autre à écrire que ce qui a déjà été dit...
par contre je suis également dans cette situation et mon inscription au caferuis et une manière de légitimer ma place, mon statut par rapport à mes anciens collègues... (10 ans ensemble et maintenant je suis le "patron" comme on me surnomme parfois... pas tjs évident à gérer...).
quoiqu'il en soit: bon courage pour ton écrit qui me semble pertinent et que j'apprécierai vraiment de pouvoir lire un jour...

Re: questionnaire mémoire CAFRUIS

Publié : 18 juin 2005 20:07
par mireille
Il est très difficile de devenir chef de service après...
1) le tutoiement qui existait retire de la distance lorsqu'il faut remttre le cadre..l'autre connait aussi vos petits defauts d'ex éduc...
je crois qu'en effet c'est cette proximité qui si on n'arrive pas à la gérer entraine stress de ne pas arriver à manager plus la jalousie de certains et ça c'est certain!

Re: questionnaire mémoire CAFRUIS

Publié : 22 juin 2005 23:07
par gyslaine
Moi je dirai qu'il y a des avantages et des inconvénients.
Avantages : bonne connaissance des différents rouages, de l'organisationnel : c'est un plus.

Inconvénients : les professionnels ont le sentiment de pouvoir faire alliance parce qu'on vient du sérail.
gyslaine

enquête

Publié : 22 juin 2005 23:32
par Gyslaine
20 juin 2005




Mail : gyslaine.jouvet@noos.fr


Je réalise une enquête afin d’effectuer mon mémoire de DEA autour des notions d’identité et de légitimité chez les cadres du social. Si vous êtes cadre ou si autour de vous, vous en connaissez : je vous remercie de leur donner à compléter cette enquête. Je vous remercie d’avance et je ne manquerai pas de vous donner si vous le souhaitez une synthèse de mes travaux ultérieurement.



Questionnaire enquête DEA : « Travail social, action sociale et société »

La construction de la légitimité et de l’identité des cadres n’est pas uniquement une question organisationnelle et fonctionnelle.
Le rôle de cadre implique un ancrage dans l’espace symbolique de l’institution. De mon point de vue, la symbolique du chef nous amène à réfléchir au moins à deux aspects essentiels : le rapport à l’autorité, et les formes de régulation. Le cadre est un acteur important du processus de régulation, dans un rapport qu’il doit sans cesse trouver entre la reconnaissance de l’altérité et l’unité de l’organisation. La légitimité du cadre passe par un certain positionnement, une compréhension du système et sur la reconnaissance au travail au milieu des enjeux de pouvoir. Elle ne peut se construire sans une coopération des équipes. De plus, si le cadre garantit un état de droit, il ne peut agir sans se détacher de son expérience et de son histoire personnelle.


1 – Etes vous de sexe masculin ou féminin ?

2 – Votre âge ?

3 – Secteur professionnel ? Dans quel type d’établissement travaillez vous ?

4 – Votre statut ?

Quelle fonction avez-vous (directeur, cadre intermédiaire….)




Vous encadrez combien de personnes ? Combien de salariés au total dans l’établissement ? Leurs différentes fonctions ?



En quelle année avez-vous commencé à travailler dans cet établissement ?



Quels sont vos diplômes ?



Quelle année d’obtention ?



Depuis quelle année avez-vous un statut de cadre ou d’encadrant ? Quel genre de poste avez-vous occupé ?


5 – Quelles sont vos tâches au quotidien ?



6 – Quelles expériences souhaiteriez vous valoriser ?



7 – Etes vous sensible à la question de la formation continue ? Qu’est ce que vous avez fait ou projeter de faire dans ce domaine ?



8 – Vous appuyez vous sur des supports théoriques et si oui, lesquels ?


9 – Qu’est qui vous a amené à devenir cadre ou encadrant


10 – Quelles sont vos aspirations ou projets


11 – Etes vous inscrit dans un réseau ou sphère d’identité ?


12 – Que diriez vous du pouvoir ?


13 – Vous avez eu à sanctionner ou à récompenser. C’est une forme de pouvoir.
Qu’en pensez vous ?


14 – Quelles différences faites vous entre autorité et pouvoir ?


15 – Il est souvent affirmé qu’un fonctionnement institutionnel dépend aussi souvent de la personnalité du directeur ou chef de service… Est-ce une réalité ?


16 – L’usure professionnelle pour les cadres ou encadrants est-elle plus rapide que pour les autres postes tels que éducateur, assistante sociale …. ?


17 – Avez-vous vu au fil du temps une nouvelle manière de travailler ? Si oui avez-vous eu à faire à de nouvelles tâches et à de nouvelles exigences ?


18 – Avez-vous l’impression de dépenser une énergie physique, intellectuelle dans votre position de cadre ou d’encadrant ?


19 – Comme tout être humain : le cadre ou encadrant possède une force de travail (« ensemble de capacités physiques et intellectuelles mises en œuvre pour produire des choses socialement utiles. K. Marx). Cette force de travail selon vous est faite de la propre histoire sociale de l’encadrant, de sa formation, de son expérience, de sa position institutionnelle ?....


20 – Les encadrants ou cadres sont des négociateurs de compromis sociaux au quotidien. Que pensez vous de cette phrase ?

Re: questionnaire mémoire CAFRUIS

Publié : 23 juin 2005 01:50
par Benoît
Bonjour Christophe,

Educ spé de formation, je travaille depuis 11 ans pour une association de protection de l'enfance, en Nouvelle-Calédonie, et suis "cadre socio-éducatif" depuis 3 ans.
Le passage d'éduc, collègue, à cadre, s'est fait avec un peu de douleur au départ.
Il faut préciser que le poste de cadre que j'occupe n'existait pas et qu'il a été décidé après un audit demandé par l'association. La Direction de l'époque m'a proposé de me porter candidat, probablement parceque j'étais un "ancien" de la boite et que j'avais ouvert une antenne éducative dans un lieu isolé (sur l'île de Lifou) ou peu de collègues souhaitaient travailler. J'y suis resté 7 ans et ai construit ma petite expérience, dans une société (kanak) où l'intervention éducative en AEMO n'est pas une évidence (pour dire les choses rapidement). Tout au long de ces années, je suis sorti du cadre demandé à un éduc d'AEMO, proposant des projets d'actions à la Direction, tentant de dire à travers mes rapports d'activité comment je vivais une forme d'acculturation tant au niveau personnel que professionnel, tentant de comprendre et de restituer le sens du travail social dans une société différente de celle qui produit les lois, règles et principes qui régissent l'action sociale telle que nous la concevons.
Préciser celà me paraît nécessaire pour que tu puisses comprendre de façon plus fine commment ma prise de fonction en tant que cadre s'est jouée.
Donc, sollicité par la Direction, j'ai déposé ma candidature, acceptée par les membres bénévoles de l'association.
Je connaissais certains de ces membres, pour les avoir rencontrés pendant leurs vacances à Lifou, ou encore parce que certains d'entre-eux sont originaires de cette île, mais aussi pour avoir eu l'occasion d'échanger avec eux sur la complexité des problématiques rencontrées dans l'exercice de mon métier.
C'est ce premier aspect, de "proximité" avec la Direction et les membres élus de l'association qui a été difficile à gérer lors de ma prise de fonction de cadre.
Soupçonné de "collusion" (c'est comme ça qu'on dit ?) avec ceux qui apparaissent, dans les faits et symboliquement, comme les "patrons" de la boite, certains collègues ont exprimé ouvertement -et parfois vertement et sans respect- leurs doutes à mon égard, tant sur le plan de la compétence que de l'honnèteté. Là, j'ai pu mesurer combien j'avais été seul en tant qu'éduc (l'isolement de mon poste et le non intérêt des collègues à savoir ce que j'y faisais -dont je suis probablement responsable pour partie pour ne pas avoir su leur communiquer), et combien je serai seul en tant que cadre.
Désarçonné par ce que j'ai vécu difficilement comme des attaques personnelles, j'appelle le Directeur, un soir, suite à une réunion particulièrement houleuse. "Bienvenue dans le monde des cadres ! Le sac à dos est livré avec la fonction !" ont été ses deux réponses particulièrement rassurantes.
En même temps, ces moments difficiles au début m'ont été finalement utiles à la prise de fonction : je n'étais plus un collègue, celà était marqué fortement, et je devais faire mes preuves...(Symboliquement, l'image du "collègue" devait être remplacée par une autre).
Mais il y a aussi les collègues soutenants dans cette affaire, ceux avec lesquels j'avais un passif positif, une expérience commune dans certaines interventions difficiles. Ceux-là m'ont aussi beaucoup aidé à chausser les bottes de cadre.
Et puis, ce sont aussiles partenaires institutionnels qui ont contribué, pour une large part, à ce que je trouve mes marques et ma façon de faire, tant à travers les relations de fonctions qu'à travers l'image qu'ils renvoyaient de moi aux collègues. En clair, positionné par mon association employeur et par le Directeur comme cadre, les partenaires extérieurs (Juges des enfants ; responsables des administrations provinciales chargées de la protection de l'enfance -l'équivalent en France des conseils régionnaux-)ont très vite été avec moi en relation sur un autre plan que celui que je connaissais en tant qu'éduc de terrain.
Et puis après, c'est la gestion des réunions d'équipe, la relation duelle sur leurs secteurs avec les collègues, le fait de ne pas me positionner comme un "super éducateur qui sait", le feed-back permanent auquel il est nécessaire d'être vigilent, qui me permettent aujourd'hui encore de continuer cet apprentissage de "cadre socio-éducatif". Tu noteras que la terminologie est aussi importante. je ne suis pas "Chef de service". Au delà d'une dénomination correspondant à un groupe de fonctions (je ne gère pas, par exemple, les finances de l'équipe) je ne suis "Chef" de personne, j'exerce seulement ma part de responsabilités dans le service éducatif. La nuance est d'importance et constitue en elle-même un outil de travail avec l'équipe.
Enfin, je voudrais terminer en disant que deux points me semblent être aussi nécessaires pour passer de "collègue" à "cadre" dans une même équipe : premièrement, être en capacité de mettre les mains dans le cambouis quand c'est nécessaire (retourner sur le terrain dans des situations complexes, avec les collègues et en leur faisant part, sans faux semblants de mes propres limites humaines et profesionnelles dans le boulot, pour qu'un vrai dialogue s'instaure avec eux) et enfin être en capacité de mobiliser l'équipe sur des idées nouvelles, des projets collectifs où chacun peut trouver sa place et exprimer sa singularité ("être créatif" pour mobiliser l'équipe sur du commun).
Voilà en quelques mots comment j'ai vécu ce "passage", et comment je le vis encore aujourd'hui.
Bon courrage pour ton mémoire.

Benoît.

Re: questionnaire mémoire CAFRUIS

Publié : 26 juin 2005 10:31
par gyslaine
réponse qui t'est plus destiné de Benoit
Bonjour Christophe,
>
> Educ spé de formation, je travaille depuis 11 ans pour une association de protection de l'enfance, en Nouvelle-Calédonie, et suis "cadre socio-éducatif" depuis 3 ans.
> Le passage d'éduc, collègue, à cadre, s'est fait avec un peu de douleur au départ.
> Il faut préciser que le poste de cadre que j'occupe n'existait pas et qu'il a été décidé après un audit demandé par l'association. La Direction de l'époque m'a proposé de me porter candidat, probablement parceque j'étais un "ancien" de la boite et que j'avais ouvert une antenne éducative dans un lieu isolé (sur l'île de Lifou) ou peu de collègues souhaitaient travailler. J'y suis resté 7 ans et ai construit ma petite expérience, dans une société (kanak) où l'intervention éducative en AEMO n'est pas une évidence (pour dire les choses rapidement). Tout au long de ces années, je suis sorti du cadre demandé à un éduc d'AEMO, proposant des projets d'actions à la Direction, tentant de dire à travers mes rapports d'activité comment je vivais une forme d'acculturation tant au niveau personnel que professionnel, tentant de comprendre et de restituer le sens du travail social dans une société différente de celle qui produit les lois, règles et principes qui régissent l'action sociale telle que nous la concevons.
> Préciser celà me paraît nécessaire pour que tu puisses comprendre de façon plus fine commment ma prise de fonction en tant que cadre s'est jouée.
> Donc, sollicité par la Direction, j'ai déposé ma candidature, acceptée par les membres bénévoles de l'association.
> Je connaissais certains de ces membres, pour les avoir rencontrés pendant leurs vacances à Lifou, ou encore parce que certains d'entre-eux sont originaires de cette île, mais aussi pour avoir eu l'occasion d'échanger avec eux sur la complexité des problématiques rencontrées dans l'exercice de mon métier.
> C'est ce premier aspect, de "proximité" avec la Direction et les membres élus de l'association qui a été difficile à gérer lors de ma prise de fonction de cadre.
> Soupçonné de "collusion" (c'est comme ça qu'on dit ?) avec ceux qui apparaissent, dans les faits et symboliquement, comme les "patrons" de la boite, certains collègues ont exprimé ouvertement -et parfois vertement et sans respect- leurs doutes à mon égard, tant sur le plan de la compétence que de l'honnèteté. Là, j'ai pu mesurer combien j'avais été seul en tant qu'éduc (l'isolement de mon poste et le non intérêt des collègues à savoir ce que j'y faisais -dont je suis probablement responsable pour partie pour ne pas avoir su leur communiquer), et combien je serai seul en tant que cadre.
> Désarçonné par ce que j'ai vécu difficilement comme des attaques personnelles, j'appelle le Directeur, un soir, suite à une réunion particulièrement houleuse. "Bienvenue dans le monde des cadres ! Le sac à dos est livré avec la fonction !" ont été ses deux réponses particulièrement rassurantes.
> En même temps, ces moments difficiles au début m'ont été finalement utiles à la prise de fonction : je n'étais plus un collègue, celà était marqué fortement, et je devais faire mes preuves...(Symboliquement, l'image du "collègue" devait être remplacée par une autre).
> Mais il y a aussi les collègues soutenants dans cette affaire, ceux avec lesquels j'avais un passif positif, une expérience commune dans certaines interventions difficiles. Ceux-là m'ont aussi beaucoup aidé à chausser les bottes de cadre.
> Et puis, ce sont aussiles partenaires institutionnels qui ont contribué, pour une large part, à ce que je trouve mes marques et ma façon de faire, tant à travers les relations de fonctions qu'à travers l'image qu'ils renvoyaient de moi aux collègues. En clair, positionné par mon association employeur et par le Directeur comme cadre, les partenaires extérieurs (Juges des enfants ; responsables des administrations provinciales chargées de la protection de l'enfance -l'équivalent en France des conseils régionnaux-)ont très vite été avec moi en relation sur un autre plan que celui que je connaissais en tant qu'éduc de terrain.
> Et puis après, c'est la gestion des réunions d'équipe, la relation duelle sur leurs secteurs avec les collègues, le fait de ne pas me positionner comme un "super éducateur qui sait", le feed-back permanent auquel il est nécessaire d'être vigilent, qui me permettent aujourd'hui encore de continuer cet apprentissage de "cadre socio-éducatif". Tu noteras que la terminologie est aussi importante. je ne suis pas "Chef de service". Au delà d'une dénomination correspondant à un groupe de fonctions (je ne gère pas, par exemple, les finances de l'équipe) je ne suis "Chef" de personne, j'exerce seulement ma part de responsabilités dans le service éducatif. La nuance est d'importance et constitue en elle-même un outil de travail avec l'équipe.
> Enfin, je voudrais terminer en disant que deux points me semblent être aussi nécessaires pour passer de "collègue" à "cadre" dans une même équipe : premièrement, être en capacité de mettre les mains dans le cambouis quand c'est nécessaire (retourner sur le terrain dans des situations complexes, avec les collègues et en leur faisant part, sans faux semblants de mes propres limites humaines et profesionnelles dans le boulot, pour qu'un vrai dialogue s'instaure avec eux) et enfin être en capacité de mobiliser l'équipe sur des idées nouvelles, des projets collectifs où chacun peut trouver sa place et exprimer sa singularité ("être créatif" pour mobiliser l'équipe sur du commun).
> Voilà en quelques mots comment j'ai vécu ce "passage", et comment je le vis encore aujourd'hui.
> Bon courrage pour ton mémoire.
>
> Benoît.
>

Re: questionnaire mémoire CAFRUIS

Publié : 01 juil. 2005 19:17
par babou
Je suis dans le meme cas que toi et je vais commenser une formation en novembre 2005.La lecture de ton mémoire me serai très précieuse car j'avoue que je suis un peu dans l'erance pour le moment.Aimerai rester en contact avec toi.

Re: questionnaire mémoire CAFRUIS

Publié : 05 juil. 2005 13:21
par Salem
Salut à touTEs,

ca fait un baille que je suis pas revenu sur ce sujet et je vois que ca avance et franchement ca me change un peu de l Espace educ spé quand je vois la toute la matière à traiter analyser digerer, ce n'est pas pour me deplaire.

Michel en réponse à ton post du 10/04/2005.
Merci pour ton retour que je trouve particuliérement "objectif" si objectivité il peut y avoir en matière sociale.

Je n ai fais que répondre à la question avantage/inconvénient chef de service ou on étais deja educ. j y reponds en tenant compte d'avis deja recueillis auprès d autre collègue mais aussi en tenant compte de ma propre expérience de responsable éducatif.

Il va de soit que je n y reflette qu'une partie de l réalité mais celle la en est une et dans pas mal de contexte c'est malheureusement la régle. je pense qu'il évaluer les difficultés de recrutement du bassin d'emploi dans lequel on travil pour preciser son idée. Dans une region avec 100% de difficulté de recrutement toutes les bonns volontés sont les bienvenues. Mais lorque ce n est pas le cas alors c'est une autre paire de manche, les postes coute cher et donc, il faut payer le prix pour y acceder avant, pendant et après.

Quand la norme s'installe, que les collègues reconnaissent volontier vos capacités les choses vont d'elles-meme mais quand la norme est fluctuante que la regle n est pas affirmée, autrement dit quand le flou artistique régne quant aux valeurs et finalités institutionnelles qui sous tendent toutes lois et donc les régles alors le contexte n'est pas fait pour aider le futur chef de service.

De plus il serait inutil de répeter les propos des autres post dans lesquels je me reconnait. Le ton agressif faisait justement partie de la réponse.

Pour répondre à ta question je fais le Caferuis et compte bien y apporter ma touche DEFA, car selon moi le social a grand besoin des valeurs et finalités portées par l'Education Populaire afin de redynamiser le le metier à tisser du lien social et que les professionalités qui la compose cessent, en tous cas dans certaines réalités locales, leur processus de désagregation d'identité professionnelle.

Alors faut-il etre acteur éducatif pour etre un "bon" chef de service avec ses anciens collègue horizontaux ou un agent d'éxecution au service de la direction, là est le vrai débat pour tenter de répondre à la question de départ ? Une chose est sur le rôle de medium, j'en parle en connaissance de cause est le plus difficile pour un ancien educ de terrain, car celui-ci doit renoncer à l'identité de l'educateur spécialisé pour pouvoir construire sa nouvelle identité de chef, chef de service notamment....

salut

Re: questionnaire mémoire CAFRUIS

Publié : 10 juil. 2005 12:43
par christophe
Merci encore pour vos reponses toutes très interressantes qui me sont extremement utiles.

Re: questionnaire mémoire CAFRUIS

Publié : 21 juil. 2005 21:29
par marie christine
je suis actuellement en formation cadre de l'intervention sociale(en attendant l'agrement pour le caferuis).Je recherche pour mon mémoire des informations sur tout ce qui touche a la gestion du personnel (fidelistion des équipes....). Merci de me repondre si vous avez des infos