Re: tisf et travailler dans l'humanitaire
Publié : 10 févr. 2009 14:53
Moi aussi je peux me tromper.
Je me dis que faire de l'humanitaire, c'est très vague, alors que la profession de TISF a des missions, il me semble, plutôt spécifiques. C'est là où je suis d'accord avec toi, Zoé.
Il doit exister des missions où une TISF peut apporter de ses compétences. elle pourrait partir en mission un mois et intervenir auprès d'un certain type de public. Il y a toujours un soutien moral à fournir.
Par exemple, dans certains pays, il y a pas mal d'enfants retirés de leur famille à cause, entre autre, de l'alcoolémie des parents. Il sont placés dans des maisons d'enfants où les moyens manquent de façon alarmante. Les enfants ne peuvent pas s'épanouir et en ressortent à la leur majorité souvent avec un handicap mental et/ou physique. La profession de TISF n'existe probablement pas là-bas. Si, en qualité de TISF, je parle la langue du pays, et qu'on m'offre la possibilité d'une mission sur le terrain. Je peux faire connaître le métier de TISF en apportant mon aide. L'objectif étant à long terme, d'éviter que les enfants soient placés en foyers et autres, de montrer aux familles en difficulté qu'elles peuvent s'en sortir par elles-même. Je peux travailler en France et à l'étranger. Je ne disais pas que la TISF apporterait le riz. C'est clair que ce n'est pas son rôle. Mais elle peut intervenir en aidant à cuisiner. Ce n'est pas préserver l'équilibre alimentaire, c'est donner envie à des familles de manger.
Bien sûr, là, je ne fais qu'imaginer. Je suis incapable de dire si c'est faisable.
C'est vrai qu'on ne part pas en mission comme ça. C'est souvent coûteux même s'il y a des aides.
Luna, merci pour ton commentaire. Je le prends comme un encouragement. Je suis contente de t'entendre dire que s'il y a une chance, ça vaut le coup. Je le pense aussi! Il faut aussi des gens comme toi. On est trop peu valoriser dans ce monde. Je ne suis pas encore TISF. Je m'y prépare très sérieusement pour la rentrée. Je tente à l'IRTS de Rennes et de Paris-Malakoff.
Ma conclusion est : On ne peut pas être catégorique et dire "Non!" "Ce n'est pas possible", ou "Oui, oui!!"
Je me dis que faire de l'humanitaire, c'est très vague, alors que la profession de TISF a des missions, il me semble, plutôt spécifiques. C'est là où je suis d'accord avec toi, Zoé.
Il doit exister des missions où une TISF peut apporter de ses compétences. elle pourrait partir en mission un mois et intervenir auprès d'un certain type de public. Il y a toujours un soutien moral à fournir.
Par exemple, dans certains pays, il y a pas mal d'enfants retirés de leur famille à cause, entre autre, de l'alcoolémie des parents. Il sont placés dans des maisons d'enfants où les moyens manquent de façon alarmante. Les enfants ne peuvent pas s'épanouir et en ressortent à la leur majorité souvent avec un handicap mental et/ou physique. La profession de TISF n'existe probablement pas là-bas. Si, en qualité de TISF, je parle la langue du pays, et qu'on m'offre la possibilité d'une mission sur le terrain. Je peux faire connaître le métier de TISF en apportant mon aide. L'objectif étant à long terme, d'éviter que les enfants soient placés en foyers et autres, de montrer aux familles en difficulté qu'elles peuvent s'en sortir par elles-même. Je peux travailler en France et à l'étranger. Je ne disais pas que la TISF apporterait le riz. C'est clair que ce n'est pas son rôle. Mais elle peut intervenir en aidant à cuisiner. Ce n'est pas préserver l'équilibre alimentaire, c'est donner envie à des familles de manger.
Bien sûr, là, je ne fais qu'imaginer. Je suis incapable de dire si c'est faisable.
C'est vrai qu'on ne part pas en mission comme ça. C'est souvent coûteux même s'il y a des aides.
Luna, merci pour ton commentaire. Je le prends comme un encouragement. Je suis contente de t'entendre dire que s'il y a une chance, ça vaut le coup. Je le pense aussi! Il faut aussi des gens comme toi. On est trop peu valoriser dans ce monde. Je ne suis pas encore TISF. Je m'y prépare très sérieusement pour la rentrée. Je tente à l'IRTS de Rennes et de Paris-Malakoff.
Ma conclusion est : On ne peut pas être catégorique et dire "Non!" "Ce n'est pas possible", ou "Oui, oui!!"