thierry,
Crois moi, l'important c'est d'aimer sa maman........
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Si facile de mourir...
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TheD
Re: Si facile de mourir...
Je n'ai jamais cessé de l'aimer.
Nous n'avons pas rompu le dialogue, mais il n'était plus ancré dans le présent. J'ai longtemps soutenu ma mère psychologiquement, en l'écoutant et en lui répondant lorsqu'une part d'elle même prenait le dessus pour la ronger, par moment. Ma mère était pour moi "fatigante" (à cause de mon propre malaise) car je l'écoutais beaucoup et elle se confiait beaucoup. Il y a environ un peu plus de 3 années. Nous n'avons pas cesser de parler depuis mais je t'avoue que dans mon propre mal être, je ne pouvais plus gérer cette écoute alors j'ai brutalement "coupé" ce dialogue. Ma mère s'est d'avantage confié à d'autres personnes et de mon côté même si je n'existais plus au monde, j'ai toujours été attentif au bien être de ma mère. Et oui, bien des choses de moi à elle, qu'elle ne sait pas. Mais c'est important qu'un fils garde sa plus belle part en silence pour sa mère. Je sais que mes sentiments pour une autre femme ne sont pas dûs à un manque de ma mère. Je suis simplement un homme, ni plus, ni moins. Qui a dû mal, c'est vrai... aller au-delà du mot, vivre dans le corps. Du mal pourtant à l'accepter.
"Sa maman c'est pour toujours, mais l'amour d'un(e) Autre, c'est chaque jour..."
Disons que c'est facile de donner, mais au combien difficile de recevoir.
Nous n'avons pas rompu le dialogue, mais il n'était plus ancré dans le présent. J'ai longtemps soutenu ma mère psychologiquement, en l'écoutant et en lui répondant lorsqu'une part d'elle même prenait le dessus pour la ronger, par moment. Ma mère était pour moi "fatigante" (à cause de mon propre malaise) car je l'écoutais beaucoup et elle se confiait beaucoup. Il y a environ un peu plus de 3 années. Nous n'avons pas cesser de parler depuis mais je t'avoue que dans mon propre mal être, je ne pouvais plus gérer cette écoute alors j'ai brutalement "coupé" ce dialogue. Ma mère s'est d'avantage confié à d'autres personnes et de mon côté même si je n'existais plus au monde, j'ai toujours été attentif au bien être de ma mère. Et oui, bien des choses de moi à elle, qu'elle ne sait pas. Mais c'est important qu'un fils garde sa plus belle part en silence pour sa mère. Je sais que mes sentiments pour une autre femme ne sont pas dûs à un manque de ma mère. Je suis simplement un homme, ni plus, ni moins. Qui a dû mal, c'est vrai... aller au-delà du mot, vivre dans le corps. Du mal pourtant à l'accepter.
"Sa maman c'est pour toujours, mais l'amour d'un(e) Autre, c'est chaque jour..."
Disons que c'est facile de donner, mais au combien difficile de recevoir.