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violence au travail
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fifi
Re: violence au travail
Edmée,
Je vous ai reprise sur la phrase " Il vaut mieux ne pas vous confier une personne atteinte de la maladie d'ALzheimer". Vous ne la connaissez pas suffisament vous vous permettre d'écrire ça.
Je pense que dans cette situation, tout le monde est un peu dépacé, par conséquent, ce n'est la faute de personne.
J'ai vécu cette situation (sans violence), mais à 85 ans c'est difficle de gérer sa vieilllesse et l'handicap d'un enfant, c'est tout simplement épuisant. D'autre part la femme qui est atteinte de trisomie ressent les difficultés de ses parents et doit être attristée, elle se pose certainement des questions sur le fait que ces parents n'ont plus autant de vigueur qu'autrefois.
Daf est fragilisée par sa grossesse: d'où je pense autant de tensions lors des interventions.
Quant à la famille, c'est l'instinct qui prend le dessus dans de tels moments. Je pense qu'ils ont dû mettre en doute la bonne foi de Daf, pensant qu'elle n'aurait pas tout dit sur ce qui a précédé l'acte de violence. D'après ce que j'ai pu lire, Daf l'a très mal vécu et se sentirais en position d'infériorité devant la famille que aurait fait bloc.
Voilà ce que j'ai compris de l'explication de DAf, ce qui diffère évidemment de votre opinion.Il Reste à laisser à Daf le temps de répondre... encore faut-il qu'elle digère ce que vous lui avezmis dans les dents !!!!!
Je vous ai reprise sur la phrase " Il vaut mieux ne pas vous confier une personne atteinte de la maladie d'ALzheimer". Vous ne la connaissez pas suffisament vous vous permettre d'écrire ça.
Je pense que dans cette situation, tout le monde est un peu dépacé, par conséquent, ce n'est la faute de personne.
J'ai vécu cette situation (sans violence), mais à 85 ans c'est difficle de gérer sa vieilllesse et l'handicap d'un enfant, c'est tout simplement épuisant. D'autre part la femme qui est atteinte de trisomie ressent les difficultés de ses parents et doit être attristée, elle se pose certainement des questions sur le fait que ces parents n'ont plus autant de vigueur qu'autrefois.
Daf est fragilisée par sa grossesse: d'où je pense autant de tensions lors des interventions.
Quant à la famille, c'est l'instinct qui prend le dessus dans de tels moments. Je pense qu'ils ont dû mettre en doute la bonne foi de Daf, pensant qu'elle n'aurait pas tout dit sur ce qui a précédé l'acte de violence. D'après ce que j'ai pu lire, Daf l'a très mal vécu et se sentirais en position d'infériorité devant la famille que aurait fait bloc.
Voilà ce que j'ai compris de l'explication de DAf, ce qui diffère évidemment de votre opinion.Il Reste à laisser à Daf le temps de répondre... encore faut-il qu'elle digère ce que vous lui avezmis dans les dents !!!!!
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delph
Re: violence au travail
Daf, je suis un peu paniquée pour vous de voir que la violence a l'aidant ne trouve pas de solution plus rationnelle, j'ai moi aussi des patients violents chez lesquels je ne veux pas retourner, pour tout vous dire ça m a couté une arcade, un doigt retourné, des giffles, des coups de poing dans les seins, des pincements aussi!!!
bref, je pense que dans un premier temps tu devrais dire que tu es enceinte, je pense que c est un élément à prendre en compte, il existe l'arrête maladie pour grossesse pathologique et je crois qu avec notre métier nous y avons largement droit, mais ce n'est que mon avis.
En ce qui concerne la personne chez qui vous intervenez, je pense que vous devriez lui tenir tête à la demoiselle trisomique, sachez que cette situation de violence n'est pas anodine, j ai travaillé en pedo-psychiatrie et les trisomiques sont tres fort et peuvent etre tres violents et les controler physiquement reste tres aléatoire mais ne paniquez plus!!!
Moi je vous conseille donc de leur dire que vous êtes enceinte et que la prochaine fois que la fifille est violente vous partirez car votre metier ce n est pas boxeur professionnel mais AVS donc n'ayez pas peur imposez vous ne vous laissez pas marcher sur les pieds, même si ce que je vous dis vous parait difficile et pas tres applicable protégez vous.
Par contre Edmée de dire qu'elle en veut à une personne trisomique de 40 ans, je ne trouve pas ça tres judicieux, il faut quand même resitué le debat sur ce que daf a vécu, ça fait peur, c'est humiliant et ça pousse dans des retranchements que nous ne comprenons pas au premier coup, sachez que moi aussi il m'a fallu du temps pour ne pas être en colère contre quelqu'un qui m'avait abimé l'oeil, sachez que la premiere fois c'est douloureux car c'est empreint d'humiliation et d'incompréhension donc je ne crois pas que la solution c'est de provoquer le questionnement chez Daf, elle a eu peur pour son bébé, pour elle et certainement aussi de la réaction qu'elle aurait pu avoir, et je la félicite de ne pas avoir pris le parti de la violence parce que c est le genre de réaction totalement humaine qui peut poser d'autres problemes!!
En tout cas je suis contente que les gens arrivent à parler de la violence sur l'aidant, nous avancons mesdames...
bref, je pense que dans un premier temps tu devrais dire que tu es enceinte, je pense que c est un élément à prendre en compte, il existe l'arrête maladie pour grossesse pathologique et je crois qu avec notre métier nous y avons largement droit, mais ce n'est que mon avis.
En ce qui concerne la personne chez qui vous intervenez, je pense que vous devriez lui tenir tête à la demoiselle trisomique, sachez que cette situation de violence n'est pas anodine, j ai travaillé en pedo-psychiatrie et les trisomiques sont tres fort et peuvent etre tres violents et les controler physiquement reste tres aléatoire mais ne paniquez plus!!!
Moi je vous conseille donc de leur dire que vous êtes enceinte et que la prochaine fois que la fifille est violente vous partirez car votre metier ce n est pas boxeur professionnel mais AVS donc n'ayez pas peur imposez vous ne vous laissez pas marcher sur les pieds, même si ce que je vous dis vous parait difficile et pas tres applicable protégez vous.
Par contre Edmée de dire qu'elle en veut à une personne trisomique de 40 ans, je ne trouve pas ça tres judicieux, il faut quand même resitué le debat sur ce que daf a vécu, ça fait peur, c'est humiliant et ça pousse dans des retranchements que nous ne comprenons pas au premier coup, sachez que moi aussi il m'a fallu du temps pour ne pas être en colère contre quelqu'un qui m'avait abimé l'oeil, sachez que la premiere fois c'est douloureux car c'est empreint d'humiliation et d'incompréhension donc je ne crois pas que la solution c'est de provoquer le questionnement chez Daf, elle a eu peur pour son bébé, pour elle et certainement aussi de la réaction qu'elle aurait pu avoir, et je la félicite de ne pas avoir pris le parti de la violence parce que c est le genre de réaction totalement humaine qui peut poser d'autres problemes!!
En tout cas je suis contente que les gens arrivent à parler de la violence sur l'aidant, nous avancons mesdames...
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Edmée
Re: violence au travail
Vous pouvez parfaitement cacher votre grossesse, c'est votre problème.
Mais vous ne pouvez dans ce cas, vous plaindre parce que la famille à qui vous la cachez ne la prend pas en considération.
Je crois qu'il faut prendre conscience que la trisomie est un handicap. Les auxiliaires de vie sauf erreur sont formées pour s'occuper de personnes handicapées.
Mais la question n'est pas là, la question est de savoir ce que vous reprochez à une famile durement éprouvée par la vie, dont vous dites : "ces gens sont tres haut placé et je suis un grain de sable a coté d'eux" et dont vous considérez qu'ils n'ont pas réagi de façon convenable face à l'agression dont vous avez été victime.
Pourquoi ne répondez-vous pas tout bêtement à la question que je pose depuis le début et qui est, je le répète : "qu'auriez vous souhaité que fasse la famille, puisque vous estimez que sa réaction n'est pas adéquate".
Je ne comprends pas pourquoi vous percevez cette question comme une critique.
Il me semble que, lorsque vous y aurez répondu, vous vous sentirez mieux, car cela fait du bien de formuler les choses.
Mais vous ne pouvez dans ce cas, vous plaindre parce que la famille à qui vous la cachez ne la prend pas en considération.
Je crois qu'il faut prendre conscience que la trisomie est un handicap. Les auxiliaires de vie sauf erreur sont formées pour s'occuper de personnes handicapées.
Mais la question n'est pas là, la question est de savoir ce que vous reprochez à une famile durement éprouvée par la vie, dont vous dites : "ces gens sont tres haut placé et je suis un grain de sable a coté d'eux" et dont vous considérez qu'ils n'ont pas réagi de façon convenable face à l'agression dont vous avez été victime.
Pourquoi ne répondez-vous pas tout bêtement à la question que je pose depuis le début et qui est, je le répète : "qu'auriez vous souhaité que fasse la famille, puisque vous estimez que sa réaction n'est pas adéquate".
Je ne comprends pas pourquoi vous percevez cette question comme une critique.
Il me semble que, lorsque vous y aurez répondu, vous vous sentirez mieux, car cela fait du bien de formuler les choses.
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Edmée
Re: violence au travail
A delph
Je vous suis dans votre raisonnement, il est effectivement catastrophique que cette situation soit traitée par-dessus la jambe par une association.
Il n'en reste pas moins que la famille, selon les explications que nous possédons, a fait tout ce qui était en son pouvoir pour réagir.
Je ne pense pas que ce soit une bonne chose d'necourager une personne dans une voie qui,n vous le savez bien, n'est pas la bonne.
Je pensais à vrai dire que ce genre de problème, relativement coiurant, était largement abordé dans la formation d'AVS.
Je vous suis dans votre raisonnement, il est effectivement catastrophique que cette situation soit traitée par-dessus la jambe par une association.
Il n'en reste pas moins que la famille, selon les explications que nous possédons, a fait tout ce qui était en son pouvoir pour réagir.
Je ne pense pas que ce soit une bonne chose d'necourager une personne dans une voie qui,n vous le savez bien, n'est pas la bonne.
Je pensais à vrai dire que ce genre de problème, relativement coiurant, était largement abordé dans la formation d'AVS.
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val
Re: violence au travail
bonjour à tous,
Je ne suis pas sure d'avoir compris, mais la personne qui vous a agressé est elle celle auprès de qui vous intervenez, ou une personne de l'environnement familial de la personne ayant justifié votre présence ? Si c'est le premier cas, la réaction d'edmée me semble lamentable. Les familles ou nous intervenons doivent s'assurer de notre sécurité. Qu'il y est plusieurs cas difficiles au sein de la même famille ne dégage pas les familles de leurs responsabilités. Si la pathologie de cette personne de 40 ans évolue, l'avs n'en est pas responsable. De plus ayant cotoyer des personnes trisomiques, et vu l'attitude de cette personne qui n'a aucun regret et même s'en vante, elle ne doit pas être à son premier acte violent. Cela expliquerai la famille qui essaie de nier le problème du contrôle de leur fille.
Daf, non seulement vous ne devez pas cupabiliser, mais si cette personne n'est pas légalement responsable, elle a forcément un tuteur et quelque soit l'age de celui-ci, c'est sa responsabilité qui est engagée. En niant les faits, la famille n'a pas assumer la responsabilité de cet acte et elle est parfaitement au courrant que au niveau légal tant que ce n'est pas prouvé il n'y a rien eu.
Sans être procédurière, ne vous laissez pas faire, d'autant plus que si l'auteur de la violence s'en vante, il vous a catalogué comme physiquement inférieur et peut recommencer. Je ne veux pas vous faire peur, mais juste de vous conseiller d'éviter de cotoyer cette personne, la famille va sans doute essayer d'aller dans ce sens de toutes façons.
Bon courage et vive les BB
Je ne suis pas sure d'avoir compris, mais la personne qui vous a agressé est elle celle auprès de qui vous intervenez, ou une personne de l'environnement familial de la personne ayant justifié votre présence ? Si c'est le premier cas, la réaction d'edmée me semble lamentable. Les familles ou nous intervenons doivent s'assurer de notre sécurité. Qu'il y est plusieurs cas difficiles au sein de la même famille ne dégage pas les familles de leurs responsabilités. Si la pathologie de cette personne de 40 ans évolue, l'avs n'en est pas responsable. De plus ayant cotoyer des personnes trisomiques, et vu l'attitude de cette personne qui n'a aucun regret et même s'en vante, elle ne doit pas être à son premier acte violent. Cela expliquerai la famille qui essaie de nier le problème du contrôle de leur fille.
Daf, non seulement vous ne devez pas cupabiliser, mais si cette personne n'est pas légalement responsable, elle a forcément un tuteur et quelque soit l'age de celui-ci, c'est sa responsabilité qui est engagée. En niant les faits, la famille n'a pas assumer la responsabilité de cet acte et elle est parfaitement au courrant que au niveau légal tant que ce n'est pas prouvé il n'y a rien eu.
Sans être procédurière, ne vous laissez pas faire, d'autant plus que si l'auteur de la violence s'en vante, il vous a catalogué comme physiquement inférieur et peut recommencer. Je ne veux pas vous faire peur, mais juste de vous conseiller d'éviter de cotoyer cette personne, la famille va sans doute essayer d'aller dans ce sens de toutes façons.
Bon courage et vive les BB
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Edmée
Re: violence au travail
Val, d'abord c'est le deuième cas, il faut prendre le temps de lire.
Excusez-moi, mais -et je pèse mes mots- vous devriez arêter de fantasmer, essayez de revenir dans le monde réel. Lisez ce qui est écrit et indiquez nous d'où vous sortez ce scoop : "la famille n'a pas assumer la responsabilité de cet acte et elle est parfaitement au courrant que au niveau légal tant que ce n'est pas prouvé il n'y a rien eu."
Je trouve un peu dommage pour l'image de la profession, ces invectives systématiques contre une famille, à qui vous reprochez ...nul ne sait quoi, si ce n'est d'être une famille unie, qui, dans le malheur, essaie de donner une vie digne à une enfant adulte mais handicapée.
Qu'auriez-vous fait à la place de cette famille que vous vilipendez, puisque vous estimez que sa réaction n'est pas adéquate ?
Excusez-moi, mais -et je pèse mes mots- vous devriez arêter de fantasmer, essayez de revenir dans le monde réel. Lisez ce qui est écrit et indiquez nous d'où vous sortez ce scoop : "la famille n'a pas assumer la responsabilité de cet acte et elle est parfaitement au courrant que au niveau légal tant que ce n'est pas prouvé il n'y a rien eu."
Je trouve un peu dommage pour l'image de la profession, ces invectives systématiques contre une famille, à qui vous reprochez ...nul ne sait quoi, si ce n'est d'être une famille unie, qui, dans le malheur, essaie de donner une vie digne à une enfant adulte mais handicapée.
Qu'auriez-vous fait à la place de cette famille que vous vilipendez, puisque vous estimez que sa réaction n'est pas adéquate ?
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kate
Re: violence au travail
Bonjour
J'ai moi aussi travaillé dans une famille avec un handicapé mental de 40 ans :mon association ne s'est pas très étendue sur d'éventuelles violences pouvant y découlées.
DONC J'ai bien observé son comportement (violence physique envers sa mére,jet d'objets.. )et à partir de là j'ai jugé bon d'être sur mes gardes en permanence.
Je devais éffectuer une aide à la toilette:pas du tout évident et malgré mes précautions et ruses j'ai eu le droit à ce qu'il appelait les bagarres...
La différence avec le problème évoqué c'est que je m'étais préparée psychologiquement à affronter toutes sortes de problèmes au cours de cette intervention.
Pour les violences verbales volontaires provenant de certaines personnes :je me sers de mon portable (ou de tout ce qui y ressemble) afin de faire croire à la personne que je l'enregistre puisque qu'elle a des choses interessante à dire et cela marche à tous les coups..oufff!
Bon courage DAF et le fait de parler de ce problème,peu importe l'intonation que tu emploies t'aide déja.. mais ce sont des événements que l'on oublie pas dans une carrière
J'ai moi aussi travaillé dans une famille avec un handicapé mental de 40 ans :mon association ne s'est pas très étendue sur d'éventuelles violences pouvant y découlées.
DONC J'ai bien observé son comportement (violence physique envers sa mére,jet d'objets.. )et à partir de là j'ai jugé bon d'être sur mes gardes en permanence.
Je devais éffectuer une aide à la toilette:pas du tout évident et malgré mes précautions et ruses j'ai eu le droit à ce qu'il appelait les bagarres...
La différence avec le problème évoqué c'est que je m'étais préparée psychologiquement à affronter toutes sortes de problèmes au cours de cette intervention.
Pour les violences verbales volontaires provenant de certaines personnes :je me sers de mon portable (ou de tout ce qui y ressemble) afin de faire croire à la personne que je l'enregistre puisque qu'elle a des choses interessante à dire et cela marche à tous les coups..oufff!
Bon courage DAF et le fait de parler de ce problème,peu importe l'intonation que tu emploies t'aide déja.. mais ce sont des événements que l'on oublie pas dans une carrière
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delph
Re: violence au travail
Edmée je trouve vos réactions brutales, je ne sais pas ce qui fait que vous approchez les choses de cette façon mais en tout état de cause je pense que daf a le droit de se plaindre, la formation d'AVS excusez moi du peu mais ne donne pas des bases de psychiatrie et de contenance de certains comportements, quand au fait de repondre à votre question qui est je cite : "qu'auriez vous souhaité que fasse la famille, puisque vous estimez que sa réaction n'est pas adéquate".,
elle n'a certainement pas les idées assez claires pour pouvoir repondre à cette question, dumoins je le suppose, moi à la place de la famille et pour avoir un cousin autiste, violent envers lui et envers les autres,asocial je peux vous dire que ni une ni deux j'aurai demandé à Daf si elle voulait toujours intervenir, ou je lui aurais demandé si elle avait besoin de s'éloigner mais forcement c est ma reponse de parente...
Par contre là je ne vois pas je cite : "Je ne pense pas que ce soit une bonne chose d'necourager une personne dans une voie qui,n vous le savez bien, n'est pas la bonne"
la mauvaise chose c est quoi : la grossesse pathologique? lui tenir tête??ou le fait que je puisse penser qu il ne faut pas pousser daf au questionnement??
bien amicalement
delph
elle n'a certainement pas les idées assez claires pour pouvoir repondre à cette question, dumoins je le suppose, moi à la place de la famille et pour avoir un cousin autiste, violent envers lui et envers les autres,asocial je peux vous dire que ni une ni deux j'aurai demandé à Daf si elle voulait toujours intervenir, ou je lui aurais demandé si elle avait besoin de s'éloigner mais forcement c est ma reponse de parente...
Par contre là je ne vois pas je cite : "Je ne pense pas que ce soit une bonne chose d'necourager une personne dans une voie qui,n vous le savez bien, n'est pas la bonne"
la mauvaise chose c est quoi : la grossesse pathologique? lui tenir tête??ou le fait que je puisse penser qu il ne faut pas pousser daf au questionnement??
bien amicalement
delph
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Edmée
Re: violence au travail
1) Je ne dis pas que la situation ne soit pas pénible pour daf ni qu'elle ne soit pas à plaindre, surtout si son association ne l'aide pas.
2) Je ne vois pas de notion de grosssesse pathologique dans ses indications et c'est tant mieux. En revanche, il est clair que si des violences se reproduisent, il fauty trouver une solution, car cela peut avoir des conséquences sérieuses.
Pour ma part, je fais particulièrement attention quand je sais qu'une femme est enceinte. Je crois qu'il est souhaitable d'en informer l'entourage. Ce n'est pas une obligation, bien sûr et daf est libre, mais dans ce cas elle doit en tirer les conséquences : admettre que son employeur ne soit pas au courant.
3) Du reste, je ne trouve pas que daf soir vraiment en cause dans tout ça, mais plutôt le roman qui se bâtit autour de son courriel.
4) Je trouve que daf a l'air très sympathique et qu'elle est dans une situation professionnelle pénible, et qu'elle a grand besoin d'aide. Il est probable qu'elle va devoir arrêter d'aller dans cette famille, au moins le temps de sa grossesse. De toute façon, faire ce travail quand on est enceinte est difficile.
Je trouve que son association devrait prendre les choses en main, ce que peut-être elle va faire, du reste.
Cela dit, n'étant probablement pas au courant de la grossesse, l'association n'a sans doute pas l'attitude qu'elle adopterait avec une femme enceinte.
5) Par contre, je trouve que ce n'est pas la famille qui est en cause, en tout cas pas dans l'incident qui nous est exposé.
Ou alors, je redis qu'il faut m'expliquer ce qu'elle aurait dû faire.
Et je ne pense pas que ce soit une service à rendre à daf que de la pousser à prendre pour bouc émissaire une famille dans la difficulté.
Il vaut mieux l'inciter à réfléchir pour se poser les vraies questions (par exemple : "ne suis-je pas trop fatiguée,dans mon état de grossesse, pour effectuer ce travail") et trouver de véritables solutions.
2) Je ne vois pas de notion de grosssesse pathologique dans ses indications et c'est tant mieux. En revanche, il est clair que si des violences se reproduisent, il fauty trouver une solution, car cela peut avoir des conséquences sérieuses.
Pour ma part, je fais particulièrement attention quand je sais qu'une femme est enceinte. Je crois qu'il est souhaitable d'en informer l'entourage. Ce n'est pas une obligation, bien sûr et daf est libre, mais dans ce cas elle doit en tirer les conséquences : admettre que son employeur ne soit pas au courant.
3) Du reste, je ne trouve pas que daf soir vraiment en cause dans tout ça, mais plutôt le roman qui se bâtit autour de son courriel.
4) Je trouve que daf a l'air très sympathique et qu'elle est dans une situation professionnelle pénible, et qu'elle a grand besoin d'aide. Il est probable qu'elle va devoir arrêter d'aller dans cette famille, au moins le temps de sa grossesse. De toute façon, faire ce travail quand on est enceinte est difficile.
Je trouve que son association devrait prendre les choses en main, ce que peut-être elle va faire, du reste.
Cela dit, n'étant probablement pas au courant de la grossesse, l'association n'a sans doute pas l'attitude qu'elle adopterait avec une femme enceinte.
5) Par contre, je trouve que ce n'est pas la famille qui est en cause, en tout cas pas dans l'incident qui nous est exposé.
Ou alors, je redis qu'il faut m'expliquer ce qu'elle aurait dû faire.
Et je ne pense pas que ce soit une service à rendre à daf que de la pousser à prendre pour bouc émissaire une famille dans la difficulté.
Il vaut mieux l'inciter à réfléchir pour se poser les vraies questions (par exemple : "ne suis-je pas trop fatiguée,dans mon état de grossesse, pour effectuer ce travail") et trouver de véritables solutions.
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Edmée
Re: violence au travail
J'oubliais, delph.
Certes, dans une situation où on est en face de comportements violents répétés, la famille doit prendre des mesures pour que les personnes qui viennent chez elle soient protégées.
Surtout dans le cas où la dite famille sait qu'une personne est enceinte.
Demander à une salariée si elle veut rester, c'est bien, mais cela revient à lui demander si elle veut être ^privée de son gagne-pain.
Délicat, comme question.
Pour ma prt, je trouve que la famille doit contacter l'association, mais rien ne dit qu'elle ne l'ait pas fait.
Certes, dans une situation où on est en face de comportements violents répétés, la famille doit prendre des mesures pour que les personnes qui viennent chez elle soient protégées.
Surtout dans le cas où la dite famille sait qu'une personne est enceinte.
Demander à une salariée si elle veut rester, c'est bien, mais cela revient à lui demander si elle veut être ^privée de son gagne-pain.
Délicat, comme question.
Pour ma prt, je trouve que la famille doit contacter l'association, mais rien ne dit qu'elle ne l'ait pas fait.