Re: associations en difficulté
Publié : 20 févr. 2011 22:31
Oui Camille!
D'autant plus ; pour notre cas; que les interventions se décomposent bien souvent en 1/2 heures et en 1/4 d'heures ( mis en place par une responsable de secteur zélée et imbue d'elle même, complètement novice dans le secteur de l'aide à domicile). Quand à payer les responsables, oui, à condition que leur temps de travail soit réellement effectif !
Je peux vous dire que si on se comportait ainsi aux domiciles, à déblatérer au téléphone , à effectuer des questionnaires et des statistiques dont on a jamais eu la couleur du moindre compte-rendu, nous aurions déjà été convoquées par ces mêmes responsables. Je ne parle pas d’une semaine entière consacrée au recrutement des remplaçantes d’été, qui pour certaines ont eu des contrats de 10 h/semaine. Le prorata des remplaçantes a été d’une pour une titulaire en congé. Une aberration, alors que les cumuls d’heures étaient déjà dans le rouge et que les titulaires pas ou plus en congés, perdaient heures sur heures et retournaient chez elles à attendre la reprise de leur travail avec un planning éclaté.
Tous les responsables ne sont pas ainsi, mais celle qui nous dirige, n’est pas « piquée des hannetons » !
Elle n’a jamais rendu de compte , a crée une ambiance exécrable entre les bénévoles dont certains ont démissionnés. Elle a eu raison puisqu’elle a été promue depuis « chargée de développement ». Quel développement ? le sien oui ! du profil melon on peut aspirer à pastèque !
Les plannings sont devenus déraisonnables, au mépris de la sécurité et du confort des salariées qui sont soumises à des contraintes de temps trop fortes.
Ces plannings, émiettés anarchiquement, induisent une explosion des frais de déplacement. De plus, ils entraînent des dépassements d’horaire non reconnus.
Il n’y a pas besoin d’être très instruite mais juste d’être pragmatique pour comprendre qu’en agissant ainsi, surtout en milieu rural, on va tout droit à notre perte.
D'autant plus ; pour notre cas; que les interventions se décomposent bien souvent en 1/2 heures et en 1/4 d'heures ( mis en place par une responsable de secteur zélée et imbue d'elle même, complètement novice dans le secteur de l'aide à domicile). Quand à payer les responsables, oui, à condition que leur temps de travail soit réellement effectif !
Je peux vous dire que si on se comportait ainsi aux domiciles, à déblatérer au téléphone , à effectuer des questionnaires et des statistiques dont on a jamais eu la couleur du moindre compte-rendu, nous aurions déjà été convoquées par ces mêmes responsables. Je ne parle pas d’une semaine entière consacrée au recrutement des remplaçantes d’été, qui pour certaines ont eu des contrats de 10 h/semaine. Le prorata des remplaçantes a été d’une pour une titulaire en congé. Une aberration, alors que les cumuls d’heures étaient déjà dans le rouge et que les titulaires pas ou plus en congés, perdaient heures sur heures et retournaient chez elles à attendre la reprise de leur travail avec un planning éclaté.
Tous les responsables ne sont pas ainsi, mais celle qui nous dirige, n’est pas « piquée des hannetons » !
Elle n’a jamais rendu de compte , a crée une ambiance exécrable entre les bénévoles dont certains ont démissionnés. Elle a eu raison puisqu’elle a été promue depuis « chargée de développement ». Quel développement ? le sien oui ! du profil melon on peut aspirer à pastèque !
Les plannings sont devenus déraisonnables, au mépris de la sécurité et du confort des salariées qui sont soumises à des contraintes de temps trop fortes.
Ces plannings, émiettés anarchiquement, induisent une explosion des frais de déplacement. De plus, ils entraînent des dépassements d’horaire non reconnus.
Il n’y a pas besoin d’être très instruite mais juste d’être pragmatique pour comprendre qu’en agissant ainsi, surtout en milieu rural, on va tout droit à notre perte.