Re: Module 5 communication
Publié : 19 mai 2009 10:22
:tv) voila c un peu tard évidemmant mais si sa peu t'aider j'ai obtenu 18/20Stage en MAS - B : Maison D’Accueil Spécialisée
Introduction :
J’ai pour ambition de devenir cadre de santé, ayant un caractère calme, respectueux, réfléchi, humain et réaliste, avec une remise en question permanente.
Dans ma perception de la vie il me semble que chaque être doit avoir une chance de vivre ou survivre, par ses valeurs et ses faiblesses.
Une étape à franchir dans le cadre de ma formation où je me suis retrouvé dans une
Institution de femmes qui présentent divers troubles psychomoteurs.
Ce service accueil 21 patientes, âgées de 25 à 68 ans, souffrant de handicap intellectuel moteur ou somatique grave « parfois associés ».
Une grande partie : - environ 70% de ses patientes est en hospitalisation suite à la demande
D’un tiers,
- 25% sont en placement libre,
- 5 % en placement d’office.
L’équipe soignante se compose d’un cadre de santé, de trois infirmiers, de neuf A.M.P, de quatre aides soignantes, et de deux agents de service, qui ont pour rôle un accompagnement psychothérapeutique parfois à long termes.
Mais il semblerait qu’ici, le respect de l’être humain n’existe pas toujours.
Page 3
1ère Partie - Description de la situation :
D’un point de vue social l’homme en général est un être de communication au delà des paroles il y a beaucoup de choses qui font actes de communication.
Elle est essentielle et vitale pour constituer son identité personnelle et sociale, l’homme a besoin des autres, la communication est intentionnelle, elle ne se fait pas au hasard, mais en fonction des individus et des situations.
En ma qualité de stagiaire j’ai pu constater des actes de maltraitance envers les patientes.
Je prends l’exemple d’une patiente dont je m’occupais, Madame Lydia C., entrée le 21.02.2008 dans ce service, pour trouble du comportement, avec antécédent alcool et AVC, reconnue handicapée à 80%, dépression chronique, perte d’autonomie avec altération de la mobilité physique, aphasie de Broca (problème d’articulation des mots) et incapacité à réaliser seule ses auto soins, cependant je vous informe que cette patiente est tout à fait consciente dans tous les sens du terme.
Un soir, les infirmiers font la distribution des médicaments avec une stagiaire infirmière, tous les patients ce tenaient à table, j’étais avec une autre patiente l’aidant à manger, trois AMP étaient également présent distribuant les plateaux, lorsque Madame Lydia C. qui a pour habitude de manger au même endroit, à la même table et avec les mêmes personnes, un AMP n’a pas voulu lui servir son repas comme prévu, estimant qu’elle mangeait trop vite et que pour lui ça perturbé le groupe.
Cela a fortement déstabilisé ma patiente qui c’est mise à pleurer, l’AMP l’a brutalement jeté dans un fauteuil Confort d’une autre patiente et a osé mettre les contentions en disant : tu nous fais chier, puis l’a isolée dans le couloir, seule durant le temps que toutes les patientes finissent de manger.
Cela a énervé d’avantage ma patiente qui hurlait, se débattait dans son isoloir et ne pouvait se protéger.
Sur l’instant, j’ai été frustré de m’apercevoir que malgré tout le personnel en place, il cautionnait, et que cela ne choqué personne. Je me suis trouvé impuissant devant toutes ces horreurs, je n’ai pu réagir ni même m’interposer a cet acte d’injustice.
Il aurait été beaucoup plus simple pour le bien être de Madame Lydia C., que cet AMP la respecte, sachant pertinemment ce dont elle avait besoin, au lieu de prouver son dilettantisme.
Je pense que si ces institutions existent, c’est tout d’abord pour reconnaître et respecter l’être humain dans ses valeurs et ses faiblesses ; Il est donc interdit de ce comporté ainsi envers des malades.
Page 4
2ème Partie – Analyse de la situation :
C’est pourquoi malgré mon statut, je n’ai pu laisser sous silence ces actes dont j’ai été témoins, ne supportant pas cette culpabilité, j’en ai référé à la direction qui me confirmait ses doutes.
Madame Lydia C. c’est retrouvée dans un état d’humiliation totale, d’incompréhension, elle n’avait plus ses repères, et c’est sentie en danger.
Ce cas n’est malheureusement pas le premier, j’ai pu constater durant un mois qu’une longue liste de maltraitance était « établie », agressions verbales et physiques, coup de serviette sur les patientes, insultes, négligence, aucune pudeur vis-à-vis des malades les obligeants à prendre des douches collectives …
Si j’avais été en état de force, plutôt qu’elle ne me regarde avec ses yeux rempli d’émotions, je n’aurais jamais pu laisser faire de tels actes de barbaries, et si dans l’état actuel des choses il m’avait été donné la possibilité de réagir, je serais venu au secours de Madame Lydia C., j’aurais établi un contact d’égal à égal, c’est-à-dire que je pourrai être à la place de cette personne, je l’aurais respecté, remise à table en la rassurant, la calmant, lui laissant sa dignité humaine.
Et concernant l’AMP je l’aurais pris appart lui rappelant qu’être soignant c’est tout d’abord accepter l’état mental et physique de l’être qu’il soigne, c’est être attentif et respectueux.
J’insiste bien sur le mot Respect.
Page 5
Conclusion :
La sagesse et l’humilité de l’homme fait que chaque jour nous grandissons d’avantage.
Etre en relation avec une personne en situation de vulnérabilité, demande d’être bien au clair avec soit même, les émotions qui sont existantes, supposent de les adapter plutôt que de les nier car elles transparaissent tôt ou tard dans les relations avec la personne.
Nous devons nous comporter comme des êtres capables d’arrêter le cercle vicieux de la violence qui engendre la violence.
Durant ce stage, j’ai été le témoin : C’est celui qui voit, qui repère, qui reçoit les dires de la personne handicapé sur sa souffrance, c’est celui qui va transmettre a un professionnel qui a la compétence pour aider cette victime.
Le témoin de nombreuses maltraitance, des abus physiques : actes de violence, contention non prescrites, les abus et sévices psychologiques, langages grossier, agressif, humiliation, exclusion sociale, les négligences physiques : manque de soins, d’hygiène.
J’ai été outré de constater la violation des droits de la personne handicapé, là où le soignant prend des décisions sans le consentement du patient.
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Introduction :
J’ai pour ambition de devenir cadre de santé, ayant un caractère calme, respectueux, réfléchi, humain et réaliste, avec une remise en question permanente.
Dans ma perception de la vie il me semble que chaque être doit avoir une chance de vivre ou survivre, par ses valeurs et ses faiblesses.
Une étape à franchir dans le cadre de ma formation où je me suis retrouvé dans une
Institution de femmes qui présentent divers troubles psychomoteurs.
Ce service accueil 21 patientes, âgées de 25 à 68 ans, souffrant de handicap intellectuel moteur ou somatique grave « parfois associés ».
Une grande partie : - environ 70% de ses patientes est en hospitalisation suite à la demande
D’un tiers,
- 25% sont en placement libre,
- 5 % en placement d’office.
L’équipe soignante se compose d’un cadre de santé, de trois infirmiers, de neuf A.M.P, de quatre aides soignantes, et de deux agents de service, qui ont pour rôle un accompagnement psychothérapeutique parfois à long termes.
Mais il semblerait qu’ici, le respect de l’être humain n’existe pas toujours.
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1ère Partie - Description de la situation :
D’un point de vue social l’homme en général est un être de communication au delà des paroles il y a beaucoup de choses qui font actes de communication.
Elle est essentielle et vitale pour constituer son identité personnelle et sociale, l’homme a besoin des autres, la communication est intentionnelle, elle ne se fait pas au hasard, mais en fonction des individus et des situations.
En ma qualité de stagiaire j’ai pu constater des actes de maltraitance envers les patientes.
Je prends l’exemple d’une patiente dont je m’occupais, Madame Lydia C., entrée le 21.02.2008 dans ce service, pour trouble du comportement, avec antécédent alcool et AVC, reconnue handicapée à 80%, dépression chronique, perte d’autonomie avec altération de la mobilité physique, aphasie de Broca (problème d’articulation des mots) et incapacité à réaliser seule ses auto soins, cependant je vous informe que cette patiente est tout à fait consciente dans tous les sens du terme.
Un soir, les infirmiers font la distribution des médicaments avec une stagiaire infirmière, tous les patients ce tenaient à table, j’étais avec une autre patiente l’aidant à manger, trois AMP étaient également présent distribuant les plateaux, lorsque Madame Lydia C. qui a pour habitude de manger au même endroit, à la même table et avec les mêmes personnes, un AMP n’a pas voulu lui servir son repas comme prévu, estimant qu’elle mangeait trop vite et que pour lui ça perturbé le groupe.
Cela a fortement déstabilisé ma patiente qui c’est mise à pleurer, l’AMP l’a brutalement jeté dans un fauteuil Confort d’une autre patiente et a osé mettre les contentions en disant : tu nous fais chier, puis l’a isolée dans le couloir, seule durant le temps que toutes les patientes finissent de manger.
Cela a énervé d’avantage ma patiente qui hurlait, se débattait dans son isoloir et ne pouvait se protéger.
Sur l’instant, j’ai été frustré de m’apercevoir que malgré tout le personnel en place, il cautionnait, et que cela ne choqué personne. Je me suis trouvé impuissant devant toutes ces horreurs, je n’ai pu réagir ni même m’interposer a cet acte d’injustice.
Il aurait été beaucoup plus simple pour le bien être de Madame Lydia C., que cet AMP la respecte, sachant pertinemment ce dont elle avait besoin, au lieu de prouver son dilettantisme.
Je pense que si ces institutions existent, c’est tout d’abord pour reconnaître et respecter l’être humain dans ses valeurs et ses faiblesses ; Il est donc interdit de ce comporté ainsi envers des malades.
Page 4
2ème Partie – Analyse de la situation :
C’est pourquoi malgré mon statut, je n’ai pu laisser sous silence ces actes dont j’ai été témoins, ne supportant pas cette culpabilité, j’en ai référé à la direction qui me confirmait ses doutes.
Madame Lydia C. c’est retrouvée dans un état d’humiliation totale, d’incompréhension, elle n’avait plus ses repères, et c’est sentie en danger.
Ce cas n’est malheureusement pas le premier, j’ai pu constater durant un mois qu’une longue liste de maltraitance était « établie », agressions verbales et physiques, coup de serviette sur les patientes, insultes, négligence, aucune pudeur vis-à-vis des malades les obligeants à prendre des douches collectives …
Si j’avais été en état de force, plutôt qu’elle ne me regarde avec ses yeux rempli d’émotions, je n’aurais jamais pu laisser faire de tels actes de barbaries, et si dans l’état actuel des choses il m’avait été donné la possibilité de réagir, je serais venu au secours de Madame Lydia C., j’aurais établi un contact d’égal à égal, c’est-à-dire que je pourrai être à la place de cette personne, je l’aurais respecté, remise à table en la rassurant, la calmant, lui laissant sa dignité humaine.
Et concernant l’AMP je l’aurais pris appart lui rappelant qu’être soignant c’est tout d’abord accepter l’état mental et physique de l’être qu’il soigne, c’est être attentif et respectueux.
J’insiste bien sur le mot Respect.
Page 5
Conclusion :
La sagesse et l’humilité de l’homme fait que chaque jour nous grandissons d’avantage.
Etre en relation avec une personne en situation de vulnérabilité, demande d’être bien au clair avec soit même, les émotions qui sont existantes, supposent de les adapter plutôt que de les nier car elles transparaissent tôt ou tard dans les relations avec la personne.
Nous devons nous comporter comme des êtres capables d’arrêter le cercle vicieux de la violence qui engendre la violence.
Durant ce stage, j’ai été le témoin : C’est celui qui voit, qui repère, qui reçoit les dires de la personne handicapé sur sa souffrance, c’est celui qui va transmettre a un professionnel qui a la compétence pour aider cette victime.
Le témoin de nombreuses maltraitance, des abus physiques : actes de violence, contention non prescrites, les abus et sévices psychologiques, langages grossier, agressif, humiliation, exclusion sociale, les négligences physiques : manque de soins, d’hygiène.
J’ai été outré de constater la violation des droits de la personne handicapé, là où le soignant prend des décisions sans le consentement du patient.
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