Re: Du confinement à la carotte...
Publié : 21 déc. 2021 15:45
Il s'agit d'une autre vision politique de la santé.
C'est à dire une santé de proximité ! Ce qui a été abandonné dans notre pays (à qui vais je l'apprendre ?)...
Ce risque de crise sanitaire était connu, des alertes, des simulations également permettaient de pointer du doigt les failles de notre système santé.
Qui a écouté ? Qui a appliqué ?
Aujourd'hui, ce qu'il faut faire pour amortir le plus rapidement possible l'impact d'omicron, ce n'est pas (seulement) un plan blanc !
C'est d'aller au contact de la population la plus à risque !
Moi les propositions auraient été les suivantes si les moyens m'en auraient été donnés (appliquons un principe de 6ème république) :
Je n'aurais pas rendu la vaccination obligatoire, pas de pass sanitaire tel qu'il a été appliqué jusqu'alors (uniquement à l'encontre des grands rassemblements), mais pas d'arrêts économiques tel que nous avons connu jusqu'alors, ces décisions qui ont engendré des pertes économiques colossales dans l'ensemble du parc entreprenariat et qui a également impacté les institutions publiques.
Ce qu'il faut faire et ça reste valable maintenant (même si le retour arrière face aux engagements en vue d'une politique du tout vaccinal est délicat car il y a une industrie derrière qui pousse dans ce sens), c'est de mettre en place une politique santé de proximité ALLER CHERCHER les gens ALLER A LEUR CONTACT il faut savoir que parmi les 80 ans et + ça représente chez les non-vaccinés 500 000 personnes ! Ces 500 000 personnes de + de 80 ans non-vaccinés ne sont pas forcément des gens réfractaires à la vaccination. Ce sont pour beaucoup des gens plus isolés en et milieux reculés. Il faut savoir que parmi cette population, parmi eux se trouvent des personnes qui n'ont pas vu de médecin depuis plusieurs années ! Oui, vous aurez du mal à le croire, mais c'est une réalité (que j'ai appris assez récemment, j'ignorais qu'on pouvait à 80 ans et plus ne pas voir du tout de personnel de santé, bien c'est le cas pour une partie de la population âgée !). Parmi cette population, bien sûr, vous aurez une petite partie de gens "qui ne veulent pas" et une petite partie également dépressive car il faut se poser les bonnes questions. Aujourd'hui, en 2021, comment se fait il qu'on délaisse encore une bonne partie de cette population ? Ca s'explique en grande partie par la désertification de la politique santé de proximité ! Et en prônant le "tout le monde vacciné" Macron REFUSE DE S'INSCRIRE dans cette remise en place pour une politique de proximité de la santé !
Bien personnellement, je vous le dis : j'aurais lâché des budgets conséquents pour mettre en place ces solutions dans un contexte de crise sanitaire, plutôt que de passer pour une obligation vaccinale pour tous ! Avec moi, oui, les personnels de santé auraient été FIERS et n'auraient pas ressenti cette HONTE de passer de gens célébrés en 2020 à des gens qui ont été, sont menacés de suspension de salaire et de licenciement en 2021 !
Je vous l'écrit, s'il y a une chose à faire face au variant Omicron c'est d'aller au plus près de la population à risque ce qui représente encore une fois, environ 1.5 million de personnes sur tout le territoire français ! Il ne s'agit pas de les obliger mais de les accompagner, de les rassurer, de les informer, d'apporter de l'humain ! De l'écoute, de l'attention ! Les professionnels SAVENT et il faut leur faire confiance, une grande partie de cette population serait alors vaccinée et protégée, ce qui donnerait alors la possibilité aux services hospitaliers de ne pas se retrouver saturés !
Mais ma vision découle d'une autre vision de société qui n'aurait pas servi la soupe aux lobbies.
Je dirais que ma politique aurait fait tâche d'huile mais je me serais occupé des plus à risque REELLEMENT et sans aucune forme de méthode répressive ! La vaccination aurait été ouverte à toute la population mais au volontariat et les doses en trop auraient été envoyées dans les pays qui sont dans le besoin ! Il est clair que ça n'aurait pas plu, que nous n'aurions pas eu forcément la nécessité d'avoir à faire vacciner tout le monde tous les 4 mois et qu'on m'aurait critiqué de façon virulente à propos d'une forme de discrimination à l'encontre de la population, mais à partir du moment où aucune obligation n'est appliquée, juste une mise en moyens pour aller à la rencontre de la population directement à risque, je ne vois pas où se trouve là une discrimination.
Ici, on crée des boucs-émissaires car dans le contexte actuel, les "non-vaccinés" représentent la "cause" de la situation actuelle, une minorité est désignée comme "coupable" (à en lire certains, il faudrait ressortir les potences et bûchers), mais n'oublions pas de désigner les véritables responsables qui se trouvent être dans l'appareil de l'Etat et dont les gouvernements successifs ne font qu'appliquer une politique de désertification médicale de secteur décidée et appliquée depuis de très nombreuses années ! Ne vous trompez pas d'ennemi... Parce que oui, ceux qui servent la soupe à des lobbies industriels, je les considère comme des ennemis, ceux qui contribuent à produire cette situation critique d'une société qui en vient à assumer de revendiquer des sous-citoyens dans une sous-société, ça existait déjà avant dans le monde de la précarité (que je connais bien) ça arrive jusque dans le secteur santé. J'ai le sentiment plus que jamais d'être réduit à un maillon qui permettrait à une machine industrielle et économique de fonctionner et je n'ai pas envie de consentir à cette vision de société ! Il y a ici des profiteurs de guerre et il en est assez !!
C'est à dire une santé de proximité ! Ce qui a été abandonné dans notre pays (à qui vais je l'apprendre ?)...
Ce risque de crise sanitaire était connu, des alertes, des simulations également permettaient de pointer du doigt les failles de notre système santé.
Qui a écouté ? Qui a appliqué ?
Aujourd'hui, ce qu'il faut faire pour amortir le plus rapidement possible l'impact d'omicron, ce n'est pas (seulement) un plan blanc !
C'est d'aller au contact de la population la plus à risque !
Moi les propositions auraient été les suivantes si les moyens m'en auraient été donnés (appliquons un principe de 6ème république) :
Je n'aurais pas rendu la vaccination obligatoire, pas de pass sanitaire tel qu'il a été appliqué jusqu'alors (uniquement à l'encontre des grands rassemblements), mais pas d'arrêts économiques tel que nous avons connu jusqu'alors, ces décisions qui ont engendré des pertes économiques colossales dans l'ensemble du parc entreprenariat et qui a également impacté les institutions publiques.
Ce qu'il faut faire et ça reste valable maintenant (même si le retour arrière face aux engagements en vue d'une politique du tout vaccinal est délicat car il y a une industrie derrière qui pousse dans ce sens), c'est de mettre en place une politique santé de proximité ALLER CHERCHER les gens ALLER A LEUR CONTACT il faut savoir que parmi les 80 ans et + ça représente chez les non-vaccinés 500 000 personnes ! Ces 500 000 personnes de + de 80 ans non-vaccinés ne sont pas forcément des gens réfractaires à la vaccination. Ce sont pour beaucoup des gens plus isolés en et milieux reculés. Il faut savoir que parmi cette population, parmi eux se trouvent des personnes qui n'ont pas vu de médecin depuis plusieurs années ! Oui, vous aurez du mal à le croire, mais c'est une réalité (que j'ai appris assez récemment, j'ignorais qu'on pouvait à 80 ans et plus ne pas voir du tout de personnel de santé, bien c'est le cas pour une partie de la population âgée !). Parmi cette population, bien sûr, vous aurez une petite partie de gens "qui ne veulent pas" et une petite partie également dépressive car il faut se poser les bonnes questions. Aujourd'hui, en 2021, comment se fait il qu'on délaisse encore une bonne partie de cette population ? Ca s'explique en grande partie par la désertification de la politique santé de proximité ! Et en prônant le "tout le monde vacciné" Macron REFUSE DE S'INSCRIRE dans cette remise en place pour une politique de proximité de la santé !
Bien personnellement, je vous le dis : j'aurais lâché des budgets conséquents pour mettre en place ces solutions dans un contexte de crise sanitaire, plutôt que de passer pour une obligation vaccinale pour tous ! Avec moi, oui, les personnels de santé auraient été FIERS et n'auraient pas ressenti cette HONTE de passer de gens célébrés en 2020 à des gens qui ont été, sont menacés de suspension de salaire et de licenciement en 2021 !
Je vous l'écrit, s'il y a une chose à faire face au variant Omicron c'est d'aller au plus près de la population à risque ce qui représente encore une fois, environ 1.5 million de personnes sur tout le territoire français ! Il ne s'agit pas de les obliger mais de les accompagner, de les rassurer, de les informer, d'apporter de l'humain ! De l'écoute, de l'attention ! Les professionnels SAVENT et il faut leur faire confiance, une grande partie de cette population serait alors vaccinée et protégée, ce qui donnerait alors la possibilité aux services hospitaliers de ne pas se retrouver saturés !
Mais ma vision découle d'une autre vision de société qui n'aurait pas servi la soupe aux lobbies.
Je dirais que ma politique aurait fait tâche d'huile mais je me serais occupé des plus à risque REELLEMENT et sans aucune forme de méthode répressive ! La vaccination aurait été ouverte à toute la population mais au volontariat et les doses en trop auraient été envoyées dans les pays qui sont dans le besoin ! Il est clair que ça n'aurait pas plu, que nous n'aurions pas eu forcément la nécessité d'avoir à faire vacciner tout le monde tous les 4 mois et qu'on m'aurait critiqué de façon virulente à propos d'une forme de discrimination à l'encontre de la population, mais à partir du moment où aucune obligation n'est appliquée, juste une mise en moyens pour aller à la rencontre de la population directement à risque, je ne vois pas où se trouve là une discrimination.
Ici, on crée des boucs-émissaires car dans le contexte actuel, les "non-vaccinés" représentent la "cause" de la situation actuelle, une minorité est désignée comme "coupable" (à en lire certains, il faudrait ressortir les potences et bûchers), mais n'oublions pas de désigner les véritables responsables qui se trouvent être dans l'appareil de l'Etat et dont les gouvernements successifs ne font qu'appliquer une politique de désertification médicale de secteur décidée et appliquée depuis de très nombreuses années ! Ne vous trompez pas d'ennemi... Parce que oui, ceux qui servent la soupe à des lobbies industriels, je les considère comme des ennemis, ceux qui contribuent à produire cette situation critique d'une société qui en vient à assumer de revendiquer des sous-citoyens dans une sous-société, ça existait déjà avant dans le monde de la précarité (que je connais bien) ça arrive jusque dans le secteur santé. J'ai le sentiment plus que jamais d'être réduit à un maillon qui permettrait à une machine industrielle et économique de fonctionner et je n'ai pas envie de consentir à cette vision de société ! Il y a ici des profiteurs de guerre et il en est assez !!

