Re: l'Aaaarrhhh.S.E./ famille d'accueil
Publié : 03 sept. 2005 12:58
P.S.: n'envisagez rien sans en avoir discuté au préalable avec un avocat; il y a mon mail si vous souhaitiez poursuivre plus discrètement 
J'aurais beaucoup de choses à dire à la lecture de l'ensemble de ces messages...
chrystel,
> je souhaiterais me diriger vers des
> organismes privés
il existe également des organismes associatifs de parrainages qui travaillent encore avec l'ASE et aussi avec le Juge des Enfants dans le cadre d'AEMO.
http://unenfantunefamille.free.fr/definition.htm
ce n'est pas la même chose que FA, c'est du bénévolat (sauf frais alimentaires) et les relations entre l'enfant et la famille naturelle sont privilégiées.
> mais ça couteeeeeeeeeeeeeee
ce genre de solutions ne coute pas cher du tout, en tous cas peanuts comparé au prix de journée de 150€ (et parfois plus) d'un foyer, les intervenants réfléchissent, travaillent avec l'enfant et avec la famille naturelle et ca parrait être efficace.
la solution FA ne coute-t-elle pas environ 100€/jour à la collectivité?
J.Michel
> ou bien avec des etablissement autoniome
> qui ont des services de placement familiale.
sûrement des assoc agrées qui se substituent ou complètent les capacités de l'ASE et qui travaillent avec le JE.
> Par experience les etablissement sont plus
> prés de leurs salariés avec une presence
> en astreinte 7j/7 et 24h/24, vous n'aurez
> pas les meme problemes qu'avec l'ase.
les assocs doivent tenir une gestion rigoureuse si elles veulent conserver leur agrément et continuer de percevoir leurs subventions. rien que sur ce plan, comme sur de nombreux autres, l'ASE peut faire n'importe quoi. ca peut expliquer qu'il n'y ait pas les mêmes problèmes.
> Par contre l'etablisement vous en
> demendera peut etre plus en terme
> d'accompagnement, d'observation...
c'est à dire que l'établissement va accompagner la FA et travailler avec elle par opposition à l'ASE qui dans de nombreux cas n'interviendrait qu'annuellement, dans le cadre d'un bilan, pendant quelques minutes.
j'ai le sentiment que Marie aurait de loin préféré un accompagnement et quelques contraintes liées à l'observation plutôt que de rencontrer toutes ces difficultés puis de faire les constats qu'elle nous a exposé cet été.