Re: votre avis sur une phrase dans un journal
Publié : 06 juil. 2007 15:51
Bonjour
Je suis en grande partie d'accord avec cette affirmation.
Cela est très personnel et dépend de nombreux facteurs.
Lorsque l'on débute dans ce métier, on est plein de motivation en se disant chouette je vais travailler dans social et me sentir utile.
Mais la réalité revient au grand galop. Les salaires assez bas, les interventions annulées au dernier moment, le temps partiel subi. Les associations qui ne font rien pour vous aider à vous former.
Ce qui a été mon cas. J'ai décidé que tant que je ne serai pas formée malgré mes 3 ans d'expérience, je ne retournerai pas dans ce secteur.
Avoir un diplôme et le DEAVS devient vraiment une référence, est valorisant et l'on devient plus professionnel ce qui permet de faire face aux difficultés que l'on rencontre lors des interventions , comme l'agressivité. On peut alors prendre du recul et analyser la situation et alors ajuster son intervention.
Je pense que la qualification entraîne plus de motivation car on est reconnu comme une professionnelle.
Ceci dit, l'usure professionnelle entraîne une perte de motivation même avec une qualification.
C'est vraiment quelque chose de très personnel à chacune (chacun) d'entre nous.
Mais je pense aussi que les associations sont en grande partie responsable de la démotivation des AVS par manque de suivi professionnel, de reconnaissance et de respect. Et aussi car les centres de formation sont débordés de candidats et qu'il y a trop peu de places.
Pour obtenir le DEAVS c'est la galère.
Mais la question est : les associations ont-elles vraiment envie d'embaucher des AD diplômées car cela coûte beaucoup plus cher ?
Bon courage
Eliane
Je suis en grande partie d'accord avec cette affirmation.
Cela est très personnel et dépend de nombreux facteurs.
Lorsque l'on débute dans ce métier, on est plein de motivation en se disant chouette je vais travailler dans social et me sentir utile.
Mais la réalité revient au grand galop. Les salaires assez bas, les interventions annulées au dernier moment, le temps partiel subi. Les associations qui ne font rien pour vous aider à vous former.
Ce qui a été mon cas. J'ai décidé que tant que je ne serai pas formée malgré mes 3 ans d'expérience, je ne retournerai pas dans ce secteur.
Avoir un diplôme et le DEAVS devient vraiment une référence, est valorisant et l'on devient plus professionnel ce qui permet de faire face aux difficultés que l'on rencontre lors des interventions , comme l'agressivité. On peut alors prendre du recul et analyser la situation et alors ajuster son intervention.
Je pense que la qualification entraîne plus de motivation car on est reconnu comme une professionnelle.
Ceci dit, l'usure professionnelle entraîne une perte de motivation même avec une qualification.
C'est vraiment quelque chose de très personnel à chacune (chacun) d'entre nous.
Mais je pense aussi que les associations sont en grande partie responsable de la démotivation des AVS par manque de suivi professionnel, de reconnaissance et de respect. Et aussi car les centres de formation sont débordés de candidats et qu'il y a trop peu de places.
Pour obtenir le DEAVS c'est la galère.
Mais la question est : les associations ont-elles vraiment envie d'embaucher des AD diplômées car cela coûte beaucoup plus cher ?
Bon courage
Eliane