Re: vae pour diplome d'assistante sociale
Publié : 17 oct. 2007 11:13
A tous les candidat de VAE:
Après contact avec le CNASEA de Limoges, pour m'informer de la marche à suivre, en vue de l'obtention du ou des DC manquants pour nos validations partielles, j'ai fait part de mes insatisfactions générales:
1- tant du point de vue des infos fournies AVANT l'accompagnement,
2- que de l'accompagnement en lui-même,
3- que du déroulement de l'oral avec le jury chargé de l'évaluation de chacun des candidats.
En effet, bon nombre d'entre nous, qu'ils soient validés partiel ou total, ont eu le ressentiment désagréable et étrange, de se faire piéger en permanence par des questions "sauvages", destinées à les déstabiliser. (ce mot fut employé à maintes reprises).
Par ailleurs, certains d'entre nous, se demandent même pourquoi avoir passé autant de temps à écrire, constatant bien amèrement qu'ils n'ont pas été interrogés directement et à propos de ces écrits. C'est-à-dire, qu'aucune demande de précisions n'émanaient directement de leurs livret II.
Pour finir, force est donc de constater, qu'une certaine déontologie fut effectivement préconisée au jury, d'extraire la substantifique moelle de nos écrits pour valider notre (ou nos) expériences, et non pas de s'acharner sur les candidats pour pointer essentiellement les manques, leur démarche fut parfaitement à l'opposé et toute contraire à l'éthique non simplement recommandée, mais imposée par cette évaluation.
En fait, il est aisé de se rendre compte et d'adhérer à la problématique suivante, évoquée par une candidate:
Tant les professionnels du secteur (non pas les employeurs), que les étudiants en cursus d'école sont absolument OPPOSES à ce système d'octroi du diplôme.
Telle une caste, ils cherchent à tous prix à "se protéger" de nous, nous considérant bien mal à propos, tels des pseudo professionnels.
Cette attitude "suffisante et sectaire imbuvable" est à bannir et à combattre.
De plus, lorsque j'entends dire par ces professionnels de terrain, que les AS n'ont aucun devoir de résultats, ce discours me fait bondir, d'autant plus que TOUS les employeurs contactés pour embauche et certaines offres d'emploi mentionnent clairement l'obtention impératifs de résultats.
Pour exemple: confère offre d'emploi n° 1139 de BATIGERE (réf BTG1139/UNHLM sur le site www.union-habitat.org/emploihlm2
lequel clot son offre par le terme "ainsi que votre sens du résultat".
Le CNASEA de Limoges invite les mécontents et les déçus (au terme de quasi 1 an de travail) à lui communiquer leurs déceptions de tous ordres, pour que de manière totalement anonyme ce dernier puisse "faire remonter l'information" auprès des DASS ou de la DRASS.
Dans notre intérêt, unissons nous pour faire modifier les attitudes et comportements des personnes auxquelles nous avons été confrontées.
Nous avons certe essuyé "les platres", donnons nous les moyens de faire améliorer la situation, puisque l'occasion nous en est offerte.
A titre d'information statistique:
68 candidats présentés.
36 reçus validation totale.
18 partielles.
14 recalés.
Soit environ 1/2 recalé totalement ou partiellement.
Alors certains, auraient-ils fait trop nettement montre de danger pour autrui?
Ou n'auraient-ils pas su simplement se mettre en valeur ? Dans le contexte d'examen, avec cette impression de piège permanent, c'eût été un réel exploit, car particulièrement difficile de parvenir à rester serein!
A bon entendeur.....
Après contact avec le CNASEA de Limoges, pour m'informer de la marche à suivre, en vue de l'obtention du ou des DC manquants pour nos validations partielles, j'ai fait part de mes insatisfactions générales:
1- tant du point de vue des infos fournies AVANT l'accompagnement,
2- que de l'accompagnement en lui-même,
3- que du déroulement de l'oral avec le jury chargé de l'évaluation de chacun des candidats.
En effet, bon nombre d'entre nous, qu'ils soient validés partiel ou total, ont eu le ressentiment désagréable et étrange, de se faire piéger en permanence par des questions "sauvages", destinées à les déstabiliser. (ce mot fut employé à maintes reprises).
Par ailleurs, certains d'entre nous, se demandent même pourquoi avoir passé autant de temps à écrire, constatant bien amèrement qu'ils n'ont pas été interrogés directement et à propos de ces écrits. C'est-à-dire, qu'aucune demande de précisions n'émanaient directement de leurs livret II.
Pour finir, force est donc de constater, qu'une certaine déontologie fut effectivement préconisée au jury, d'extraire la substantifique moelle de nos écrits pour valider notre (ou nos) expériences, et non pas de s'acharner sur les candidats pour pointer essentiellement les manques, leur démarche fut parfaitement à l'opposé et toute contraire à l'éthique non simplement recommandée, mais imposée par cette évaluation.
En fait, il est aisé de se rendre compte et d'adhérer à la problématique suivante, évoquée par une candidate:
Tant les professionnels du secteur (non pas les employeurs), que les étudiants en cursus d'école sont absolument OPPOSES à ce système d'octroi du diplôme.
Telle une caste, ils cherchent à tous prix à "se protéger" de nous, nous considérant bien mal à propos, tels des pseudo professionnels.
Cette attitude "suffisante et sectaire imbuvable" est à bannir et à combattre.
De plus, lorsque j'entends dire par ces professionnels de terrain, que les AS n'ont aucun devoir de résultats, ce discours me fait bondir, d'autant plus que TOUS les employeurs contactés pour embauche et certaines offres d'emploi mentionnent clairement l'obtention impératifs de résultats.
Pour exemple: confère offre d'emploi n° 1139 de BATIGERE (réf BTG1139/UNHLM sur le site www.union-habitat.org/emploihlm2
lequel clot son offre par le terme "ainsi que votre sens du résultat".
Le CNASEA de Limoges invite les mécontents et les déçus (au terme de quasi 1 an de travail) à lui communiquer leurs déceptions de tous ordres, pour que de manière totalement anonyme ce dernier puisse "faire remonter l'information" auprès des DASS ou de la DRASS.
Dans notre intérêt, unissons nous pour faire modifier les attitudes et comportements des personnes auxquelles nous avons été confrontées.
Nous avons certe essuyé "les platres", donnons nous les moyens de faire améliorer la situation, puisque l'occasion nous en est offerte.
A titre d'information statistique:
68 candidats présentés.
36 reçus validation totale.
18 partielles.
14 recalés.
Soit environ 1/2 recalé totalement ou partiellement.
Alors certains, auraient-ils fait trop nettement montre de danger pour autrui?
Ou n'auraient-ils pas su simplement se mettre en valeur ? Dans le contexte d'examen, avec cette impression de piège permanent, c'eût été un réel exploit, car particulièrement difficile de parvenir à rester serein!
A bon entendeur.....