Salut a tous,
Loin de moi l'idée de relancer cette petite joute verbale mais juste un message pour "Rennais enfin" je veins de relire avec stupéfaction ton message du 4/05 où tu relates l'agression dont tu as été victime. Personnellement je suis scandalisée (et je pèse mes mots) par l'absence de soutien et le dénigrement dont tu as été victime). Après une telle agression je me demande coment tu peux continuer à bosser seul. J'espere que depuis tu as reçu un soutien quelconque...
Mais je m'inerroge sur le lien que tu fais entre ce type d'evenement extremement grave et la formation. Personnellement, je pense qu'aucune formation ne peux préparer à surmonter ce genre d'agression. la seule chose qu'un systeme de formation peut "anticiper" c'est d'informer les agents surleurs droits. Car tu relates les menaces dont tu as été victime ainsi que ta famille. J'imagine que tu le sais déja (mais une piqure de rapel nefait jamais de mal)l'administration a obligation de protéger ses agents etleur famille si l'agression ainsi que les suite (menace de repressailles...) dont a été victime l'agent est intervenue dans son cadre professionel et enligne directe avec ses fonctions.
Comme la discussion porte sur les contenus de formation, personnellement je m'interroge sur la formation à la violence. Peut on vraiment y etre formé? Car certains d'entre vous parle de "bonne formation" j'ai beau essayer de réflechir, je ne connais aucune "bonne formation", je suis issue de la promo classique et les 2 ans le formation m'ont paru extremement longs et lourds, infantilisants et souvent futiles. Après qq années d'exercices en FAE je relativise car le memoire (aussi penible soit il a écrire) oblige à distancier et théoriser(et ce n'était pas le premier que j'écrivais), l'aternance entre stages et ptf m'a permis de refléchir sur mes pratiques et le travail d'éduc ( penser la pluridisciplinarité par ex). Et pour finir j'ai eu la chance d'avoir des reférente de stages au top( surotut en hebergement). Les 2 ans de formation m'ont permis de savoir si je desirais vraiment bosser dans cette administration.
Bien evidement cette formation a beaucoup de manque. Et bien sure que je n'étais pas educ à la sortie de marly. J'étais juste titulaire et perso le choc a été rude. Je rejoins Chris quand elle dit que nos écrits ont du poid face à un juge. Je m'interroge aussi sur les qualité d'écriture de certains personnels. Mais j'inclue aussi les éducateurs. Je déplore la pauvreté d'écriture de certains rapports. Personnellement je trouve qu'il n'y a de moins en moins de reflexion de qualité ausein des FAE et ce quelque soit le profil, parcours ou formation des uns et des autres.
Je déplore cette évolution, je pense que nous sommes tellement pris dans des problèmes corporatistes que nous en oublions ce pour quoi on a signé... Bien sur que nous ne pouvons faire l'économie de reflechir à l'integration des catégorise C au corps des éduc. Et ce dans les meilleures conditions possibles pour tous.
Alors plutot que d'accentuer les suceptibilités réciproque, peut etre serait-il interessant d'etre force de proposition et d'échanger sur des modalités de travail en hébergement tout en intégrant leprincipe de faire des nuits en hébergement, la prise en compte des nouveaux collègues (jeune titulaires, ancien ate,op...)
N'estce pas l'intitlé de ce forum? "Questions sur le travail en foyer"
Enfin et j'ai presque finis c'est promis.
Petit messagze à Grandir, je n'ai toujours pas compris ton message du 28/04/08. Pourrais tu clairer ma lanterne stp?
Quant à l'organisation des tranches horaires que tu préconises pour l'organisation des services d'educ, perso je ne vois pas sur quele légitimité éducative elle se fonde. Merci de m'éclairer sur ce point.
Bonne lundi de Pentecote à tous.
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Question sur travail en foyer ?
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Fab
Re: Question sur travail en foyer ?
Salut Maryline, tu es enfin de retour sur le forum!!!
A bientôt alors sur cet espace de discussion.
Un collègue qui a déjeuné avec toi vendredi dernier.
A bientôt alors sur cet espace de discussion.
Un collègue qui a déjeuné avec toi vendredi dernier.
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rennais enfin
Re: Question sur travail en foyer ?
Salut Maryline,
Alors finalement, une semaine sans "joute verbale" entre moi et grandir, ça vous manque...;o)
Après la plaisanterie, quand tu dis que "l'administration a obligation de protéger ses agents et leur famille si l'agression ainsi que les suite (menace de représailles...) dont a été victime l'agent est intervenue dans son cadre professionnel et en ligne directe avec ses fonctions.", je veux bien dans la théorie, mais ce n'est pas si facile.
un autre exemple véridique: Quand ma voiture a été vandalisé par un jeune (avec plainte contre l'auteur identifié, témoignage d'educ et de jeune prouvant sa culpabilité) l'administration s'est engagée une semaine après à me payer mes frais de réparation et d'avocat (les mêmes qui m'ont laissé sans aide après l'agression) . Cet engagement s'est finalisé 2 ans et demi plus tard, et je crois que l'avocat attend toujours ses honoraires. J'ai du emprunter 1500 euros pour faire les réparations( indispensable pour venir travailler), j'ai réclamé mes sous tout les mois pendant 30 mois, j'ai encore des avis d'impayés de l'avocat.
Mais je ne dis pas que tout les foyers délaissent leur personnel. Après 3 foyer différents, je commence à voir un certain panel d'hébergement et je pense juste qu'il ne faut rien attendre des directions et gérer les problèmes quand ils surviennent, ne pas laissé les autres le faire car c'est la déception assurée. J'ai repris le travail après une semaine d'arrêt, les stigmates de la nuit "enflammée" sont restés deux mois. Les jeunes en ont beaucoup fait allusion et si je n'étais pas revenu si tôt, je crois que je n'aurais pas pu reprendre. C'est en allant au feu que j'ai montré aux jeunes qu'ils n'avaient pas gagné, on ne se débarrasse pas de moi comme ça. Pour seul accompagnement, on m'a laissé sur un post-it les coordonnées d'un psy, à consulter sur mes temps de repos( la journée évidement) à 100 km de chez moi (dans la ville de la DD). Alors pour ce qui est des paroles comme des menaces ou des insultes, je n'ai jamais vu de réaction d'aucune direction.
Et pourquoi je continue à travailler seul la nuit? C'est parce qu'aucun educ(en présence d'un ATE) ne souhaite doubler et je ne suis pas de ceux qui viennent se plaindre au moindre accroc. J'ai choisi mon travail en toute connaissance mais la théorie et la pratique sont tellement différentes. On ne connait pas ses réactions devant un tel déchainement de violence et mon vécu m'a plus servi que la formation.
Pour revenir au formation, évidement on ne peut pas demander de gérer tout les types d'agression ou tout les types de dysfonctionnement. Cela dit on ne nous avait pas dit que les astreintes de direction ne se déplaçaient jamais, que l'on était de simple pions que l'on place en 1ere ligne. Que si on a besoin d'aide, il faut ne pas être pressé et exigeant.
Je pense surtout qu'on nous demande, pour un salaire de misère, de gérer des choses que personne ne souhaite gérer pour tout l'or du monde, et que pour nous payer une misère on a dit qu'il fallait un concours catégorie C. C'est unique dans la fonction publique qu'un simple agent ait tant de responsabilité. Et je crois que l'ATE qui a résisté de 5 à 10 ans aux lourdeurs administratives, à la violence des jeunes, à l'indifférence des collègues, à la solitude des nuits, a acquis le droit de devenir éducateur réellement, malgré une pauvreté d'écriture certaine( on ne fait pas ATE après 2 maitrises et 10 ans de responsabilité, n'est ce pas grandir ;o)). Et le poids des rapports, la distanciation, le relativisme, n'existe-t-il qu'a Marly, que dans le mémoire, que dans la formation classique? Moi je pense que mes notes ont peut être une forme approximative, mais un fond emprunt de vérité, de terrain, de réalité et non de psychomachin ou de sociotruc (désolé mon vocabulaire me manque...après une nuit en plein week end rallongé et ou il n'aurait pas fait bon de faire des grillades, vu l'éloignement des cadres d'astreinte)
Alors déplore cette évolution si tu le veux, ça arrange plus de monde car personne ne désire notre place, mais que tu le veuilles ou non, nous sommes déjà educ, sous payé certes, sous diplômé certes, mal formé certes, mésestimé certes, mais toujours présents pour éteindre l'incendie, alors que d'autre plus diplômé mettent de l'huile sur le feu et s'enfuit avant que tout s'embrase. Je ne dis pas que c'est tout les éduc mais certain ne nous facilite pas le travail et ceux-la je préfère qu'ils ne doublent pas les nuits avec moi. salut a tous
Alors finalement, une semaine sans "joute verbale" entre moi et grandir, ça vous manque...;o)
Après la plaisanterie, quand tu dis que "l'administration a obligation de protéger ses agents et leur famille si l'agression ainsi que les suite (menace de représailles...) dont a été victime l'agent est intervenue dans son cadre professionnel et en ligne directe avec ses fonctions.", je veux bien dans la théorie, mais ce n'est pas si facile.
un autre exemple véridique: Quand ma voiture a été vandalisé par un jeune (avec plainte contre l'auteur identifié, témoignage d'educ et de jeune prouvant sa culpabilité) l'administration s'est engagée une semaine après à me payer mes frais de réparation et d'avocat (les mêmes qui m'ont laissé sans aide après l'agression) . Cet engagement s'est finalisé 2 ans et demi plus tard, et je crois que l'avocat attend toujours ses honoraires. J'ai du emprunter 1500 euros pour faire les réparations( indispensable pour venir travailler), j'ai réclamé mes sous tout les mois pendant 30 mois, j'ai encore des avis d'impayés de l'avocat.
Mais je ne dis pas que tout les foyers délaissent leur personnel. Après 3 foyer différents, je commence à voir un certain panel d'hébergement et je pense juste qu'il ne faut rien attendre des directions et gérer les problèmes quand ils surviennent, ne pas laissé les autres le faire car c'est la déception assurée. J'ai repris le travail après une semaine d'arrêt, les stigmates de la nuit "enflammée" sont restés deux mois. Les jeunes en ont beaucoup fait allusion et si je n'étais pas revenu si tôt, je crois que je n'aurais pas pu reprendre. C'est en allant au feu que j'ai montré aux jeunes qu'ils n'avaient pas gagné, on ne se débarrasse pas de moi comme ça. Pour seul accompagnement, on m'a laissé sur un post-it les coordonnées d'un psy, à consulter sur mes temps de repos( la journée évidement) à 100 km de chez moi (dans la ville de la DD). Alors pour ce qui est des paroles comme des menaces ou des insultes, je n'ai jamais vu de réaction d'aucune direction.
Et pourquoi je continue à travailler seul la nuit? C'est parce qu'aucun educ(en présence d'un ATE) ne souhaite doubler et je ne suis pas de ceux qui viennent se plaindre au moindre accroc. J'ai choisi mon travail en toute connaissance mais la théorie et la pratique sont tellement différentes. On ne connait pas ses réactions devant un tel déchainement de violence et mon vécu m'a plus servi que la formation.
Pour revenir au formation, évidement on ne peut pas demander de gérer tout les types d'agression ou tout les types de dysfonctionnement. Cela dit on ne nous avait pas dit que les astreintes de direction ne se déplaçaient jamais, que l'on était de simple pions que l'on place en 1ere ligne. Que si on a besoin d'aide, il faut ne pas être pressé et exigeant.
Je pense surtout qu'on nous demande, pour un salaire de misère, de gérer des choses que personne ne souhaite gérer pour tout l'or du monde, et que pour nous payer une misère on a dit qu'il fallait un concours catégorie C. C'est unique dans la fonction publique qu'un simple agent ait tant de responsabilité. Et je crois que l'ATE qui a résisté de 5 à 10 ans aux lourdeurs administratives, à la violence des jeunes, à l'indifférence des collègues, à la solitude des nuits, a acquis le droit de devenir éducateur réellement, malgré une pauvreté d'écriture certaine( on ne fait pas ATE après 2 maitrises et 10 ans de responsabilité, n'est ce pas grandir ;o)). Et le poids des rapports, la distanciation, le relativisme, n'existe-t-il qu'a Marly, que dans le mémoire, que dans la formation classique? Moi je pense que mes notes ont peut être une forme approximative, mais un fond emprunt de vérité, de terrain, de réalité et non de psychomachin ou de sociotruc (désolé mon vocabulaire me manque...après une nuit en plein week end rallongé et ou il n'aurait pas fait bon de faire des grillades, vu l'éloignement des cadres d'astreinte)
Alors déplore cette évolution si tu le veux, ça arrange plus de monde car personne ne désire notre place, mais que tu le veuilles ou non, nous sommes déjà educ, sous payé certes, sous diplômé certes, mal formé certes, mésestimé certes, mais toujours présents pour éteindre l'incendie, alors que d'autre plus diplômé mettent de l'huile sur le feu et s'enfuit avant que tout s'embrase. Je ne dis pas que c'est tout les éduc mais certain ne nous facilite pas le travail et ceux-la je préfère qu'ils ne doublent pas les nuits avec moi. salut a tous
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Chris
Re: Question sur travail en foyer ?
bonjour à tous!
Je viens éclaircir quelques points Rennais enfin! Oui c'est la même personne qui décrit le travail de nuit dans sa structure,c'est moi! et pour répondre à ta questions, oui j'atteins ma limite avec trois nuits/semaine, evidemment car en plus des nuits on a les services en journée. Mais cela va mieux niveau emploi du temps, c'etait les débuts "flottements", en moyenne je bosse 1 ou 2 nuits, et deux services en journée (journée coninue ou soirées). J'ai relu moi aussi tous les posts, je trouve dommage certains propos, d'autant que dans le fond, je pense que nous sommes d'accord... Ce que tu as vécu est inadmissible et je peux comprendre d'autant mieux la rancoeur que tu peux cultiver à l'égard de certains éducateurs.. La formation n'est evidemment pas complète mais il faut quand même la revendiquer, de qualité et pour tous. je pense qu'il nous faut faire attention à tous à ne pas diviser les "corps de métier", nous assurons tous une mission éducative, et je peux t'assurer que je n'ai jamais considéré les ate comme des sous éducateurs, mais bien comme des éducateurs à part entière. tu pourras d'ailleurs relire sur certains de mes posts que je considère la nuit comme un temps éducatif à part entière, ce qui n'est pas la position partagée par tous les collègues; à mon grand regret d'ailleurs.
A bientôt pour une discussion pleine de nos reflexions, car comme l'a souligné Marilyne nous pouvons peut-être être force de propositions.
a bientôt
Je viens éclaircir quelques points Rennais enfin! Oui c'est la même personne qui décrit le travail de nuit dans sa structure,c'est moi! et pour répondre à ta questions, oui j'atteins ma limite avec trois nuits/semaine, evidemment car en plus des nuits on a les services en journée. Mais cela va mieux niveau emploi du temps, c'etait les débuts "flottements", en moyenne je bosse 1 ou 2 nuits, et deux services en journée (journée coninue ou soirées). J'ai relu moi aussi tous les posts, je trouve dommage certains propos, d'autant que dans le fond, je pense que nous sommes d'accord... Ce que tu as vécu est inadmissible et je peux comprendre d'autant mieux la rancoeur que tu peux cultiver à l'égard de certains éducateurs.. La formation n'est evidemment pas complète mais il faut quand même la revendiquer, de qualité et pour tous. je pense qu'il nous faut faire attention à tous à ne pas diviser les "corps de métier", nous assurons tous une mission éducative, et je peux t'assurer que je n'ai jamais considéré les ate comme des sous éducateurs, mais bien comme des éducateurs à part entière. tu pourras d'ailleurs relire sur certains de mes posts que je considère la nuit comme un temps éducatif à part entière, ce qui n'est pas la position partagée par tous les collègues; à mon grand regret d'ailleurs.
A bientôt pour une discussion pleine de nos reflexions, car comme l'a souligné Marilyne nous pouvons peut-être être force de propositions.
a bientôt
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mimi
Re: Question sur travail en foyer ?
Juste un mot: je suis assez choquée par la virulence de certains propos, vous vous croyez dans un combat de boxe? Je ne crois pas qu'un forum soit fait pour se lâcher, ou plutôt lâcher sa rancoeur; parce que c'est ce que l'on sent dans ces échanges. Ce qui me fait flipper, c'est que vous soyez tous éducs; je ne le suis pas mais je m'adresse aux gens avec diplomatie et respect et j'attend ça de la part de travailleurs sociaux. Un forum doit rester respectueux même si on es n'est pas toujours d'accord, moi je vois les forums comme des lieux d'entraide et d'échange mutuel; encore plus sur un forum comme celui-là.
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rennais enfin
Re: Question sur travail en foyer ?
Chris, je n'ai aucune rancoeur car j'ai choisi en connaissance de cause ce métier et je pense bien le faire. Je ne pretend aucunement etre pret à gérer nuits et jours, mais de nombreux educ ne le sont pas non plus. Et j'ai déjà dit que je te rejoignais sur la plus part de tes post.
Mimi, si c'est pour moi que tu dit ça, j'ai admis ma virulence. Mais on n'attrape pas des mouches avec du vinaigre, la repartie entre aussi dans les savoirs éducatifs. Je ne me laisse pas marcher sur les pieds que ce soit auprès des jeunes ou de n'importe qui, cela manque aussi du coté de certain éduc qui n'arrive pas à se positionner face aux jeunes.
Me comparer à un vigile, ou une personne psychologiquement fragile, ou même un illettré ne me montre pas que ces educ aient du respect ou de la diplomatie envers moi et tout les autres catégories C. IL FAUT SAUVER LE SOLDAT GRANDIR QUI VA CHUTER AU NIVEAU DES SANS GRADES, DES PAUVRES GENS QUI N'ONT PAS REÇU DE FORMATION PAS RÉDIGÉ DE MÉMOIRE ET QUI SURVEILLENT DES ENFANTS PENDANT LEUR SOMMEIL.
Mimi, si c'est pour moi que tu dit ça, j'ai admis ma virulence. Mais on n'attrape pas des mouches avec du vinaigre, la repartie entre aussi dans les savoirs éducatifs. Je ne me laisse pas marcher sur les pieds que ce soit auprès des jeunes ou de n'importe qui, cela manque aussi du coté de certain éduc qui n'arrive pas à se positionner face aux jeunes.
Me comparer à un vigile, ou une personne psychologiquement fragile, ou même un illettré ne me montre pas que ces educ aient du respect ou de la diplomatie envers moi et tout les autres catégories C. IL FAUT SAUVER LE SOLDAT GRANDIR QUI VA CHUTER AU NIVEAU DES SANS GRADES, DES PAUVRES GENS QUI N'ONT PAS REÇU DE FORMATION PAS RÉDIGÉ DE MÉMOIRE ET QUI SURVEILLENT DES ENFANTS PENDANT LEUR SOMMEIL.