Bonsoir à tous et à toutes,
C'est parti!
Premier paiement de la sécu (50% de la moyenne de mon salaire brut)
720 euros;
Reste la part AG2R qui est de 77% BRUT moins la sécu.
Encore une visite medicale à la médecine du travail et à moi les grandes vacances!!!!
Légerement moins que je pensais mais plus que le net du SMIC!
En attendant, je vous mets les infos transmises sur un autre forum du social et sur l'***** et les associations en général
Bonne lecture, sans parler de la (future) nouvelle loi pour les quinqua avec obligation de cotisation sur la dependance!
Etc!Etc!
Les principales associations de solidarité adressent une lettre ouverte au Premier ministre
Actualités
vendredi 11 juin 2010
Les principaux réseaux associatifs du secteur social interpellent François Fillon sur « les risques de nouvelles déchirures du tissu social ».
« Ne réduisez pas la dette au détriment de la solidarité », demandent les principales associations de solidarité, dans une lettre ouverte adressée au Premier ministre, le 31 mai 2010. Par cette interpellation, l'Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés sanitaires et sociaux (Uniopss), l'Association des paralysés de France (APF), la Convention nationale des associations de protection de l'enfance (Cnape), l'Union nationale des associations de parents et amis de personnes handicapées mentales (Unapei), la Fondation Abbé Pierre, l'Union nationale de l'aide, des soins et des services aux domiciles (Una), la Fédération nationale des associations d'accueil et de réinsertion sociale (Fnars), la Croix-Rouge française, le Secours catholique et l'Association du service à domicile (*****) veulent mettre en garde le gouvernement sur « les risques de nouvelles déchirures du tissu social » que pourraient engendrer les mesures de réduction de l'endettement public.
« Nous estimons que les régimes d'allocations sociales, en particulier ceux qui sont destinés à subvenir aux besoins essentiels des plus faibles, qui sont aussi des moyens de conserver leur dignité, devraient être préservés, voire même améliorés compte tenu des pertes nettes de pouvoir d'achat subies depuis ces dernières années, d'autant que la crise risque d'avoir pour effet de creuser davantage les inégalités et la pauvreté », écrivent les présidents d'associations signataires du courrier, Dominique Balmary (Uniopss), Jean-Marie Barbier (APF), Michel Desmet (Cnape), Régis Devoldère (Unapei), Raymond Etienne (Fondation Abbé Pierre), André Flageul (UNA), Nicole Maestracci (Fnars), Jean-François Mattei (Croix-Rouge française), François Soulage (Secours catholique) et Michel Tanfin (*****). Les représentants associatifs demandent donc à François Fillon de maintenir, voire d'amplifier, « plusieurs programmes de soutien à diverses activités dans nos domaines ». Et de citer :
• les programmes relatifs à l'accueil, à l'accompagnement et au traitement de personnes atteintes de certaines maladies ou handicaps ;
• les programmes concernant l'accueil de la petite enfance et la protection de l'enfance ;
• l'hébergement des sans-abri ;
• le logement social;
• les personnes âgées ;
• les centres de formation d'apprentis.
« Nous serions très désireux, Monsieur le Premier ministre, que vous acceptiez de rencontrer les associations de solidarité pour évoquer les aspects sociaux de la politique de réduction des déficits que vous entendez conduire. Notre souci n'est pas d'abord celui de la défense de nos organismes et de nos structures, mais celui des personnes au service desquelles nous sommes engagés. Notre démarche est, à la fois, politique et gestionnaire », sollicitent les dix présidents signataires de la lettre ouverte.
Cette lettre ouverte est parue dans la rubrique « Débat » du quotidien Le Monde daté du 8 juin 2010.
***** EN DANGER !
Maintien de toutes les subventions du conseil général à l’*****,
Aucun licenciement !
Le gouvernement a déposé un projet de loi sur la réforme territoriale et la suppression de lataxe professionnelle. Ce projet de loi s’il était voté aggraverait dramatiquement l’asphyxie financière des collectivités locales, notamment les communes et les départements jusqu’à mettre en cause leur existence. Or les départements financent de plus en plus de missions de services publics pour la population.
Le 27 novembre 2009, anticipant le vote de la loi, le conseil général d’Ille et Vilaine a voté majoritairement une réduction de 30 % de toutes les subventions de fonctionnement aux communes, ainsi qu’une baisse de 20% des subventions aux associations et cela dès le 1er janvier 2010.
Le conseil général 35 annonce : « Le soutien financier aux services d’aide à domicile dans le cadre de l’APA sera réduit de moitié, soit une économie de 2 millions d’euros ».
Suite à cette décision, la fédération départementale de l’***** envisage des restrictions voire des licenciements (jusqu’à 80 licenciements ont été évoqués dans la presse locale).
L’*****, c’est :
- L’aide à la personne en milieu rural, L’aide à domicile au service des personnes âgées, handicapées, dans le cadre de l’APA,
- 55 associations locales, 2 200 salariés, La gestion des 2/3 des mesures APA, 35 000 personnes aidées,
Comment comprendre que les élus du département choisissent de réduire subitement et massivement les subventions aux communes et aux associations, jusqu’à mettre en péril les missions de l’aide à la personne pour les personnes âgées, jusqu’à provoquer d’éventuels licenciements chez les personnels de l’***** ?
Jean-louis Tourenne, président du conseil général et Jacky Le Menn, Vice-président du Conseil général, vous vous êtes prononcés publiquement pour le retrait du projet de loi de réforme territoriale.
Non, M. le président du conseil général, Non messieurs les conseillers généraux, vous n’êtes pas obligé de relayer la politique du gouvernement. Si vous organisiez la mobilisation de la population pour aller chercher cette somme, la population vous suivrait, mais le préalable, c’est le refus de la mise en oeuvre de cette politique, en particulier sur les services publics, leurs personnels, et sur les impôts locaux.
Il y a urgence, c’est pour cela que nous demandons à être reçus par les conseillers généraux de la circonscription et du département d’Ille et vilaine, pour exiger :
-Retrait de la résolution du conseil général réduisant de 2millions d’euros les subventions pour l’aide à la personne dans le cadre de l’APA,
-Maintien de tous les emplois à l’*****, Aucun licenciement,
-Maintien de toutes les missions de l’***** au service des personnes âgées, handicapées ou fragilisées,
L'***** lance la contre-attaque
Les salariés ont manifesté mardi soir./ Photo DDM L. B.
Les fédérations ***** départementale et nationale contre-attaquent face à la création de la société d'économie mixte «Lot aide à domicile» portée par le conseil général du Lot.
Afin de faire face à la situation de vacance de président et de conseil d'administration que connaît actuellement l'***** Cahors Ville et que d'autres associations pourraient connaître, les statuts d'une nouvelle association ont été déposés il y a quelques semaines : « Abri sera une association départementale faisant partie de l'*****, avec une gestion départementale, qui aura pour vocation à regrouper les associations sans conseil d'administration ni bureau, de manière provisoire, jusqu'à ce qu'un nouveau conseil d'administration soit élu ».
Attente de l'agrément
« Cela permettra une continuité de la structure et de ses alariés. Nous avons rencontré la direction du travail qui étudie le projet dans la perspective d'un agrément », explique Michel Gaston, président de la fédération ***** du Lot et président par intérim de l'***** Cahors Ville, qui évoque les incertitudes qui subsistent quant à la période transitoire qui s'ouvrira cet automne avec la mise en place de la SEM. Mais il reste formel : pas d'autorisation d'assemblée générale extraordinaire pour les associations adhérentes à l'***** qui souhaiteraient voter sur la question de rejoindre ou non la SEM. Mardi après-midi, il a reçu une délégation de salariées de l'***** Cahors Ville et Cahors environs, également inquiètes sur leur devenir.
Selon Arlette Guénot (CFDT) : « Les salariés n'ont obtenu aucune garantie de sécurité quant à leur emploi. La seule solution avancée est cette association Abri. Nous poursuivons notre pétition et recueillons de plus en plus de signatures. En revanche, notre courrier envoyé aux élus de Cahors est actuellement sans réponse. »
Quatre jours après la démission de Christian Maguet, Yves Derrien a été désigné, hier soir, nouveau président de l'***** du Finistère. Il a, par ailleurs, annoncé «une réduction des effectifs au niveau de la fédération».
Président du centre de soins infirmiers de l'***** de Bénodet depuis 2004, Yves Derrien, ingénieur à la retraite âgé de 65 ans, assurait déjà la présidence par intérim de la fédération depuis le départ de Christian Maguet, jeudi dernier. «Pas d'ambiguïté, je ne serai pas président de l'*****», avait-il pourtant expliqué dans la foulée de sa prise de fonctions «temporaire». Faute de désigner un nouveau président, la fédération prenait le risque de se voir placée sous contrôle judiciaire.
«Je ne voulais pas qu'il y ait un vide à la tête de notre fédération», a, pour sa part, déclaré Yves Derrien, hier soir, comme pour justifier ce brusque revirement de situation. Jusqu'à quand restera-t-il à la tête de l'*****? «Je ne sais pas. Seul l'avenir nous le dira», a-t-il ajouté, avant de faire part de son désir «de travailler dans la continuité de Christian Maguet».
Des salariés fixés lors du prochain CE
Par ailleurs, Yves Derrien a expliqué n'avoir qu'un seul objectif: «Réussir à maintenir notre activité. On sait que c'est possible. Maintenant que la réorganisation de la fédération est lancée, on doit pouvoir atteindre l'équilibre financier. On espère pour cela le soutien de nos différents partenaires (conseil général, Cram)». Cet équilibre financier, «qui ne pourra pas être atteint avant 2011», passera toutefois par «une réduction des effectifs au niveau de la fédération».
Quelle sera l'ampleur du plan social? «Il est trop tôt pour le dire. Un dossier de restructuration sera transmis au comité d'entreprise le plus rapidement possible pour consultation», a encore déclaré Yves Derrien. Actuellement, la fédération de l'***** du Finistère emploie 135 personnes. Ces dernières devraient être fixées sur leur sort dans les semaines à venir, très probablement début mai, lors de la tenue du prochain comité d'entreprise.
«Chasse au gaspi»
Plus généralement, le nouveau président a indiqué que «tout le monde devait maintenant faire la chasse au gaspi. Que ce soit dans la gestion des plannings ou dans celle du taux d'improductivité. On ne peut pas continuer à perdre de l'argent sur les prestations effectuées. Mais pour cela, il faut qu'on se remette en cause».
Sur :
http://www.lesocial.fr/forums/read.php? ... 20&t=17120
Voir : http://****-riaille.org/?L-aide-a-domicile-aux-personnes
http://actionsociale.weka.fr/flash-acti ... stre_-4542