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la réalité
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gisele
Re: la réalité
pour répondre a ta question Dominique, ma responsable se samedi se trouve chez elle et pas de telephone pour les joindre, elle et les 2 secretaires
et lorsque j'ai demandé "comment fera t'on si on a un accident avec le kangoo un samedi?
reponse d'une secretaire "vous finissez la tournée avec vos voitures personnelles"
ça veut tout dire
je ne m'etend pas plus, ça me met hors de moi
bonne journée a toutes
gisèle
et lorsque j'ai demandé "comment fera t'on si on a un accident avec le kangoo un samedi?
reponse d'une secretaire "vous finissez la tournée avec vos voitures personnelles"
ça veut tout dire
je ne m'etend pas plus, ça me met hors de moi
bonne journée a toutes
gisèle
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cphsab
Re: la réalité
Bonsoir, un peu technique mais compréhensible tout de même.
Salarié du Particulier Employeur (service mandataire)
premier arrêt de la Cour de Cassation sociale du 19 octobre 2005 - Employé de maison- contrat de travail – modification du contrat par l'employeur – modification de l'horaire de travail – modification nécessitant l'accord du salarié.
La transformation d'un horaire de travail à temps complet en horaire de travail à temps partiel constitue une modification du contrat de travail qui doit faire l'objet de la part du salarié d'une acceptation claire et non équivoque.
Deuxième arrêt de la Cour de Cassation sociale du 23 novembre 2005 – associations d'aide à domicile – contrat de travail – détermination de l'employeur – association agréée comme mandataire.
Les associations qui assurent le placement de travailleurs auprès de personnes physiques employeurs et accomplissent pour le compte de ces personnes des formalités administratives et des déclarations sociales et fiscales liées à l'emploi de ces travailleurs ne remplissent qu'un rôle de mandataire, les personnes physiques étant les seuls employeurs des travailleurs.
Ce qui se traduit par : si votre association soucieuse de venir en aide au particulier employeur fixe vos conditions de travail voire à contrôler et à sanctionner l'exécution de votre prestation, en cas de litige porté devant la juridiction prud'homale votre association risque d'être considérée comme votre véritable employeur et il en découle que votre convention collective initiale de salarié du particulier employeur se reporte sur la Convention collective Organisme d'aide à domicile ou de maintien à domicile avec toutes les conséquences de droit.
cphsab
Salarié du Particulier Employeur (service mandataire)
premier arrêt de la Cour de Cassation sociale du 19 octobre 2005 - Employé de maison- contrat de travail – modification du contrat par l'employeur – modification de l'horaire de travail – modification nécessitant l'accord du salarié.
La transformation d'un horaire de travail à temps complet en horaire de travail à temps partiel constitue une modification du contrat de travail qui doit faire l'objet de la part du salarié d'une acceptation claire et non équivoque.
Deuxième arrêt de la Cour de Cassation sociale du 23 novembre 2005 – associations d'aide à domicile – contrat de travail – détermination de l'employeur – association agréée comme mandataire.
Les associations qui assurent le placement de travailleurs auprès de personnes physiques employeurs et accomplissent pour le compte de ces personnes des formalités administratives et des déclarations sociales et fiscales liées à l'emploi de ces travailleurs ne remplissent qu'un rôle de mandataire, les personnes physiques étant les seuls employeurs des travailleurs.
Ce qui se traduit par : si votre association soucieuse de venir en aide au particulier employeur fixe vos conditions de travail voire à contrôler et à sanctionner l'exécution de votre prestation, en cas de litige porté devant la juridiction prud'homale votre association risque d'être considérée comme votre véritable employeur et il en découle que votre convention collective initiale de salarié du particulier employeur se reporte sur la Convention collective Organisme d'aide à domicile ou de maintien à domicile avec toutes les conséquences de droit.
cphsab
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vilma
Re: la réalité
bravo pour la remise à l'heure des pendules je confirme l'entretien du linge et du cadre de vie sont des merveilleux outils d'intervention
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Dominique
Re: la réalité
Kate,bonsoir,
je viens de lire ton message sur le mail et vais tâcher d'y répondre.
Toute personne titulaire du DEAVS peut demander à être membre de jury,du moins en région parisienne; ailleurs, je ne sais pas, il faut voir.
Comme je l'ai déjà dit je suis titulaire d'un DEUG lettres et civilisation étrangère et ai passé le DEAVS par VAE sans formation; je me suis sérieusement penchée sur la question ne voulant rien laisser au hasard ;il est possible que la tâche fut falicitée de par mes études si modestes soient-elles. Ma responsable m'a donc proposée comme membre de jury à la DRASS de Paris avec l'accord du responsable de la Drass.En région parisienne, un jury se compose de 2 personnes: un responsable de CCAS ou d'association par exemple et souvent d'un resonsable de service à domicile ou encore de centre de formation; mais la tendance actuelle est d'introduire une AVS car,cette dernière étant sur le terrain, donc en contact direct serait plus à même de "cerner" le candidat; en conclusion responsable + AVS équilibrent un jury et je partage cet avis car j'ai pu m'apercevoir avec horreur que parfois le responsable style directrice de CCAS qui n'a jamais mis les pieds chez une personne dépendante ignore certaines choses: 2 exemples vécus:
-une responsable a prétendu que l'APA ne pouvait couvrir les frais de coiffure à domicile...
- Une autre voulait sanctionner une candidate qui " osait" certifier qu'elle pouvait donner des médicaments si ces derniers avaient été préparés par l'infirmière.
Dans ces 2 cas je me suis interposée, la première l'a très mal pris, la seconde a reconnu que d'avoir une AVS à ses côtés facilitait les choses; Donc dans notre coin de France, on invite les AVS dans les jurys et c'est une bonne chose, surtout très très intéressante...C'est là que l'on peut juger de la distance entre responsable et AVS...Tout un monde, et les histoires de centres de formation et des profits recherchés...Être membre de jury signifie que l'on se passionne pour son travail.Les dossiers nous sont remis un mois environ avant l'épreuve, nous les consultons, prenons queques notes sur les points à détailler par exemple, mais rien de bien précis en fait.Il faut avoir le dossier en tête et les questions se font avec le candidat;il ne peut y avoir de questions types.
Un autre point: être membre de jury motive et pousse l'AVS a approfondir son sujet alors que pour certains respnsables c'est,je cite "une corvée" charmant ,non?
Cela ne prend pas beaucoup de temps (environ 6 à 7 dossiers)
et on reste dans sa région
je travaille en banlieue et fut membre de jury à Paris, soit une demi heure de transport...)
Manque de chance:ma nouvelle responsable qui vient d'une association ne me propose rien pour l'instant:elle est nouvelle et je vais devoir me manisfester sous peu.
A bientôt.
je viens de lire ton message sur le mail et vais tâcher d'y répondre.
Toute personne titulaire du DEAVS peut demander à être membre de jury,du moins en région parisienne; ailleurs, je ne sais pas, il faut voir.
Comme je l'ai déjà dit je suis titulaire d'un DEUG lettres et civilisation étrangère et ai passé le DEAVS par VAE sans formation; je me suis sérieusement penchée sur la question ne voulant rien laisser au hasard ;il est possible que la tâche fut falicitée de par mes études si modestes soient-elles. Ma responsable m'a donc proposée comme membre de jury à la DRASS de Paris avec l'accord du responsable de la Drass.En région parisienne, un jury se compose de 2 personnes: un responsable de CCAS ou d'association par exemple et souvent d'un resonsable de service à domicile ou encore de centre de formation; mais la tendance actuelle est d'introduire une AVS car,cette dernière étant sur le terrain, donc en contact direct serait plus à même de "cerner" le candidat; en conclusion responsable + AVS équilibrent un jury et je partage cet avis car j'ai pu m'apercevoir avec horreur que parfois le responsable style directrice de CCAS qui n'a jamais mis les pieds chez une personne dépendante ignore certaines choses: 2 exemples vécus:
-une responsable a prétendu que l'APA ne pouvait couvrir les frais de coiffure à domicile...
- Une autre voulait sanctionner une candidate qui " osait" certifier qu'elle pouvait donner des médicaments si ces derniers avaient été préparés par l'infirmière.
Dans ces 2 cas je me suis interposée, la première l'a très mal pris, la seconde a reconnu que d'avoir une AVS à ses côtés facilitait les choses; Donc dans notre coin de France, on invite les AVS dans les jurys et c'est une bonne chose, surtout très très intéressante...C'est là que l'on peut juger de la distance entre responsable et AVS...Tout un monde, et les histoires de centres de formation et des profits recherchés...Être membre de jury signifie que l'on se passionne pour son travail.Les dossiers nous sont remis un mois environ avant l'épreuve, nous les consultons, prenons queques notes sur les points à détailler par exemple, mais rien de bien précis en fait.Il faut avoir le dossier en tête et les questions se font avec le candidat;il ne peut y avoir de questions types.
Un autre point: être membre de jury motive et pousse l'AVS a approfondir son sujet alors que pour certains respnsables c'est,je cite "une corvée" charmant ,non?
Cela ne prend pas beaucoup de temps (environ 6 à 7 dossiers)
et on reste dans sa région
Manque de chance:ma nouvelle responsable qui vient d'une association ne me propose rien pour l'instant:elle est nouvelle et je vais devoir me manisfester sous peu.
A bientôt.
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kate
Re: la réalité
Bonjour Dominique
Merci d'avoir répondu aussi rapidement et de façon aussi détaillée.
Effectivement je travaille pour un CCAS et puisque je suis sur ce sujet ,je reviens sur les témoignages situés plus haut:
Il existe pour nous ce que l'on appelle des "FICHES DE POSTE"( au passage document assez difficile à obtenir à la DRH).
On y indique de façon très détaillée tout ce qui a rapport à ton emploi .
Ex: tu fais une chose qui ne rentre pas dans ce cadre et tu as un problème ....
Mr le Maire qui est ton employeur et qui peut ne rien connaître à ton métier va lui sortir cette fiche de poste;
Tu risques de ne plus être couverte ; quant aux consignes ou conseils orals qui pourtant t'avaient étés données par une secrétaire...etc ???
Merci d'avoir répondu aussi rapidement et de façon aussi détaillée.
Effectivement je travaille pour un CCAS et puisque je suis sur ce sujet ,je reviens sur les témoignages situés plus haut:
Il existe pour nous ce que l'on appelle des "FICHES DE POSTE"( au passage document assez difficile à obtenir à la DRH).
On y indique de façon très détaillée tout ce qui a rapport à ton emploi .
Ex: tu fais une chose qui ne rentre pas dans ce cadre et tu as un problème ....
Mr le Maire qui est ton employeur et qui peut ne rien connaître à ton métier va lui sortir cette fiche de poste;
Tu risques de ne plus être couverte ; quant aux consignes ou conseils orals qui pourtant t'avaient étés données par une secrétaire...etc ???
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Dominique
Re: la réalité
Bonjour!
Kate,dans notre CCAS, nous n'avons pas de FICHE DE POSTE mais un REGLEMENT, ce qui revient au même dans le fond;consignes orales sont " notées " dans le cahier de liaison qui reste au domicile de la personne; mais évidement ce n'est pas toujours possible et alors, là, il faut être vigilant...C'est vrai.Une méthode : coller au règlement au maximum .
- un exemple récent :
une collègue non titulaire du DEAVS (il lui manque le module 11 ) se rend quotiennement au domicile d'une personne malvoyante à qui elle prépare le repas; cette dame doit désormais prendre des médicaments ; qui va lui donner??? il n'y a aucun passage d'une infirmière qui pourrait les préparer; ma collègue, refuse de lui donner et c'est normal;la responsable estime que ma collègue, connaissant bien sa bénéficiaire et ayant une bonne dizaine d'années de bon et loyaux services pourrait s'acquitter de cette tâche; oui mais voilà, que se passera-il en cas de problème ? ( la personne pouvant ingurgiter des comprimés de son plein gré...). La situation est bloquée...Un solution:envoyer une AVS...oui, mais la personne perd son aide à domicile avec qui elle est très attachée ; être 2 chez la même personne tourne au ridicule ; bref,une cousine ou une voisine sera de corvée en attendant...Mais comme notre diplôme n'est pas reconnu dans notre CCAS...
Un espoir se profile/: dans 2 semaines toute l'équipe, soit 15 aides , est invitée à prendre le petit déjeuner avec Mr le Maire et son adjointe et à cette occasion nous pourrons
revendiquer, parler de nos problêmes etc...Ce n'est pas la panacée, mais il y a 2 ans,nous avons pu obtenir un légère augmentation de salaire, et la création d'un macaron pour la voiture afin d'éviter les contraventions...
Cette fois, nous envisageons, outre la reconnaissance de notre diplôme, la reconnaissance des familles des bénéficiaires et des bénéficiaires eux-mêmes en proposant une rencontre style
"réunion profs parents d'élèves" ou article dans le journal local enfin quelque chose dans ce goût-là; des collègues auront peut-être d'autres idées , notre responsable aussi, tu vois on cherche à s'en sortir mais c'est une lutte presque quotidienne mais en douceur tout de même...L'agressivité ne servant pas à grand chose.
A BIENTOT
Kate,dans notre CCAS, nous n'avons pas de FICHE DE POSTE mais un REGLEMENT, ce qui revient au même dans le fond;consignes orales sont " notées " dans le cahier de liaison qui reste au domicile de la personne; mais évidement ce n'est pas toujours possible et alors, là, il faut être vigilant...C'est vrai.Une méthode : coller au règlement au maximum .
- un exemple récent :
une collègue non titulaire du DEAVS (il lui manque le module 11 ) se rend quotiennement au domicile d'une personne malvoyante à qui elle prépare le repas; cette dame doit désormais prendre des médicaments ; qui va lui donner??? il n'y a aucun passage d'une infirmière qui pourrait les préparer; ma collègue, refuse de lui donner et c'est normal;la responsable estime que ma collègue, connaissant bien sa bénéficiaire et ayant une bonne dizaine d'années de bon et loyaux services pourrait s'acquitter de cette tâche; oui mais voilà, que se passera-il en cas de problème ? ( la personne pouvant ingurgiter des comprimés de son plein gré...). La situation est bloquée...Un solution:envoyer une AVS...oui, mais la personne perd son aide à domicile avec qui elle est très attachée ; être 2 chez la même personne tourne au ridicule ; bref,une cousine ou une voisine sera de corvée en attendant...Mais comme notre diplôme n'est pas reconnu dans notre CCAS...
Un espoir se profile/: dans 2 semaines toute l'équipe, soit 15 aides , est invitée à prendre le petit déjeuner avec Mr le Maire et son adjointe et à cette occasion nous pourrons
revendiquer, parler de nos problêmes etc...Ce n'est pas la panacée, mais il y a 2 ans,nous avons pu obtenir un légère augmentation de salaire, et la création d'un macaron pour la voiture afin d'éviter les contraventions...
Cette fois, nous envisageons, outre la reconnaissance de notre diplôme, la reconnaissance des familles des bénéficiaires et des bénéficiaires eux-mêmes en proposant une rencontre style
"réunion profs parents d'élèves" ou article dans le journal local enfin quelque chose dans ce goût-là; des collègues auront peut-être d'autres idées , notre responsable aussi, tu vois on cherche à s'en sortir mais c'est une lutte presque quotidienne mais en douceur tout de même...L'agressivité ne servant pas à grand chose.
A BIENTOT
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sylou
Re: la réalité
En reconversion professionnelle cause chômage, je suis la formation sur 9 mois pour un dipôme d'état AVS. En révision du module 2 : pathologie et processus invalidants, pour le 7 mars. Je me pose des tas de questions car dans le même temps ma promotion est en stage professionnel. J'ai la chance d'être accueillie pas une Association d'aide au maintien à domicile. Ce que l'on nous "enseigne" est la réalité n'ont vraiment pas grand chose en commun !!!
Alors tout les règlements intérieurs et autres codes du travail ne changeront pas grand chose si chacun n'y met pas du sien pour impliquer les bénéficiaires dans le pourquoi de l'intervention et surtout dans le comment. Juste pour dire, lors d'une intervention avec ma "tutrice" du moment, une dame a exprimé tout haut : "je ne pensais pas qu'il fallait aller en formation pour apprendre à faire le ménage". Merci madame, je lui ai donc expliqué que je suivais ma tutrice non pour faire du ménage mais de l'aide à domicile, là elle a admis avoir besoin d'aide (pour son ménage). Dur Dur ! je pense avoir à expliquer encore beaucoup et souvent cette réalité.
Alors tout les règlements intérieurs et autres codes du travail ne changeront pas grand chose si chacun n'y met pas du sien pour impliquer les bénéficiaires dans le pourquoi de l'intervention et surtout dans le comment. Juste pour dire, lors d'une intervention avec ma "tutrice" du moment, une dame a exprimé tout haut : "je ne pensais pas qu'il fallait aller en formation pour apprendre à faire le ménage". Merci madame, je lui ai donc expliqué que je suivais ma tutrice non pour faire du ménage mais de l'aide à domicile, là elle a admis avoir besoin d'aide (pour son ménage). Dur Dur ! je pense avoir à expliquer encore beaucoup et souvent cette réalité.
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marianne
Re: la réalité
bonjour dominique,
je ne comprends pas la situation que tu expliques dans ton message à propos des médicaments que se soit une aide à domicile sans le DEAVS ou une avs avec le diplome le problème n'est il pas le même?
une AVS ne peut pas donner les médicaments s'ils n'ont pas été préparés par une infirmière et auquel cas elle ne peut "qu'aider" une personne à les prendre dans son pilulier.
Bien que la situation se présente souvent et qu'il semble anodin de donner les médicaments dans le cas cité,le réglement ne nous autorise pas à le faire,même une pommade sur une articulation douloureuse ou une brulure c'est un médicament et aussi stupide que cela puisse paraitre nous n'avons pas "le droit"d'effectuer ces tâches!!Nous n'avons pas fini de "tourner en rond" pour jongler entre réglement et réalité!!
je ne comprends pas la situation que tu expliques dans ton message à propos des médicaments que se soit une aide à domicile sans le DEAVS ou une avs avec le diplome le problème n'est il pas le même?
une AVS ne peut pas donner les médicaments s'ils n'ont pas été préparés par une infirmière et auquel cas elle ne peut "qu'aider" une personne à les prendre dans son pilulier.
Bien que la situation se présente souvent et qu'il semble anodin de donner les médicaments dans le cas cité,le réglement ne nous autorise pas à le faire,même une pommade sur une articulation douloureuse ou une brulure c'est un médicament et aussi stupide que cela puisse paraitre nous n'avons pas "le droit"d'effectuer ces tâches!!Nous n'avons pas fini de "tourner en rond" pour jongler entre réglement et réalité!!
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maory
Re: la réalité
Bonjour, la question a une réponse qui n'est jamais soulevée mais qui à son importance pour cela il faut remonter en amont !
C'est ce que j'applique.
Qui délivre l'ordonnance ? le médecin bien sur ! Il vous suffit de lui demander de rédiger par écrit vous donnant, sous sa responsabilité, l'autorisation de donner les médicaments.
Il est assez rare qu'une personne dépendante n'ai pas dans son entourage un parent ou un/une amie ou bien bien l'infirmière qui ne puisse disposer dans le pilulier hebdomadaire ou mensuel les médicaments.
Si le médecin traitant ne vous délivre pas l'autorisation retour à la case départ... maory
C'est ce que j'applique.
Qui délivre l'ordonnance ? le médecin bien sur ! Il vous suffit de lui demander de rédiger par écrit vous donnant, sous sa responsabilité, l'autorisation de donner les médicaments.
Il est assez rare qu'une personne dépendante n'ai pas dans son entourage un parent ou un/une amie ou bien bien l'infirmière qui ne puisse disposer dans le pilulier hebdomadaire ou mensuel les médicaments.
Si le médecin traitant ne vous délivre pas l'autorisation retour à la case départ... maory
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tournois
Re: la réalité
Je ré éxplique le pourquoi du comment de mon message passé aux auxiliaire de vie social. quand vous, vous êtes intéréssé la premiere fois au métier AVS, vous avez tous vue la définition de ce métier n'es ce pas? quand vous avez commencer cet formation, mise à par: le module 6 (entretien du linge et des locaux) avez vous ettendue avant votre stage professionnel, que le métier d'AVS consisté à faire du ménage chez des personnes dépendante ou non? je n'est rien contre le ménage bien au contraire, et pour repondre à Alexandra non!! je ne laisserais jamais une personne totalement dépendante dans une merde (désolée) pas possible sous pretexte que je suis allergique à la serpiére. mes cela dis entre nous.... si on m'avai dis avant que le métier d'AVS n'etait pas reconnue au point ou les personnes INDEPENDANTE chez qui nous intervenons souvent, nous prenne pour des femme de ménage... la j'aurais réfléchis à deux fois.
exemple: j'intervins chez madame, qui à 59 ans elle a un debut d'alzeimer, et de l'hartrose (la jambe bloqué à 10 degrée), elle a son fils ( mon incroyable fiancé) désolé mais c vrai.... j'arrive une motagne de vaisselle, le sol sale de chez sale, le fils arrive quand c'est moullier il me donne son assiètte à laver alors que j'ai fini la vaisselle. Il me dis " j'ai renversé de l'huil sur la gazinère TU pourras laver quand tu auras le temps"?? vous savez combien de temps j'ai passé pour récupérer cette gazinière?? 3 JOURS !! ........Et c'est partout pareille.
Alors mes dames, messieurs sachez quil y a une sacré différence entre le métier d'auxilaire de vie social,.... et femme de ménage. Si c'est le cas alors faire les toilette dans un hotel formule 1 m'aurais suffi.
DEAVS modules: de 1 à 11 ... pour passé le ballais?? si cela vous convient c'est parfait il ni ya pas de sous métier, mes cela dis on parle dans une formatiuon de la réalité à l'avenir et si il y a autant de candidat, envoyé moi des mails !! car sa m'étonnerais fortement pourquoi? 2 à 3 femme sur 10 dans une formation sont déçue de cette réalité celle qui reste sonts celle qui trouvent des stutures qui savent faire la différence pour ce métier, les autres sont celle qui on une famille à nourrire... chaqun aura son opignon sur le metier, car chaque personne a sa façon de réagir.
bon courage à vous tous. mélanie
exemple: j'intervins chez madame, qui à 59 ans elle a un debut d'alzeimer, et de l'hartrose (la jambe bloqué à 10 degrée), elle a son fils ( mon incroyable fiancé) désolé mais c vrai.... j'arrive une motagne de vaisselle, le sol sale de chez sale, le fils arrive quand c'est moullier il me donne son assiètte à laver alors que j'ai fini la vaisselle. Il me dis " j'ai renversé de l'huil sur la gazinère TU pourras laver quand tu auras le temps"?? vous savez combien de temps j'ai passé pour récupérer cette gazinière?? 3 JOURS !! ........Et c'est partout pareille.
Alors mes dames, messieurs sachez quil y a une sacré différence entre le métier d'auxilaire de vie social,.... et femme de ménage. Si c'est le cas alors faire les toilette dans un hotel formule 1 m'aurais suffi.
DEAVS modules: de 1 à 11 ... pour passé le ballais?? si cela vous convient c'est parfait il ni ya pas de sous métier, mes cela dis on parle dans une formatiuon de la réalité à l'avenir et si il y a autant de candidat, envoyé moi des mails !! car sa m'étonnerais fortement pourquoi? 2 à 3 femme sur 10 dans une formation sont déçue de cette réalité celle qui reste sonts celle qui trouvent des stutures qui savent faire la différence pour ce métier, les autres sont celle qui on une famille à nourrire... chaqun aura son opignon sur le metier, car chaque personne a sa façon de réagir.
bon courage à vous tous. mélanie