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Le dépistage est une chose, le dépistage précoce est indiqué même si pour nous, ça n'a pas été précoce du tout ^^
Maintenant, pour nous parents, c'est plutôt "ok, il est autiste, que peut on faire?" et là... c'est un peu le vide de la part des pros.
On m'avait même parlé d'un hôpital de jour, chose qui l'aurait ruiné, aurait ruiné toutes ses chances futures.
Peut être... je dis bien peut être que pour certains autistes auquel est lié une difficulté d'apprentissage, l'HJ peut être envisageable, mais pour la majorité des autistes, l'HJ est tout simplement une mise à mort, sacrifice que je considère pire qu'un simple meurtre d'enfant et je pèse mes mots!
Maintenant, les "pros" pensent bien faire, c'est institutionnalisé, il est donc des paroles peut être dures à encaisser.
J'ai une tout autre vision de l'autisme que les "pros", j'en ai un à la maison, c'est peut être aussi plus facile pour moi ^^
L'autisme est pour moi une simple déficience de l'innée, mais l'humain est le mammifère qui possède des déficiences d'innées naturelles par rapport à bien d'autres mammifères (peut être tous ^^), mais cette déficience d'innées qui fait d'un bébé très largement dépendant pendant un temps record chez les mammifères.
Chez les autistes, et bien, c'est encore plus d'innée que chez les neurotypiques qui sont déficients
Les aspergers ont des déficiences d'innée, mais qui ne touchent pas l'innée concernant le langage et son acquisition, mais touchent une sommes aléatoire (qui va déterminer son "type d'autisme") d'innée qu'il faut donc lui apprendre
Le soucis est que vu que l'aspi est "libéré" des innées qu'on les autres enfants et donc apprends à parler très vite, logique.
Mais cette acquisition de langage très rapide "cache" d'autres déficiences qui ne sont pas forcément visible, puisqu'on risque de le prendre pour un enfant précoce du fait qu'il va parler très très vite.
Ce qui peut être constaté chez les autistes, ce sont certaines caractéristiques très surprenante (hypermnésie, grande pertinence, grande logique) que j'appelle en fait un effet de "compensation".
Puisque l'enfant n'a pas les "codes" sociaux, cela "libère" sont cerveau pour aller bien plus loin dans certaines réflexions ou certains apprentissages.
C'est donc un accent particulier sur le dépistage des codes manquants et trouver au mieux les méthodes d'apprentissages pour combler les déficiences des innées.
Les méthode ABA, et autre méthodes comportementales sont nécessaires, mais pas suffisant, la psy et l'observation/écoute de l'enfant doivent également être présents.
Bref, le "combat" entre psyK et comportementaliste font beaucoup de mal à l'enfant et dans l'établissement d'une méthode cohérente et adapté à la particularité de l'enfant.
Pour finir dans la manière d'annoncer l'autisme d'un enfant, les parents sont des humains comme les autres, certains vont parfaitement l'accepter, d'autre vont le refuser mais le tout est que les parents ne voient pas leurs enfants d'une manière différentes après l'annonce de l'autisme, c'est une forme de désolidarisation familiale qu'il convient d'éviter, car dans ce cas, ce serait les parents qui "couperait" d'une manière involontaire les liens avec l'enfant.
Bref, l'annonce de l'autisme est délicat....
++
Luc