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iavez - vous des interventions auprès de " cas psy "
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marielo
Re:
"Sophie"
Avant de vous répondre ...( demain )
Vous m'avez écrit :
"J'ai remarqué votre propension à tout ramener à votre personne ,à votre ressenti ,et je n'y vois aucune empathie (...)
Et =
"Sachez que le problème n'est jamais le malade ou la personne à aider ,si vous ressentez la situation ainsi ,je ne peux que vous conseiller de quitter votre emploi au plus vite ."
Merci de développer ces arguments à l'emporte -pièce ...
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Rose
Re:
Bonsoir.
Sophie:
Mme, J'ai lu votre précieux discours et je peux constater que vous avez une tres forte expression verbale. Vous avez effectivement de très jolis phrases et des longs copier-coller.
« La personne que vous remettez en cause n’a pas le droit de réponse ici, si comme je le suppose elle n’est pas au courant de vos propos la concernant. Il se trouve quand même que nombre d’avs vous apportent un soutien aveugle. Autant de soutiens immatures et irresponsables n’est-il pas ? »
En pratique de AVS sur le terrain, et ayant à faire a plusieurs publiques, handicapes, ethnies et cultures différents, dans la même journée, servir tous avec le même respect, différencier chaque situation, et tout ce la étant rémunéré au smic, c’est par fois difficile. Surtout a la fin de la journée de travaille , une autre journée commence, car nous ne pouvons pas nous permettre de nous faire aider pour les taches ménagères, courses ou occuper de nos enfants, notre salaire nous permet uniquement de survivre.
Le métier d’auxiliaire de vie, n’est pas de psyquiatre, nous sommes là pour aider, analyser, et transmettre. Nous devons connaitre nos limites ainsi que les limites de notre profession. En aucun cas nous devons nos substituer a d’autres professionnelles de la santé. Quand nous sentons que la situation nous dépasse, nous devons agir avant que cela ait des conséquences graves, je suppose que c’est ç a que Marielo a fait, et pour cette raison je lait soutenu, non pas de façon aveugle.
Les formations dans le domaine des pathologies mentales son souvent rares couteux et difficile d’accès pour nous les smicards.
Ce forum nous permet de discuter entre professionnelles, pouvoir nous concerter sur des sujets que seulement les personnes que les vivent peuvent les comprendre.
Vu la façon sur laquelle vous nous agressais, nous jugeais sans nous connaitre, je suppose que vous ne pourrais pas faire ce métier une semaine. Même PAR DEFAUT
Permettez-moi madame de m’excuser de toutes mes fautes en français, car je n’es pas votre instruction , mais j’ai un grand cœur pour aider toutes les personnes sans les juger, quoi qu’il soit son handicape sa photologie ou état physique, tout en restant un être humain.
Rose
Sophie:
Mme, J'ai lu votre précieux discours et je peux constater que vous avez une tres forte expression verbale. Vous avez effectivement de très jolis phrases et des longs copier-coller.
« La personne que vous remettez en cause n’a pas le droit de réponse ici, si comme je le suppose elle n’est pas au courant de vos propos la concernant. Il se trouve quand même que nombre d’avs vous apportent un soutien aveugle. Autant de soutiens immatures et irresponsables n’est-il pas ? »
En pratique de AVS sur le terrain, et ayant à faire a plusieurs publiques, handicapes, ethnies et cultures différents, dans la même journée, servir tous avec le même respect, différencier chaque situation, et tout ce la étant rémunéré au smic, c’est par fois difficile. Surtout a la fin de la journée de travaille , une autre journée commence, car nous ne pouvons pas nous permettre de nous faire aider pour les taches ménagères, courses ou occuper de nos enfants, notre salaire nous permet uniquement de survivre.
Le métier d’auxiliaire de vie, n’est pas de psyquiatre, nous sommes là pour aider, analyser, et transmettre. Nous devons connaitre nos limites ainsi que les limites de notre profession. En aucun cas nous devons nos substituer a d’autres professionnelles de la santé. Quand nous sentons que la situation nous dépasse, nous devons agir avant que cela ait des conséquences graves, je suppose que c’est ç a que Marielo a fait, et pour cette raison je lait soutenu, non pas de façon aveugle.
Les formations dans le domaine des pathologies mentales son souvent rares couteux et difficile d’accès pour nous les smicards.
Ce forum nous permet de discuter entre professionnelles, pouvoir nous concerter sur des sujets que seulement les personnes que les vivent peuvent les comprendre.
Vu la façon sur laquelle vous nous agressais, nous jugeais sans nous connaitre, je suppose que vous ne pourrais pas faire ce métier une semaine. Même PAR DEFAUT
Permettez-moi madame de m’excuser de toutes mes fautes en français, car je n’es pas votre instruction , mais j’ai un grand cœur pour aider toutes les personnes sans les juger, quoi qu’il soit son handicape sa photologie ou état physique, tout en restant un être humain.
Rose
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béa
Re:
Eden c'est bon d'avoir ce forum pour pouvoir évacuer notre stress, mais surtout pour s'informer. Je ne pense pas que sophie soit dans le jugement ici, du moins je ne le comprends pas ainsi. A mon avis elle met le doigt sur un travers de certaines collègues assez nombreuses qui parfois, sans se rendre compte pensent plus à leur nombril qu'aux autres. C'est vrai ne t'en déplaise que dans le métier d'aide à domicile il n'y a pas beaucoup de personnes qui l'on choisi, elles le font par nécessité, même les diplomés. N'empèche que je pense qu'on peut etre quand meme une professionnelle correcte si on sait se remettre en cause. Dans ce que dit sophie je reconnais beaucoup de monde avec ce désir de pouvoir sur les autres, celles là on du mal à se remettre en cause et sont meme des donneuses de leçons et elles pensent sincèrement qu'elles rendent service.
Je suis d'accord avec sophie qui dit que "Un vrai « dévouement » est altruiste et par conséquent ne demande pas de retour"
et aussi avec "le problème n’est jamais le malade ou la personne à aider"
Sophie c'est rare de lire un message comme le votre qui ose remettre les choses à leur bonne place.
Je suis d'accord avec sophie qui dit que "Un vrai « dévouement » est altruiste et par conséquent ne demande pas de retour"
et aussi avec "le problème n’est jamais le malade ou la personne à aider"
Sophie c'est rare de lire un message comme le votre qui ose remettre les choses à leur bonne place.
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marielo
Re:
"béa" bonjour ,
Si tu penses que "
Sophie" n'est pas dans le jugement ,alors qu'elle me "conseille de quitter mon emploi au plus vite" ,et qu'elle sous-entend qu'elle ne voit aucune empathie en moi ,je me demande ce que c'est si ce n'est pas un "jugement "
Ce forum n'est pas là pour porter un jugement sévère sur une personne dont on ne connait pas grand chose ,ni sur sa manière de travailler .
Si tu penses que "
Sophie" n'est pas dans le jugement ,alors qu'elle me "conseille de quitter mon emploi au plus vite" ,et qu'elle sous-entend qu'elle ne voit aucune empathie en moi ,je me demande ce que c'est si ce n'est pas un "jugement "
Ce forum n'est pas là pour porter un jugement sévère sur une personne dont on ne connait pas grand chose ,ni sur sa manière de travailler .
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béa
Re:
bonjour mariélo,
Je suis désolée je ne vois pas le message de Sophie comme toi. Elle a dit que si tu penses que le malade est le problème, le "si" est important à mon avis. Pour l'empathie, je lis aussi qu'elle a écrit "reconnaissant que le présent sujet est insuffisant pour être catégorique." Mais c'est a elle de te redire sa pensée. Pour ce qui me concerne je trouve très intéressant son message qui tranche de tout ce qu'on peut lire habituellement. Pour une fois qu'une personne ne sert pas de flatteries et met le doigt sur nos travers. Dommage que sa tombe sur toi, je pense qu'elle t'a choisie car tu es intelligente et que tu as beaucoup d'influence sur le forum, et que tu as aussi les défauts de beaucoup d'entres nous.
A Rose
Toutes les AD ne sont pas bac-10 heureusement. Nous sommes plusieurs a avoir le bac et aussi a avoir fait des études supérieures comme mariélo, odalixe, yvelines et j'en passe. Ne pas faire autant de fautes que de mots dans sa phrase ne veut pas dire qu'on fait du copié-collé. C'est n'importe quoi tes réflexions.
Je suis désolée je ne vois pas le message de Sophie comme toi. Elle a dit que si tu penses que le malade est le problème, le "si" est important à mon avis. Pour l'empathie, je lis aussi qu'elle a écrit "reconnaissant que le présent sujet est insuffisant pour être catégorique." Mais c'est a elle de te redire sa pensée. Pour ce qui me concerne je trouve très intéressant son message qui tranche de tout ce qu'on peut lire habituellement. Pour une fois qu'une personne ne sert pas de flatteries et met le doigt sur nos travers. Dommage que sa tombe sur toi, je pense qu'elle t'a choisie car tu es intelligente et que tu as beaucoup d'influence sur le forum, et que tu as aussi les défauts de beaucoup d'entres nous.
A Rose
Toutes les AD ne sont pas bac-10 heureusement. Nous sommes plusieurs a avoir le bac et aussi a avoir fait des études supérieures comme mariélo, odalixe, yvelines et j'en passe. Ne pas faire autant de fautes que de mots dans sa phrase ne veut pas dire qu'on fait du copié-collé. C'est n'importe quoi tes réflexions.
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marielo
Re:
"béa"
Je pense que "rose" parle de copié-collé en ce qui concerne les passages écrits par "Odalixe" ( qui sont d'ailleurs très justes !).
De même que je pense que "Rose" n'a pas tord en soulignant le fait que nous ayons aussi en tant que personnes humaines ,nos propres limites ,et que nous devons nous protéger aussi si nous ne voulons pas prendre le risque d'y perdre notre santé et notre équilibre ( et AUSSI ,avant de devenir maltraitant ,ce que je ne voudrais pour rien au monde ,et ce qui serait peut être arrivé pour le cas dont je parle si j'étais restée ,car les limites étaient dépassées depuis un an et demi )
Ce sont des sujets qui sont débattus en CHSCT ( et par le plus grand des hasards ,j'ai su que cela avait été le cas mercredi après-midi!)
Le droit de "retrait" existe également ...
Je ne sais pas si vous êtes très nombreuses à intervenir auprès de malades psychique à leur domicile ,seules dans votre coin ,je n'ai pas l'impression .
Même une certaine connaissance des pathologies ne suffit pas lorsqu'on se retrouve seule au domicile de l'une de ces personnes (dont on ne connait d'ailleurs pas la pathologie ou le passé psychiatrique puisque cela reste confidentiel )sauf au bout de 6 ans ...
Je n'ai pas besoin de flatterie ni de m'entendre dire que je suis intelligente ,de même que je n'attends rien en retour en faisant ce travail si ce n'est la satisfaction de savoir que mon aide a été utile et qu'elle a pu soulager une personne (même si les conditions de travail sont à déplorer ainsi que nos salaires )
Je pense que "rose" parle de copié-collé en ce qui concerne les passages écrits par "Odalixe" ( qui sont d'ailleurs très justes !).
De même que je pense que "Rose" n'a pas tord en soulignant le fait que nous ayons aussi en tant que personnes humaines ,nos propres limites ,et que nous devons nous protéger aussi si nous ne voulons pas prendre le risque d'y perdre notre santé et notre équilibre ( et AUSSI ,avant de devenir maltraitant ,ce que je ne voudrais pour rien au monde ,et ce qui serait peut être arrivé pour le cas dont je parle si j'étais restée ,car les limites étaient dépassées depuis un an et demi )
Ce sont des sujets qui sont débattus en CHSCT ( et par le plus grand des hasards ,j'ai su que cela avait été le cas mercredi après-midi!)
Le droit de "retrait" existe également ...
Je ne sais pas si vous êtes très nombreuses à intervenir auprès de malades psychique à leur domicile ,seules dans votre coin ,je n'ai pas l'impression .
Même une certaine connaissance des pathologies ne suffit pas lorsqu'on se retrouve seule au domicile de l'une de ces personnes (dont on ne connait d'ailleurs pas la pathologie ou le passé psychiatrique puisque cela reste confidentiel )sauf au bout de 6 ans ...
Je n'ai pas besoin de flatterie ni de m'entendre dire que je suis intelligente ,de même que je n'attends rien en retour en faisant ce travail si ce n'est la satisfaction de savoir que mon aide a été utile et qu'elle a pu soulager une personne (même si les conditions de travail sont à déplorer ainsi que nos salaires )
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marielo
Re:
"Sophie" bonjour .
Etant donné que j'ai partiellement répondu sur certains points ci-dessus ,j'essayerai de faire court !.
En ce qui concerne votre analyse faite sur le travail social ,je suis d'accord avec vous ,mais je ne me sens pas concernée par les "motivations non avouables" dont vous parlez ,et ce malgré les soupçons qui planent sur moi ...
J'ai un doute que vous soyez AVS et que vous connaissiez bien ce travail ? (vous parlez de personnel soignant ,d'handicapés mentaux ...)
Je n'ai pas cherché à bon compte à me débarrasser de ma mauvaise conscience pour reprendre vos termes .
Enfin,si vous le traduisez ainsi ,c'est que vous avez ressenti
également que je n'attendais pas non plus à ce que l'on me fasse culpabiliser .
Mais ,à partir du moment ou je demande l'avis des autres ,je me dois d'accepter ceux ci ,aussi divers soit-ils .
Non,mon problème n'est pas de " ne pas accepter d'être au service de "psy" car ce public manque de reconnaissance à mon égard"...
= J'avais la possibilité comme certaines collègues l'ont fait ,de refuser catégoriquement les interventions à domicile auprès de ce public (qui représente même à certaines périodes 50%de mes interventions depuis 8 ans ).
Ensuite,je travaille depuis le 4 janvier 2011 auprès de ce public quasi exclusivement (dans un GEM si vous connaissez ?)
Je n'aurais pas "tenu" un an si j'acceptais mal d'être à leur service et si je me méprenais sur mes motivations !
J'ai relevé le défi cette année , ce qui n'a pas toujours été facile croyez moi .
Ensuite ,il serait faux de penser que certains de ces malades n'ont aucune reconnaissance envers les personnes qui les aident ,fort heureusement ,je pourrais vous soutenir le contraire ,mais je ne sais pas si vous avez une expérience dans ce domaine .
Pour ce qui est des interventions à domicile ,le soutien apporté par mon association existe ,peut être pas suffisamment ,car l'importance donnée à ces interventions auprès de " psy " est minime ;je regrette que nous ne puissions pas plus travailler avec d'autres partenaires du secteur social ,des infirmières ,de l'hôpital ,et collaborer avec eux ,car notre travail se résume bien souvent à "faire du ménage" dans des conditions d'hygiènes bien souvent déplorables ( sans connaissance de leur pathologie )
Les services sociaux nous considèrent bel et bien comme les "femmes de ménages" de leur malades ,au lieu de voir en nous des alliées avec lesquelles un travail constructif peut être possible pour un meilleur maintien à domicile de ces malades et une meilleure insertion sociale .
Juger de mon manque d'empathie demanderait à priori effectivement bien d'autres éléments à charge !
Je "digère" sans mot dire ,c'est mieux ainsi ...
Si je devais " quitter mon emploi au plus vite " comme vous me le conseillez ,ce serait avec plaisir que je quitterais les conditions de travail d'AVS si j'en avais la possibilité ... mais au risque de vous décevoir ,je continuerais dans le SOCIAL !
Oui,les salariés qui travaillent à domicile sont interchangeables ,et heureusement ,car il faut savoir se protéger soi même des risques physiques et psychologiques ,ainsi que la personne aidée (si on ne veut pas devenir maltraitant).
(Ces problèmes sont débattus en CHSCT .)
En structure ,lorsque l'on travaille en équipe ,on a la possibilité de se mettre en "retrait" et passer la main à ses collègues le jour les limites ne sont plus supportables ,vice et versa .
A domicile ,non ,impossible .
Evidemment que je trouve les posts d'" Odalixe " très justes , si vrais et plein de bon sens .
Etant donné que j'ai partiellement répondu sur certains points ci-dessus ,j'essayerai de faire court !.
En ce qui concerne votre analyse faite sur le travail social ,je suis d'accord avec vous ,mais je ne me sens pas concernée par les "motivations non avouables" dont vous parlez ,et ce malgré les soupçons qui planent sur moi ...
J'ai un doute que vous soyez AVS et que vous connaissiez bien ce travail ? (vous parlez de personnel soignant ,d'handicapés mentaux ...)
Je n'ai pas cherché à bon compte à me débarrasser de ma mauvaise conscience pour reprendre vos termes .
Enfin,si vous le traduisez ainsi ,c'est que vous avez ressenti
également que je n'attendais pas non plus à ce que l'on me fasse culpabiliser .
Mais ,à partir du moment ou je demande l'avis des autres ,je me dois d'accepter ceux ci ,aussi divers soit-ils .
Non,mon problème n'est pas de " ne pas accepter d'être au service de "psy" car ce public manque de reconnaissance à mon égard"...
= J'avais la possibilité comme certaines collègues l'ont fait ,de refuser catégoriquement les interventions à domicile auprès de ce public (qui représente même à certaines périodes 50%de mes interventions depuis 8 ans ).
Ensuite,je travaille depuis le 4 janvier 2011 auprès de ce public quasi exclusivement (dans un GEM si vous connaissez ?)
Je n'aurais pas "tenu" un an si j'acceptais mal d'être à leur service et si je me méprenais sur mes motivations !
J'ai relevé le défi cette année , ce qui n'a pas toujours été facile croyez moi .
Ensuite ,il serait faux de penser que certains de ces malades n'ont aucune reconnaissance envers les personnes qui les aident ,fort heureusement ,je pourrais vous soutenir le contraire ,mais je ne sais pas si vous avez une expérience dans ce domaine .
Pour ce qui est des interventions à domicile ,le soutien apporté par mon association existe ,peut être pas suffisamment ,car l'importance donnée à ces interventions auprès de " psy " est minime ;je regrette que nous ne puissions pas plus travailler avec d'autres partenaires du secteur social ,des infirmières ,de l'hôpital ,et collaborer avec eux ,car notre travail se résume bien souvent à "faire du ménage" dans des conditions d'hygiènes bien souvent déplorables ( sans connaissance de leur pathologie )
Les services sociaux nous considèrent bel et bien comme les "femmes de ménages" de leur malades ,au lieu de voir en nous des alliées avec lesquelles un travail constructif peut être possible pour un meilleur maintien à domicile de ces malades et une meilleure insertion sociale .
Juger de mon manque d'empathie demanderait à priori effectivement bien d'autres éléments à charge !
Je "digère" sans mot dire ,c'est mieux ainsi ...
Si je devais " quitter mon emploi au plus vite " comme vous me le conseillez ,ce serait avec plaisir que je quitterais les conditions de travail d'AVS si j'en avais la possibilité ... mais au risque de vous décevoir ,je continuerais dans le SOCIAL !
Oui,les salariés qui travaillent à domicile sont interchangeables ,et heureusement ,car il faut savoir se protéger soi même des risques physiques et psychologiques ,ainsi que la personne aidée (si on ne veut pas devenir maltraitant).
(Ces problèmes sont débattus en CHSCT .)
En structure ,lorsque l'on travaille en équipe ,on a la possibilité de se mettre en "retrait" et passer la main à ses collègues le jour les limites ne sont plus supportables ,vice et versa .
A domicile ,non ,impossible .
Evidemment que je trouve les posts d'" Odalixe " très justes , si vrais et plein de bon sens .
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mandroune
Re:
desolee...mais moi je n aurais pas tenu autant de temps dans ces conditions.quoi que vous en disiez sophie ou bea .peut etre travaillez vous en equipe mais nous nous devons faire face absolument seules.tout le monde a le droit de craquer a un moment ou a un autre et je maintiens qu il vaut mieux se retirer si vous insupportez la beneficiaire.rester ne fait qu envenimer la situation.ce n est souhaitable ni pour la pa ni pour l avs.