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Re:

Publié : 05 oct. 2011 18:31
par mandroune
odalixe ce sont justement ces divergences d opinion qui enrichissent le forum et le rend passionnant...et instructif ma mere disait toujours que dans chaque famille il y a un pendu cache dans le placard .nous ne devons pas juger c est vrai mais faire avec

Re:

Publié : 05 oct. 2011 19:10
par marielo
Bonsoir !

"Martine"

= Le tableau que tu nous décris de tes voisins et de l' ingratitude de leurs enfants fait effectivement de la peine ,mais ,essayes de prendre du recul ,et de prendre moins à coeur cette situation si tu peux ...

Tu avoues toi-même que cela reste pour toi un grand mystère ,et l'explication est peut être là !

Que les DEUX enfants agissent de la même façon ,et, que les parents aient légué tout cet héritage à leurs enfants fait" obligatoirement" se poser des questions ...
Et,le fait que ton ancienne amie t'ai mise à l'écart trouve peut être une explication dans le fait qu'elle veuille rompre avec une certaine période de sa vie pour des raisons que tu ignores .( ce n'est peut être pas toi qui est en cause personnellement et directement ,mais ce que tu représentes pour elle ?)
Bon,j'arrête la psy de Prisunic !

Merci de m'avoir fait connaitre l'existence des "psy-généalogistes
",je ne connaissais pas du tout ,et cela me parait très intéressant ,car il y parfois des générations de "non dit" , dont on ne peut se dépêtrer seul ,même avec la meilleure volonté !

"Odalixe"

=j'espère que mon témoignage n'avait rien de trop "exhibitionniste" et qu'il n'aura pas été perçu comme tel ,car ce n'était pas le but...

Je voulais simplement expliquer à ma manière et en fonction de ma propre expérience ,qu'il était souvent impossible de l'extérieur ,de pouvoir s'immiscer dans les méandres marécageuses des histoires familiales ...

Bonne soirée à toutes .

Re:

Publié : 05 oct. 2011 22:42
par Odalixe
Marielo,

Ton illustration était parfaite. Martine et Mandroune ont apprécié je pense la franchise de tes propos.
Je retiens "le pendu caché du placard"
de Mandroune, qui est une expression très imagée mais tellement évocatrice du sujet.

Par contre, je profite de ce post pour te conseiller de ne pas perdre ton énergie à répondre à cet illustre pervers polymorphe qui apparait sur ce forum.

Il se croit important en tentant par tous les moyens d'avoir une emprise là où il s'immisce.
Ce type, c'est rien, lui répondre c'est lui donner trop de plaisir dans sa jubilation à penser qu'il est Dieu et qu'il fait tourner le Monde.
Laisse tomber et il ira au placard, se cacher à faire le pendu!
Il est en dérangement et je crains qu'il en ait pour un petit moment.

Re:

Publié : 06 oct. 2011 19:24
par tutut
bonjour tlm

le sujet prend une tournure qui me touche aussi, un jour ou l’autre nous sommes tous confrontés au vieillissement et à la dépendance de nos parents, et alors là notre enfance, ou l’histoire familiale revient au devant de la scène, dont des histoires oubliées, enfouies…

l'image du "pendu dans le placard" est très parlante d'une situation où comme le dit martine une "espèce de malédiction" se transmettrait de génération en génération... cela est terrifiant si les personnes ont le sentiment d'être maudites sans en connaître la raison du pourquoi...

il y a des cas de mères indignes célèbres et au dessus de tous soupçons
jules renard raconte ses malheurs dans le célèbre roman autobiographique "poil de carotte", ses parents étaient des notables « bien sous tout rapport »…
et hervé bazin raconte ses déboires avec sa mère "folcoche" une vraie marâtre, dans son roman le plus célèbre "vipère au poing"
dans les 2 cas le père est démissionnaire
il serait intéressant de savoir quels pères ont été jules renard et hervé bazin, n’ont-ils pas reproduit certains schémas vécus dans leur enfance ?

et dans les cas où c'est le père qui est "abuseur" on voit souvent des mères démissionnaires ou parfois complices (outreau est un cas terrible et extrême)

mais à mon avis s'il existe des parents indignes, la réciproque doit être vraie, il doit bien exister aussi des enfants indignes...
il y a des enfants rois par exemple, qui peuvent se transformer en tyrans...
plusieurs situations peuvent se présenter…
comme des parents qui ne sont ni indignes ni mal-aimants, qui sont tout simplement dans une telle attente d'amour qu'ils ne se rendent pas compte qu'ils se comportent comme s'ils achetaient l'affection de leurs rejetons...
ça peut-être par exemple le cas des "tanguy" ces enfants ayant la trentaine, la quarantaine... qui s'incrustent dans le foyer de leurs parents... la presse a relaté il y a peu de temps le cas d'un type ayant une très bonne situation professionnelle (cadre) et qui exigeaient de se faire servir en tout par ses parents, et qui râlait quand le repas n'était pas à son goût ou que ses chemises étaient mal repassées... il terrorisait tant ses parents que ceux-ci ont porté plainte et ont demandé son expulsion de leur domicile... il est probable que cet enfant roi « parfaitement égoïste » abandonne ses parents quand ils seront dépendants…
il y a encore d’autres figures d’enfants roi,
comme « l’enfant roi chinois » qui est un garçon, comment se comportera t-il quand ses parents seront dépendants ? ce type d’enfant roi est un « pur produit » de la société chinoise actuelle

nous sommes les enfants de nos parents mais nous sommes aussi les enfants de nos sociétés, de nos cultures, de nos traditions… en disant cela je pense aux beurettes par exemple, il ne doit pas être facile de se libérer de coutumes ancestrales sans causer une fracture importante voire parfois définitive avec ses parents… parents qui n’en sont pas pour autant indignes et mal-aimants en voulant imposer leurs lois qu’ils estiment bonnes et sécurisantes pour leurs enfants…

les histoires d’abandon de vieux parents peuvent avoir une explication culturelle et trouver leurs racines dans des us et coutumes… je pense par exemple aux anciennes coutumes japonaises ou encore de peuples du grand-nord où les vieux qui ne sont plus utiles sont abandonnés dans la neige, ou sur la banquise…

et la rupture parfois brutale avec les traditions familiales peuvent aussi être source d’incompréhension entre parents et enfants sans qu’il n’y ait pour autant de secret lourd et de « pendu dans le placard »

Ce sujet m’interpelle car j’ai aussi été confrontée à l’abandon de mes parents et à la situation d’enfant roi de mon frère, enfant roi que je qualifierais « par tradition familiale»

Comme mariélo, j'ai aussi le sentiment d'avoir été mal aimée (je dis bien mal-aimée mais pas non-aimée)… je fais partie d'une famille nombreuse de plusieurs filles et 1 seul garçon... nous les filles ne "comptions pour rien", notre frère lui obtenait tout ce qu'il voulait et nous devions le servir... moi aussi j'ai fini par prendre mes distance avec mes parents... je suis revenue vers eux quand ils se sont trouvés dans un grand besoin et même démunis du nécessaire, complètement abandonnés de leur fils qu'ils avaient totalement favorisé au détriment des filles (transmission gratuite de l’entreprise et de la maison familiale, dons importants, mon père a continué à travailler gratuitement pendant ses années retraite pour l’entreprise… et s’est porté caution dans des affaires que mon frère a ratées...)... l’échec de mon frère (enfant roi) est peut-être à imputer à la trop grande faveur et la trop grande attente des parents (en contrepartie), et son abandon des parents à la mauvaise conscience d’avoir contribué à déshériter ses sœurs et d’avoir gaspillé le patrimoine indûment reçu…
il me faut préciser aussi que cette configuration familiale s’est reproduite pendant plusieurs générations, un seul héritier mâle destiné à reprendre l’entreprise familiale, les autres étant en quelque sorte « disqualifiés d’office », et c’est pourquoi j’ai dans ma famille beaucoup de grands oncles et tantes dans les ordres, car il ne fallait pas diviser le patrimoine (mes parents eux étaient enfants uniques).
moi et mes sœurs avons entourés nos parents durant leurs vieux jours... nous n'avons revu notre frère qu'à leurs obsèques, il n’a fait acte de présence que pour la cérémonie religieuse, nous avons bien essayé toutes de le retenir… c’est dire son malaise… et peut-être la « patate chaude » (la mauvaise conscience) qu’il transmettra à ses enfants…
voilà donc le cas d’un enfant roi ayant abandonné ses vieux parents…
indignes mes parents ? et envers qui ? envers leurs filles ou envers leur fils adoré ? et indigne mon frère ? et envers qui ? ses parents ? ses sœurs ?
comment expliquer ?... je pense qu’il était « vital » pour mon père que l’entreprise familiale garde le nom de la famille, comme cela l’était avant lui pour le grand-père qui a choisi de n’avoir qu’un enfant (car son premier était un fils)…
alors l’arrivée des filles dans le foyer n’était pas la bienvenue (mon frère est le benjamin)… nous serions nées en inde ou en chine, je crois bien qu’on nous aurais « éliminées » pour ne pas diviser le patrimoine familial… mes sœurs et moi nous nous en sommes assez bien « sorties » grâce à l’amour de notre grand-mère qui était très présente durant notre enfance, ma mère était une femme amoureuse de son mari, pas maltraitante mais elle a épousé l’état d’esprit du père… j’ai bien essayé de parler de cette injustice avec mon père, dans ses derniers jours, il n’a jamais reconnu avoir été injuste, il m’a dit qu’il devait obéir à la volonté de son père qui a obéi à celle du grand-père…
ma famille est très catho et le 4ème commandement des tables de la loi était sacré chez moi, il s’agit bien sûre du « tu honoreras ton père et ta mère »…


Concernant les mères indignes, je pense à une autre situation, celle des jeunes femmes d’avant les années 70 qui n’avaient pas la pilule et qui ont été obligées d’accepter parfois de multiples naissances non désirées… comment bien assumer ses maternités dans ce cas… certaines femmes ne ressentent jamais de sentiments maternels… qu’on ne leur jette pas la pierre, les hommes étaient et sont encore bien plus nombreux à ne pas assumer leurs paternités et sans complexe…

être parents ça n'est pas une sinécure, on fait tous des erreurs… on commet tous des fautes plus ou moins graves… il faudrait une formation pour ça, et n'auraient l'autorisation d'avoir un bébé que les personnes qui auraient obtenu leur diplôme de parents...
quoique je ne suis pas certaine que cela évite les abus, cela éviterait quand même beaucoup de maladresse pour cause de manque de connaissance de soi et manque de savoir-faire.

Quand on a le sentiment d’avoir été maltraité par des parents indignes, je pense qu’il est important d’essayer de comprendre pourquoi, quelle a été l’histoire du parent maltraitant qui explique son comportement envers nous… c’est bien si à la fin de la vie du parent on arrive à renouer un peu le dialogue… et il me semble très important d’arriver à pardonner, pour ne pas transmettre de rancœur, de « patate chaude »… (j’aime bien cette expression très imagée et parlante)

Re:

Publié : 06 oct. 2011 22:15
par Odalixe
Tutut!

Tu nous prouves que le sujet est accessible et qu'à toi, il t'a parlé.
Dans l'aide à domicile, nous sommes nombreuses je pense, à avoir eu des valises d'enfance trop lourdes à porter.
Tellement lourdes ces valises, qu'elles ont gravement hypothéqué notre avenir personnel et professionnel .

Alors parfois, quand je pense aux conditions indignes de travail qui nous sont faîtes, j'ai le sentiment que c'est la sanction de la double-peine.

Tout ce qui ne nous tue pas , nous rend plus fort dit-on. Cette fracture que l'on porte en soi, est parce que nous l'avons dépassée, notre richesse la plus intime.

Re:

Publié : 06 oct. 2011 22:44
par Miss

Je connais la spychogénéalogie depuis de nombreuses années et il est vrai que mon regard envers les familles est complètement différent, il fait dire que j'ai commencé très jeune le métier et que je manquais sérieusement d'expérience aussi.

Anne ancelin shuzenberger est la pionnière. Quant aux secrets de famille, vous pouvez vous tourner vers l'excellent livre de Serge Tisseron.

Il aura finalement fallu que je traverse de dures épreuves pour me rendre compte que moi aussi, tout comme marielo, j'avais une idée fausse de ma mère qui me manipule à coups de mensonges et n'a de cesse de faire des conflits de famille.
J'avoue que même si j'avais réalisé que la vie des familles chez qui nous travaillons est certainement loin de ce que l'on peut imaginer, j'en étais encore très loin quand je vois ce que je traverse en ce moment! Je commence à avoir le recul sur d'anciennes situations. S'il fallait faire machine arrière, dans la plupart des cas, je crois que je ne réagirais plus du tout pareil. Je m'aperçois à quel point c'est difficile de ne pas juger. On va chez les gens imprégnés de nos expériences et de notre histoire de vie. Forcément, parfois il y des incompréhensions qui débouchent sur un conflit.

J'arrive à un point où le métier me renvoie tellement mon histoire de vie dans la figure que les surcharges de travail me deviennent insupportables parce que je suis devenue trop fragile psychologiquement. J'ai commencé une psychothérapie tout récemment (je n'ai fait qu'une séance) et il est question que je reprenne mon travail de généalogie et spychogénéalogie avec la psychologue car toute seule, je n'ai pas réussi à m'en sortir :cry:

Je n'ai pas lu tous vos posts, je suis "tombée" sur le mot "spychogénalogie" et je ne cache pas ma joie de partager sur le sujet, vraiment merci d'ouvrir la conversation un peu plus, c'est un sujet qui me passionne.

Dis-moi Marielo,

Est-ce que je peux te demander comment tu as trouvé la force d'aider ta maman et de supporter cette situation difficile durant tant d'années ? Ca m'aiderait parce que je suis actuellement dans une mauvaise situation dont je ne vois plus d'issue?

Je vais remonter le post et prendre le temps de vous lire plus longtemps :chine:

Re:

Publié : 07 oct. 2011 00:36
par Martine
Bonsoir Odalixe, Mariélo, Mandroune, Tutut,

J’ai moi la chance d’avoir une famille unie, nous avons l’esprit de famille et nous pouvons comptés les uns sur les autres en cas de problèmes. Je constate quand même autour de moi que ce n’est pas le cas pour beaucoup de gens. Les histoires familiales ne sont pas toujours simples.

Merci à Mariélo et à Tutut d’avoir donné à voir votre cas qui fait réfléchir. Dans notre métier on doit se méfier des idées toutes faites. Odalixe vous avez bien de la chance dans votre association d’avoir le soutien d’un psychologue, on devrait tous pouvoir en bénéficier car on a souvent à intervenir dans des situations compliquées qu’on comprend mal. On se sent tellement seule parfois ne sachant quelle attitude avoir.

J’ai récupéré un de mes livres sur la psychogénéalogie. L’auteur et conférencière s’appelle Chantal Rialland. Le titre du livre est « Cette famille qui vit en nous », dont voici une présentation :

« Qui, parmi nous, n'a pas eu à souffrir d'une histoire plus ou moins lourde, plus ou moins secrète, culpabilisante, que nous répétons inlassablement ? Pourquoi faisons-nous avec obstination de mauvais choix en amour ? Pourquoi multiplions-nous des échecs que rien en apparence ne justifie ? Pourquoi tombons-nous malades, pourquoi souffrons-nous d'un trouble qui n'a rien de génétique mais qui s'est déjà manifesté chez un de nos ancêtres et à l'âge que, précisément, nous atteignons ? Ces phénomènes de répétition, ces identifications à un père, une mère, un aïeul ou un frère, nous les vivons chaque jour.
Parfois, même, ils peuvent nous tuer. A cause d'eux nous ne parvenons pas à vivre en paix avec nous-mêmes ou nous détruisons ceux que pourtant nous aimons. Grâce à la psychogénéalogie, une approche thérapeutique rapide et efficace, accessible à tous, nous apprenons à nous poser les bonnes questions, à dénouer les fils tissés dans un passé parfois lointain, à nous libérer de nos blocages, à secouer le joug inconscient imposé par nos ancêtres. »

Re:

Publié : 07 oct. 2011 16:01
par Martine
Tutut
J’ai repensé toute la journée à l’histoire que tu as raconté de ta famille. Tu as l’air d’avoir surmonté cela. Par contre je pense que ton frère doit se trouver mal, je me trompe ?

Re:

Publié : 07 oct. 2011 21:07
par marielo
Bonsoir à toutes !

Je vois que ce sujet "interpelle " un certain nombre de personnes .
Je bosse demain et serai plus disponible pour écrire et répondre dimanche et lundi (et lire les témoignages que je n'ai pas eu le temps de lire !... comme celui de "tutut"!)

En attendant , ce soir ,je voulais juste répondre rapidement à "miss" =

Ma solution a été une psychothérapie de longue haleine ,avec un psychiatre très compétent (j'ai eu cette chance de le rencontrer !et sans doute aussi la chance d'avoir eu le DESIR de m'en sortir !)

Il faut pouvoir passer le cap de la "rancune" (voire de la haine !) face à son parent défaillant , pour pouvoir retrouver une certaine "sérénité "

Il faut aussi pouvoir comprendre ,accepter et intégrer le fait que ce parent "défaillant" a lui même été victime de la défaillance de ses propres parents ,et sans doute victime de l'histoire familiale en général , qui se perpétue de génération en génération ...

Je devine que ma mère n'était qu'un maillon de la chaine !
Elle n'a pas eu "l'intelligence " ni la volonté ,je ne sais pourquoi, de vouloir se sortir de cette névrose familiale (??? ) qu'elle voulait inconsciemment perpétrer . Je ne sais pas pourquoi j'ai eu cette prise de conscience à la naissance de mon fils ? (et pas avant ?!) = je ne voulais pas transmettre cette "névrose familiale " à mes enfants ,il fallait pour moi que la " chaine cesse "

Je ne cache pas que cela n'est pas chose facile !( pas étonnant que l'on parle de faire "un travail" sur soi ! )

J'ai pensé que j'avais du faire le travail qu'elle aurait du faire elle-même ...

Tu me demandes = mais ,c'est ainsi que j'ai pu ,au bout du compte ,accompagner ma mère dans sa maladie et dans la mort ,en ayant pu mettre de côté tous mes reproches ,toutes mes rancoeurs ,et ma haine envers elle ,et faire la paix en ce qui me concerne .

Bon courage ,et à bientôt !

Re:

Publié : 08 oct. 2011 22:16
par Miss
:bye: Marielo,

Bon! Etant dans cette démarche et après en avoir conclu que j'aurais pu faire la démarche plus tôt, il n'est pas question que je lâche le morceau. j'espère avoir un résultat aussi positif que le tiens. En tout cas, tu me conforte dans mon choix et la personne que j'ai choisi semble être vraiment bien. En tout cas, ça me donne du courage de vous lire.

C'est une chance que ce forum puisse nous permettre de nous soutenir dans les moments difficiles. :bounce:

Ps @ Martine : j'ai pensé la même chose en lisant le message de Tutut