Re:
Publié : 16 oct. 2010 12:11
Réponse à Marielo.
La Bretagne est une belle région dotée de pouvoirs et de vertus que malheureusement beaucoup d'habitants de cette région ignorent alors qu'ils pourraient les exploiter à leur juste valeur pour contribuer à son développement.
La Bretagne m'a permis d'acquérir la sagesse et l'humilité.
Concernant votre commentaire, il y a certaines situations dans lesquelles le règlement des prestations par les usagers ne permettra pas de préserver les emploi des intervenants(es) et des gérants de service d'aide à la personne, tout simplement parce qu'il y a des usagers en situation financière précaire alors qu'ils ont un besoin manifeste d'aide compte tenu de leur dépendance et leur handicap et qui ne peuvent pas régler leurs prestations.
Face aux impayés, les services privés d'aide à la personne ne peuvent pas avancer les salaires des intervenants(es)parce qu'ils manquent cruellement de trésorerie.
Seuls les services publics et associatifs pouvaient se le permettre jusqu'à maintenant, les subventions versées par l'Etat servaient entre autre de trésorerie et à permettre à des personnes en difficulté financière de pouvoir bénéficier de prestations d'aide ménagère malgré leurs faibles revenus.
Aujourd'hui, l'Etat met fin aux subventions, cela veut dire que les personnes en précarité financière et qui nécessitent un accompagnement (Aide à la toilette, travaux ménagers, garde de nuit) ne pourront même plus être pris en charge par les services associatifs et publics déjà en déficit.
Cela veut dire également qu'une inégalité se met en place de façon injuste, les personnes ayant les moyens financiers pourront bénéficier de prestations délivrés par des services privés et les autres? Que vont-ils devenir?
Pour vous donner un ordre d'idée, une prestation d'aide à la toilette d'une durée d'1 heure du Lundi au Dimanche, frais de déplacement et d'indemnités de Dimanche inclus revient à une facture de 785 € ttc par mois.
Qui peut se permettre de régler une telle facture compte tenu des faibles montants de retraite, sachant que le profil des usagers représente des femmes veuves qui pour la plupart n'ont jamais travaillé et dont l'enfant ou les enfants sont éloignés géographiquement et ne peuvent pas toujours subvenir aux besoins de leur parent.
La Bretagne est une belle région dotée de pouvoirs et de vertus que malheureusement beaucoup d'habitants de cette région ignorent alors qu'ils pourraient les exploiter à leur juste valeur pour contribuer à son développement.
La Bretagne m'a permis d'acquérir la sagesse et l'humilité.
Concernant votre commentaire, il y a certaines situations dans lesquelles le règlement des prestations par les usagers ne permettra pas de préserver les emploi des intervenants(es) et des gérants de service d'aide à la personne, tout simplement parce qu'il y a des usagers en situation financière précaire alors qu'ils ont un besoin manifeste d'aide compte tenu de leur dépendance et leur handicap et qui ne peuvent pas régler leurs prestations.
Face aux impayés, les services privés d'aide à la personne ne peuvent pas avancer les salaires des intervenants(es)parce qu'ils manquent cruellement de trésorerie.
Seuls les services publics et associatifs pouvaient se le permettre jusqu'à maintenant, les subventions versées par l'Etat servaient entre autre de trésorerie et à permettre à des personnes en difficulté financière de pouvoir bénéficier de prestations d'aide ménagère malgré leurs faibles revenus.
Aujourd'hui, l'Etat met fin aux subventions, cela veut dire que les personnes en précarité financière et qui nécessitent un accompagnement (Aide à la toilette, travaux ménagers, garde de nuit) ne pourront même plus être pris en charge par les services associatifs et publics déjà en déficit.
Cela veut dire également qu'une inégalité se met en place de façon injuste, les personnes ayant les moyens financiers pourront bénéficier de prestations délivrés par des services privés et les autres? Que vont-ils devenir?
Pour vous donner un ordre d'idée, une prestation d'aide à la toilette d'une durée d'1 heure du Lundi au Dimanche, frais de déplacement et d'indemnités de Dimanche inclus revient à une facture de 785 € ttc par mois.
Qui peut se permettre de régler une telle facture compte tenu des faibles montants de retraite, sachant que le profil des usagers représente des femmes veuves qui pour la plupart n'ont jamais travaillé et dont l'enfant ou les enfants sont éloignés géographiquement et ne peuvent pas toujours subvenir aux besoins de leur parent.