Le Social

Bonjour,

Je suis aide-éducateur en formation d'éducateur sur 2 jours par semaine le mercredi et le jeudi.
au debut moi aussi je me plaignais du manque d'activités et de perspective d'avenir par rapport à notre emploi jeune, mais on a été prévenu on savait ce qui allait advenir de nous, mais depuis voyant réussir d'autres aide-éduc j'ai changer je me suis motivé et je n'ai plus laisser de place à la lamentation, il faut prendre le temps de chercher le temps qu'il faudra sur le net ou autre des formations qualifiantes il y en a pleins par exemple 3 de mes amis sont devenus éduc spé et assistantes sociales et un autre coordinateur sociale pour le compte d'une maire grace à une formation qualifiante à l'université réservé aux aide-éducateurs, pourtant eux aussi ont subit des échecs des problèmes d'argent ils on été obligé de démissionner mais aujourd'hui ils sont sortis de toutes ces galères. Croyez moi moi la motivation et la perséverance paie toujours sans se relacher à cause d'échec. La vie n'est pas que bonheur et facilité il faut mériter notre joie en travaillant en allant pousser les portes qu'il faut pour réusir meme si les portes restes fermer, sachez qu'il existe des milliers de porte.

Ce message est destiné à la réflexion, je sais que beaucoups d'entre nous sont valeureux et courageux mais cela ne coute rien de rappeler tous cela, car les messages de lamentation sur ce site ne font que décourager d'autres aide-educ qui lisent les messages au lieu de se plaindre demandez conseils posez des questions pour vous en sortir apportez des information utile à nous tous et surtout ne pas créer une association de plaigneurs.
merci pour votre attention.

Bonjour,
je ne peux qu'être d'accord : on le savait. Ce que je trouve "anormal", c'est le manque d'encadrement et de suivi du dispositif. Selon où tu es tu n'as pas le droit aux mêmes formations. Par exemple, je suis à Nantes, et l'école qui forme les travailleurs sociaux n'a pas d'aménagement permettant aux aides-éduc de devenir éduc spé, assist soc ou autres (comme par ex à l'IRTS de Rennes). Même chose pour les accords avec les universités : cela varie selon les facs (inscriptions payantes à la fac de Nantes !), etc. Enfin voilà, pas de quoi se lamenter pour autant, par contre, beaucoup de temps à consacrer aux démarches pour être correctement renseigné, étant donné que même les services censés nous "accompagner" ne sont pas au courant de ce qui est toujours valable ou non. En plus, le fait que ces accords soit reconduits ou non d'une année sur l'autre empêche un projet fiable sur plusieurs années. Ceci dit, je bosse dans une école où cela se passe vraiment bien, et il y a beaucoup de personnes qui travaillent à l'usine ou pire pour le même salaire de misère, donc de ce côté là : rien à dire ! En bref : oui il faut se plaindre car le dispositif est vraiment mal "structuré" et ça ce n'est pas normal ; non il ne faut pas se lamenter : tâcher de préparer son avenir professionnel tout en profitant du côté "sympa" du boulot d'aide-éduc.
bonnes vacances

salut
renseigne toi auprés de l'université de saint denis paris ils ont une formation spécifique aux aide éduc, c'est le deust(bac+2) métiers de l'éducation, et en plus ya possibilité d'entrée direct en deuxiéme année, bon courage.

Autre chose de pas normal:
d'une école à l'autre pas les mêmes horaires
si tu es aide educ en primaire disosn une trentaine d'heures par semaine
Si tu es AE en collège ou lycée: de 35 à 40 heures!!!

Salut Bibop,
merci de l'info mais justement : je sias qu'il existe des formations pour les aides-éducs en france, mais on n'est pas forcémment mobile géographiquement... C'est justement cette différence entre les villes qui me "chiffonne" !
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