une maman dans la tourmente
Publié : 07 sept. 2008 11:06
Cette histoire est la mienne et les conséquences des fautes professionnelles de certains travailleurs sociaux pourraient être tragiques pour mon enfant âgé de 6 ans.
Le début de l'histoire est très basique, c'est une relation très mauvaise entre mon ex compagnon et moi même. Mais la fin c'est digne “du parrain”.
Dans la vie j'étais assistante maternelle agréée. J'ai donc travaillé quelques années pour le compte des services sociaux. Quand mon ex compagnon est parti (pour 3 maîtresses) il a essayé d'obtenir la garde de notre fils, ce qui lui a été refusé le 10/07/07, justement grâce à mon métier. Ce même jour il a donc appelé ma puéricultrice de référence à la PMI (Protection maternelle et infantile) pour une dénonciation calomnieuse. Le motif :le désordre de ma maison.
J'ai donc été enquêtée le 16/07/07. J'étais pourtant en vacances donc hors de tout cadre professionnel. J'avais profité de l'absence des enfants et de mes 2 mois de congés pour entamer de lourds travaux dans ma maison (la terrasse de mon jardin ainsi qu'un dressing dans ma chambre). Effectivement quand la puéricultrice est passée avec une collègue assistante sociale, ma maison était en désordre puisque j'étais en travaux. Ca leur a suffit pour conclure que j'étais sans hygiène puisque je n'avais pas fait le ménage dans les endroits en travaux. Elles ont même inventé un interrupteur recouvert de matière fécale dans mes toilettes alors que je n'ai pas d'interrupteur dans cette pièce mais un allumage automatique à l'ouverture de la porte. Elle ont fait un rapport contre moi, omettant de préciser que j'étais en vacances et ont donc conclus que j'étais dangereuse pour les enfants (qui étaient absents).
Je précise qu'avant ça, cette puéricultrice et moi avions des relations assez mauvaises depuis que la Mission locale de ma ville m'avait demandée de créer avec eux un crèche sociale.
Elle a donc suspendu mon agrément sur le champs. Sans respecter la procédure. Pourtant elle a attesté auprès de mes employeurs que j'avais été entendu par la direction de la PMI et les syndicats (mes employeurs ont témoignés par écrits) ce qui est totalement faux. Elle a aussi menacé mes employeurs. Certains n'ont pas cédés, mais 1 à fait un faux témoignage (je nourrissais mal son fils, alors qu'il ne mangeait jamais chez moi). Elle a fait faire des faux témoignages à 2 collègues assistantes maternelles, qui ont attestés que ce n'était pas moi qui emmenais les enfants à l'école. Hors, tous les instituteurs que la PMI a refusé d'entendre sont prêts à témoigner du contraire. De plus, elles ont affirmé que c'était mon compagnon actuel qui emmenait les enfant à ma place à l'école, hors lui il est au travail à la même heure et ce, à 40 km de là et devant au moins 30 témoins (il est prof).
Quand j'ai voulu assurer ma défense et mettre en évidence ces mensonges, ça a posé un gros soucis, surtout qu'en plus j'ai ressorti des courriers dans lequel je sollicitais l'aide de cette puéricultrice pour des suspicions de maltraitance où n'est jamais intervenue. Elle a été couverte par sa hiérarchie et moi on m'a retiré mon agrément pour avoir osé dire du mal de cette femme, mais les 1ères reproches n'existaient plus (mon hygiène n'était plus mise en cause). Cependant, dans leurs courriers on note au moins 3 violations des droits de l'homme (Article 11,12 et 19)
Parallèlement, mon ex compagnon, voyant que je n'avais plus de travail, son plan fonctionnait, il a lancé une procédure de garde de notre fils et la juge a demandé une étude psychologique de nous tous, mon fils y compris, aux services sociaux judiciaires l'ADDPJ.
L'assistante sociale de l'ADDPJ ayant eu vent que j'avais un dossier compromettant contre la PMI, m'a menacé de me retirer mon fils si je portais plainte auprès du tribunal administratif contre la PMI. Le psychologue de l'ADDPJ a quant à lui menacé mon compagnon actuel pour la même chose (qui a témoigné par écrit).
Pourtant à la même époque, mon fils a été victime chez son père, par le beau frère de 23 ans, d'exhibitions. Devant ses dessins à l'école et ses propos, l'école a saisi l'inspection académique. Quand l'assistante sociale l'a su, elle a appelé la directrice de l'école et a empêché le psychologue scolaire de rencontrer mon fils, ainsi que l'assistante sociale de l'école (qui n'est autre que l'assistante sociale de mon secteur, donc celle présente le jour de ma suspension d'agrément). L'inspection académique a cependant saisi le procureur, et une enquête a été ouverte. Mon fils, alors âgé de 5 ans a été entendu et filmé. Devant ses propos, le policier m'a conseillé de porter plainte, voyant mon fils choqué.
Quand l'assistante sociale de l'ADDPJ l'a su, elle a appelé la police. L'enquête a été classée sans suite. Pourtant mon ex compagnon avait avoué (par gaffe) à l'assistante sociale de l'ADDPJ que mon fils n'a pas été le seul à parler. 3 autres enfants s'étaient plaint du même homme dont une petite fille de 5 ans se plaignait d'attouchement.
Par la suite cette assistante sociale a monté un rapport contre moi destiné au juge pour me retirer mon fils, en marquant dedans qu'elle avait contacté la puéricultrice de la PMI, qui lui a divulgué des informations à mon sujet (fausses évidemment, et quand bien même elles auraient été vraies, il y a non respect du secret professionnel). En voulant couvrir la puéricultrice, l'assistante sociale à fait elle aussi une bourde en l'écrivant dans ce rapport. A aucun moment il n'est dit dans ce rapport que mon fils est en danger chez son père, que sa belle mère est suivi psychiatriquement et reconnue travailleuse handicapée pour accès de violence, que le beau frère est attardé mental avec troubles associés violents, et que son père forçait mon fils à dormir dans le même lit que cet homme.
Par contre, il est bien noté que je suis une menteuse, parano et quérulente et que mon fils est en danger avec moi, parce que je lui mets soit disant des choses malsaines en tête. L'assistante sociale de l'ADDPJ a même transformé les propos de la maîtresse de mon fils, qui a été outrée quand je lui ai lu. Malgré toutes les preuves que j'apporte qui sont indéniables, les services sociaux continuent à essayer de me faire taire en voulant me retirer mon fils.
Dernièrement la maman d'un petit dont j'avais défendu le cas est montée au créneau. En effet son fils, alors âgé de 3 ans (il en a 12 aujourd'hui) a été maltraité par sa grand mère paternelle elle même assistante maternelle qui lui a fait mangé ses matières fécales en le piquant à coups de fourchette. Pour qu'elle se taise son mari la frappait, elle a d'ailleurs un genou abimé (radio à l'appui). Quand elle a été au courant de mon histoire elle a aussitôt pris ma défense en traitant les services sociaux d'incompétents. Eux même au courant de l'histoire de son fils, ils n'ont rien fait pour protéger l'enfant (qui depuis 8 ans est traumatisé) mais en plus n'ont jamais sanctionné la grand mère assistante maternelle qui maltraite les enfants au su et au vu de tout le monde et des services sociaux y compris. Fin août cette maman, a quand même reçu un courrier des services sociaux, 8 ans après les faits, lui disant qu'une enquête sociale allait être faite.
Donc après avoir mis à jour tous ces dysfonctionnements et ces fautes professionnelles, les services sociaux ont tout fait pour qu'on me retire la garde de mon fils. J'ajoute que j'ai énormément de preuves et des témoins. Tout cela ne sort pas de mon imagination. Pour le moment j'ai encore mon fils avec moi mais pour combien de temps encore ? Lui aussi a parlé mais les services sociaux n'ont pas voulu l'écouter.
Me traitant donc de quérulente, je ne peux en aucun cas déposé plainte contre quiconque. Qui plus est, je suis une femme et la police se contre fout royalement que je me fasse harceler par mon ex (qui m'a menacé de mort devant témoins et par écrit), et la puissante machine administrative ne cherche qu'a me faire taire coûte que coûte. Les services sociaux qui utilisent mon fils de 6 ans comme bouclier pour cacher leurs fautes professionnelles.
Je précise que la belle famille de mon ex compagnon est une famille de cas sociaux suivis pour troubles du comportement, mon ex compagnon a déjà été condamné plus jeune pour vandalisme, c'est un rebelle de la société, hyper procédurier.
De mon côté, en toute objectivité mon compagnon actuel n'est pas un cas social, il est enseignant et chercheur. Quant à moi je suis quelqu'un de tranquille gérante de SCI dont la bataille depuis 10 ans est la lutte contre la maltraitance. J'ai un peu trop parlé de choses qui dérangent et on me le fait payer.
Voilà mon histoire qui est digne de la mafia. J'ai honte de voir que des travailleurs sociaux de la protection de l'enfance puissent être complices de ce genre de pratique.
Je fais aussi partie d'une famille de travailleurs sociaux d'un autre département (Conseillers ESF, éduc etc...) qui sont tout simplement outré par de telles pratiques de certains de leurs collègues.
C'est tout simplement scandaleux.
Le début de l'histoire est très basique, c'est une relation très mauvaise entre mon ex compagnon et moi même. Mais la fin c'est digne “du parrain”.
Dans la vie j'étais assistante maternelle agréée. J'ai donc travaillé quelques années pour le compte des services sociaux. Quand mon ex compagnon est parti (pour 3 maîtresses) il a essayé d'obtenir la garde de notre fils, ce qui lui a été refusé le 10/07/07, justement grâce à mon métier. Ce même jour il a donc appelé ma puéricultrice de référence à la PMI (Protection maternelle et infantile) pour une dénonciation calomnieuse. Le motif :le désordre de ma maison.
J'ai donc été enquêtée le 16/07/07. J'étais pourtant en vacances donc hors de tout cadre professionnel. J'avais profité de l'absence des enfants et de mes 2 mois de congés pour entamer de lourds travaux dans ma maison (la terrasse de mon jardin ainsi qu'un dressing dans ma chambre). Effectivement quand la puéricultrice est passée avec une collègue assistante sociale, ma maison était en désordre puisque j'étais en travaux. Ca leur a suffit pour conclure que j'étais sans hygiène puisque je n'avais pas fait le ménage dans les endroits en travaux. Elles ont même inventé un interrupteur recouvert de matière fécale dans mes toilettes alors que je n'ai pas d'interrupteur dans cette pièce mais un allumage automatique à l'ouverture de la porte. Elle ont fait un rapport contre moi, omettant de préciser que j'étais en vacances et ont donc conclus que j'étais dangereuse pour les enfants (qui étaient absents).
Je précise qu'avant ça, cette puéricultrice et moi avions des relations assez mauvaises depuis que la Mission locale de ma ville m'avait demandée de créer avec eux un crèche sociale.
Elle a donc suspendu mon agrément sur le champs. Sans respecter la procédure. Pourtant elle a attesté auprès de mes employeurs que j'avais été entendu par la direction de la PMI et les syndicats (mes employeurs ont témoignés par écrits) ce qui est totalement faux. Elle a aussi menacé mes employeurs. Certains n'ont pas cédés, mais 1 à fait un faux témoignage (je nourrissais mal son fils, alors qu'il ne mangeait jamais chez moi). Elle a fait faire des faux témoignages à 2 collègues assistantes maternelles, qui ont attestés que ce n'était pas moi qui emmenais les enfants à l'école. Hors, tous les instituteurs que la PMI a refusé d'entendre sont prêts à témoigner du contraire. De plus, elles ont affirmé que c'était mon compagnon actuel qui emmenait les enfant à ma place à l'école, hors lui il est au travail à la même heure et ce, à 40 km de là et devant au moins 30 témoins (il est prof).
Quand j'ai voulu assurer ma défense et mettre en évidence ces mensonges, ça a posé un gros soucis, surtout qu'en plus j'ai ressorti des courriers dans lequel je sollicitais l'aide de cette puéricultrice pour des suspicions de maltraitance où n'est jamais intervenue. Elle a été couverte par sa hiérarchie et moi on m'a retiré mon agrément pour avoir osé dire du mal de cette femme, mais les 1ères reproches n'existaient plus (mon hygiène n'était plus mise en cause). Cependant, dans leurs courriers on note au moins 3 violations des droits de l'homme (Article 11,12 et 19)
Parallèlement, mon ex compagnon, voyant que je n'avais plus de travail, son plan fonctionnait, il a lancé une procédure de garde de notre fils et la juge a demandé une étude psychologique de nous tous, mon fils y compris, aux services sociaux judiciaires l'ADDPJ.
L'assistante sociale de l'ADDPJ ayant eu vent que j'avais un dossier compromettant contre la PMI, m'a menacé de me retirer mon fils si je portais plainte auprès du tribunal administratif contre la PMI. Le psychologue de l'ADDPJ a quant à lui menacé mon compagnon actuel pour la même chose (qui a témoigné par écrit).
Pourtant à la même époque, mon fils a été victime chez son père, par le beau frère de 23 ans, d'exhibitions. Devant ses dessins à l'école et ses propos, l'école a saisi l'inspection académique. Quand l'assistante sociale l'a su, elle a appelé la directrice de l'école et a empêché le psychologue scolaire de rencontrer mon fils, ainsi que l'assistante sociale de l'école (qui n'est autre que l'assistante sociale de mon secteur, donc celle présente le jour de ma suspension d'agrément). L'inspection académique a cependant saisi le procureur, et une enquête a été ouverte. Mon fils, alors âgé de 5 ans a été entendu et filmé. Devant ses propos, le policier m'a conseillé de porter plainte, voyant mon fils choqué.
Quand l'assistante sociale de l'ADDPJ l'a su, elle a appelé la police. L'enquête a été classée sans suite. Pourtant mon ex compagnon avait avoué (par gaffe) à l'assistante sociale de l'ADDPJ que mon fils n'a pas été le seul à parler. 3 autres enfants s'étaient plaint du même homme dont une petite fille de 5 ans se plaignait d'attouchement.
Par la suite cette assistante sociale a monté un rapport contre moi destiné au juge pour me retirer mon fils, en marquant dedans qu'elle avait contacté la puéricultrice de la PMI, qui lui a divulgué des informations à mon sujet (fausses évidemment, et quand bien même elles auraient été vraies, il y a non respect du secret professionnel). En voulant couvrir la puéricultrice, l'assistante sociale à fait elle aussi une bourde en l'écrivant dans ce rapport. A aucun moment il n'est dit dans ce rapport que mon fils est en danger chez son père, que sa belle mère est suivi psychiatriquement et reconnue travailleuse handicapée pour accès de violence, que le beau frère est attardé mental avec troubles associés violents, et que son père forçait mon fils à dormir dans le même lit que cet homme.
Par contre, il est bien noté que je suis une menteuse, parano et quérulente et que mon fils est en danger avec moi, parce que je lui mets soit disant des choses malsaines en tête. L'assistante sociale de l'ADDPJ a même transformé les propos de la maîtresse de mon fils, qui a été outrée quand je lui ai lu. Malgré toutes les preuves que j'apporte qui sont indéniables, les services sociaux continuent à essayer de me faire taire en voulant me retirer mon fils.
Dernièrement la maman d'un petit dont j'avais défendu le cas est montée au créneau. En effet son fils, alors âgé de 3 ans (il en a 12 aujourd'hui) a été maltraité par sa grand mère paternelle elle même assistante maternelle qui lui a fait mangé ses matières fécales en le piquant à coups de fourchette. Pour qu'elle se taise son mari la frappait, elle a d'ailleurs un genou abimé (radio à l'appui). Quand elle a été au courant de mon histoire elle a aussitôt pris ma défense en traitant les services sociaux d'incompétents. Eux même au courant de l'histoire de son fils, ils n'ont rien fait pour protéger l'enfant (qui depuis 8 ans est traumatisé) mais en plus n'ont jamais sanctionné la grand mère assistante maternelle qui maltraite les enfants au su et au vu de tout le monde et des services sociaux y compris. Fin août cette maman, a quand même reçu un courrier des services sociaux, 8 ans après les faits, lui disant qu'une enquête sociale allait être faite.
Donc après avoir mis à jour tous ces dysfonctionnements et ces fautes professionnelles, les services sociaux ont tout fait pour qu'on me retire la garde de mon fils. J'ajoute que j'ai énormément de preuves et des témoins. Tout cela ne sort pas de mon imagination. Pour le moment j'ai encore mon fils avec moi mais pour combien de temps encore ? Lui aussi a parlé mais les services sociaux n'ont pas voulu l'écouter.
Me traitant donc de quérulente, je ne peux en aucun cas déposé plainte contre quiconque. Qui plus est, je suis une femme et la police se contre fout royalement que je me fasse harceler par mon ex (qui m'a menacé de mort devant témoins et par écrit), et la puissante machine administrative ne cherche qu'a me faire taire coûte que coûte. Les services sociaux qui utilisent mon fils de 6 ans comme bouclier pour cacher leurs fautes professionnelles.
Je précise que la belle famille de mon ex compagnon est une famille de cas sociaux suivis pour troubles du comportement, mon ex compagnon a déjà été condamné plus jeune pour vandalisme, c'est un rebelle de la société, hyper procédurier.
De mon côté, en toute objectivité mon compagnon actuel n'est pas un cas social, il est enseignant et chercheur. Quant à moi je suis quelqu'un de tranquille gérante de SCI dont la bataille depuis 10 ans est la lutte contre la maltraitance. J'ai un peu trop parlé de choses qui dérangent et on me le fait payer.
Voilà mon histoire qui est digne de la mafia. J'ai honte de voir que des travailleurs sociaux de la protection de l'enfance puissent être complices de ce genre de pratique.
Je fais aussi partie d'une famille de travailleurs sociaux d'un autre département (Conseillers ESF, éduc etc...) qui sont tout simplement outré par de telles pratiques de certains de leurs collègues.
C'est tout simplement scandaleux.