Continuer de travailler en souffrant d'une douloureuse maladie chronique
Publié : 19 oct. 2014 11:50
Bonjour,
Je suis conseillère en économie sociale et familiale de formation, actuellement déléguée à la protection des majeurs ( tutelles, curatelles)au sein d'une association.
J'adore mon métier. Je suis dans le secteur du social depuis mes 18 ans, j'en ai 31 ans et j'ai des projets plein la tête, notamment de devenir cadre ( caferuis) d'ici une dizaine/ quinzaine d'années.
Après 5 années de souffrance en serrant les dents pour gérer le quotidien avec la présence d'un étayage important de la part de mon entourage, mon médecin pense que je souffre d'une maladie chronique inflammatoire au niveau de la colonne vertébrale, ce qui me cause des douleurs insupportables. Certains jours, je ne peux même pas poser un pied par terre, ni même me laver ou faire quoi que ce soit comme tenir un téléphone.
Je suis en arrêt depuis une semaine et pour une longue semaine encore, car là, même en serrant les dents, je n'en pouvais vraiment plus.
Depuis, ma vie est une sorte de "non vie" à attendre de moins souffrir pour retrouver une liberté de mouvement satisfaisante.Avec l'idée qu'au mieux j'aurai mal de manière supportable tout le reste de mon existence et qu'au pire,lors des poussées, je ne serai même plus capable de me lever.
Est-ce que certains d'entre vous peuvent témoigner d'un parcours professionnel en lien avec une maladie chronique et de la manière dont ils ont réagis ainsi que leur entourage pro?
Je suis très inquiète. Je suis torturée entre respecter une certaine éthique ( si ça continue ainsi, je devrais laisser tomber ma carrière ce qui parait juste pour les personnes que j'aide, j'ai très peur d'être diminuée de manière régulière)et continuer d'exercer ma passion, avec l'espoir que j'arriverai à gérer la douleur provoquée par mes crises de rhumatismes.
J'ai prévenue ma directrice et mes collègues par souci de transparence. Quid de la signature d'un CDI d'ici la fin d'année comme me l'avait promis ma direction avec cette nouvelle donne?
Des examens complémentaires sont à venir et pour l'instant aucun traitement ne me soulage.
Merci d'avance pour vos réponses.
Je suis conseillère en économie sociale et familiale de formation, actuellement déléguée à la protection des majeurs ( tutelles, curatelles)au sein d'une association.
J'adore mon métier. Je suis dans le secteur du social depuis mes 18 ans, j'en ai 31 ans et j'ai des projets plein la tête, notamment de devenir cadre ( caferuis) d'ici une dizaine/ quinzaine d'années.
Après 5 années de souffrance en serrant les dents pour gérer le quotidien avec la présence d'un étayage important de la part de mon entourage, mon médecin pense que je souffre d'une maladie chronique inflammatoire au niveau de la colonne vertébrale, ce qui me cause des douleurs insupportables. Certains jours, je ne peux même pas poser un pied par terre, ni même me laver ou faire quoi que ce soit comme tenir un téléphone.
Je suis en arrêt depuis une semaine et pour une longue semaine encore, car là, même en serrant les dents, je n'en pouvais vraiment plus.
Depuis, ma vie est une sorte de "non vie" à attendre de moins souffrir pour retrouver une liberté de mouvement satisfaisante.Avec l'idée qu'au mieux j'aurai mal de manière supportable tout le reste de mon existence et qu'au pire,lors des poussées, je ne serai même plus capable de me lever.
Est-ce que certains d'entre vous peuvent témoigner d'un parcours professionnel en lien avec une maladie chronique et de la manière dont ils ont réagis ainsi que leur entourage pro?
Je suis très inquiète. Je suis torturée entre respecter une certaine éthique ( si ça continue ainsi, je devrais laisser tomber ma carrière ce qui parait juste pour les personnes que j'aide, j'ai très peur d'être diminuée de manière régulière)et continuer d'exercer ma passion, avec l'espoir que j'arriverai à gérer la douleur provoquée par mes crises de rhumatismes.
J'ai prévenue ma directrice et mes collègues par souci de transparence. Quid de la signature d'un CDI d'ici la fin d'année comme me l'avait promis ma direction avec cette nouvelle donne?
Des examens complémentaires sont à venir et pour l'instant aucun traitement ne me soulage.
Merci d'avance pour vos réponses.