Je travaille depuis de nombreuses années auprès de différents publics.
Aujourd'hui je m'intérroge sur une question bien particulière.
Comment "être" et "se vivre" ADULTE quand on est MAJEUR PROTEGE?
Comment faites-vous concrêtement dans votre pratique pour traiter ces déficients intellectuels en tant qu'adultes?
Utopie?
Réalité?
Bonne conscience de l'éducateur?
Et dans les faits ? Ca donne quoi? Sexualité? Accompagnements divers? Besoin de l'accord de la famille pour la moindre décision?
ETC.........
Je crois que c'est une question très importante et qu'il faut prendre le temps de s'intérroger...
Alors j'espère que ce sujet nourrira les passions.
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Moi Léa, 40 ans, déficiente intellectuelle, 6 ans d'âge mental: Suis-je adulte?
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sarah
Re: Moi Léa, 40 ans, déficiente intellectuelle, 6 ans d'âge mental: Suis-je adulte?
Merci pour vos réponses.
Elles m'aident beaucoup dans mon questionnement...
Elles m'aident beaucoup dans mon questionnement...
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jean
Re: Moi Léa, 40 ans, déficiente intellectuelle, 6 ans d'âge mental: Suis-je adulte?
peux on les considérer comme adulte dans la mesure ou ils sont sous tutelle comme des"mineur à protéger"?
leur difficience existe?, elle ne peut être niée? au risque de le mettre en danger.
peuvent ils prétendre à une vie "normale"
est-ce possible? c'est au cas par cas qu'il faut poser le problème est accepter de prendre ou de permettre à l'autre de prendre une risque de vivre autrememt que comme un handicapé.
j'ai une fille handicapé et cela peut etre préoccupant mais la pensé chemine avec l'évolution de l'autre dans la mesure ou on le reconnait tel qu'il est et non tel qu'on aimerait qu'il soit.
leur difficience existe?, elle ne peut être niée? au risque de le mettre en danger.
peuvent ils prétendre à une vie "normale"
est-ce possible? c'est au cas par cas qu'il faut poser le problème est accepter de prendre ou de permettre à l'autre de prendre une risque de vivre autrememt que comme un handicapé.
j'ai une fille handicapé et cela peut etre préoccupant mais la pensé chemine avec l'évolution de l'autre dans la mesure ou on le reconnait tel qu'il est et non tel qu'on aimerait qu'il soit.