Mémoire Suicide des personnes âgées
Publié : 22 sept. 2004 23:38
Salut à tous,
Je suis preneur de tout fichiers pdf, doc, ou informations en tout genre sur le sujet suivant.
Lionel (Mulhouse)
Je souhaite approfondir la question du suicide des personnes âgées, et de la nécessité d'un accompagnement par des travailleurs sociaux de la personne âgée et de son entourage (famille ou professionnel)après une tentative de suicide.
En effet, après un passage aux urgences, puis un détour en géronto-psy, c'est souvent le retour à domicile et l'angoisse que celà puisse se reproduire.
Peut-on éviter la récidive par un suivi qui prend en compte la personne dans sa globalité, et non pas seulement d'un point de vue médical ? La TS est un mal de vivre qu'on peut empécher en libérant la parole de l'autre. Faut-il encore que les proches, aussi bien de la famille que les professionnels de santé ou AVS, puissent être l'écoute de ces cris sourds de détresse.
Il faudrait former, informer, maintenir le réseau autour des personnes âgées sur cette question fondamentale de l'attachement à la vie. Il s'agit enfin de comprendre que la crise suicidaire n'est pas la crise de vieillissement, qui elle est nécessaire pour se représenter sa propre mort. Mais à notre âge (avant 60 ans), celà est-il possible ?
En refoulant l'idée du vieillissement, ce sont les vieux eux-mêmes que nous refoulons. La société aurait-elle un avantage financier pour continuer de faire silence sur ce soi-disant "droit ultime de la liberté individuelle"...
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Lionel (Mulhouse)
Je souhaite approfondir la question du suicide des personnes âgées, et de la nécessité d'un accompagnement par des travailleurs sociaux de la personne âgée et de son entourage (famille ou professionnel)après une tentative de suicide.
En effet, après un passage aux urgences, puis un détour en géronto-psy, c'est souvent le retour à domicile et l'angoisse que celà puisse se reproduire.
Peut-on éviter la récidive par un suivi qui prend en compte la personne dans sa globalité, et non pas seulement d'un point de vue médical ? La TS est un mal de vivre qu'on peut empécher en libérant la parole de l'autre. Faut-il encore que les proches, aussi bien de la famille que les professionnels de santé ou AVS, puissent être l'écoute de ces cris sourds de détresse.
Il faudrait former, informer, maintenir le réseau autour des personnes âgées sur cette question fondamentale de l'attachement à la vie. Il s'agit enfin de comprendre que la crise suicidaire n'est pas la crise de vieillissement, qui elle est nécessaire pour se représenter sa propre mort. Mais à notre âge (avant 60 ans), celà est-il possible ?
En refoulant l'idée du vieillissement, ce sont les vieux eux-mêmes que nous refoulons. La société aurait-elle un avantage financier pour continuer de faire silence sur ce soi-disant "droit ultime de la liberté individuelle"...