Page 1 sur 1

denie de la maladie

Publié : 20 juin 2006 21:28
par s
avez vous eu de la part de la famille de vos personne l impression qu elle refusait mm l idée et faisait plus ou moins obstruction a vos alertes dans ce domaine

Re: denie de la maladie

Publié : 21 juin 2006 04:25
par marianne
Bonjour s
Pas clair ce message,c'est quoi la question exactement?
Dans la charte il est demandé d'être précis.Merci.

Re: denie de la maladie

Publié : 21 juin 2006 10:08
par sybille
par exemple la personne aidée semble avoir les troubles de la maladie d alzeihmer tu en parles a son médecin redige une ordonnance pour passer des test et examens ! la famille dit que cest l age que ca va apsser aps lieu de s inquietéer etc!! mm l infirmiere passe a coté dingue ca!!

Re: denie de la maladie

Publié : 21 juin 2006 12:20
par marianne
Bonjour Sybille

Moi je pense que si tu en as parler au médecin,tu as fait ton travail d'AVS,et c'est l'essentiel!
Après ça n'est plus de ton ressort,tant que la personne n'est pas en danger tu ne peux pas vraiment aller contre la famille.

Par contre moi ce que je trouve dingue,c'est que tu as l'air speed! On dirait que tes messages sont écrits "en courant",pas de ponctuation, pas d'apostophes et des inversions de lettres dans tes mots,Cool on n'est pas au boulot là,on discute tranquillement!

Bonne continuation.

Re: denie de la maladie

Publié : 21 juin 2006 14:45
par cosmos
Salut sybille,
Je ne comprends pas bien. Si cette personne a une ordonnance pour des tests et examens, tout va pour le mieux. Pour l'instant, on ne peux pas faire plus.
Ou alors, la famille ne fait pas suite à cette ordonnance...
Il arrive quelquefois que la famille, à l'annonce du diagnostic, est dans le déni, comme tu dis. C'est-à-dire qu'elle fait comme si elle n'entendait pas, qu'elle fait comme si cela n'était pas vrai, qu'elle occulte complétement la vérité.. C'est un passage (obligé)qui peut être quelquefois très long.
En tout cas, ce que tu peux faire, c'est insister pour que cette personne ait les soins nécessaires, insister auprès de l'IDE, du médecin.... Car de toute façon, c''est une maladie qui s'aggrave vite souvent..
Bon courage

PS : si tu peux faire un effort pour écrire avec une ponctuation, ce serait plus agréable à lire, merci....

Re: denie de la maladie

Publié : 21 juin 2006 16:09
par stella
bonjour S

Il est vrai que ton message n'est pas clair,
j'interviens chez une personne
alzeihmer, elle habite seule,
un de ses fils, n'habite pas très loin de chez elle, mais ne lui accorde qu'une demi- heure par semaine de visite.
Pour la présence et la stimulation ," c'est super"
Le prévenant à chaque changement du comportement de sa mère, il ne m'entant pas,
je tiens un cahier de transmission et n'ai jamais un seul mot de sa part ni de coup de fil.
Ayant très vite compris son invisibilité, j'informe égalemnt l'association de tous les changements que j'observe
chez sa mère. c'est le genre de personne (le fils) qui pour le moindre problème rejette la faute sur le dos de l'AVS .
J' ai part contre de bons rapports avec le médecin,
Il n'est pas facile de travailler sans l'aide de la famille.

Re: denie de la maladie

Publié : 21 juin 2006 20:38
par isa
bonsoir Sybille
moi perso les medecins et infirmières ne sont pas toujours a l'écoute ,je suis en milieu rural et les mentalités seront très longue a changer ,j'ai du mal a me positionné ,j'ai prévenu une fois le docteur d'un changement d'état sur une personne qui venait de perdre son mari ,j'ai senti (a un petit rictus sur le coin de sa bouche) qu'il n'appréciais guère mon intervention en parlant avec l'infirmière on ma demandé si j'avais fait médecine lorsque j'en ai parlé a la famille ils m'ont dit qu'il n'avait vu aucun changement (normal vu qu'elle cachait a ses enfants qu'elle ne mangeait plus ), le bureau que j'ai egalement prévenue m'ont dit " tu as bien fait " mais comme d'habitude aucun soutient , alors je dit, qu'elle est ma place dans tout ca ,et qui est dans le deni

Re: denie de la maladie

Publié : 21 juin 2006 21:43
par chantal toulouse
Chacun est libre d'accepter sa maladie ou de rester dans le déni.

Chacun est libre de se soigner ou pas.

Respectons les choix de chacun,
cela est une valeur de base dans notre métier.

C'est mon avis en tous cas.

Re: denie de la maladie

Publié : 27 juin 2006 00:08
par claclaparis
bonsoir, j'ai eu un cas similaire je travaillai pour deux personnes agées ,un couple, l'un avec parkinson l'autre avec alzeimer ,leurs etats se sont agravé assez vite surtout pour le monsieur atteint d'alzeimer.j'ai signaler a la famille que le monsieur n'allait pas bien qu'il faudrait le faire suivre , l'infirmiere envoyer par une association la remarquer aussi mais ma laisser gerer ca moi.bref la famille n'a rien voulu entendre argumentent qu'il ne pensait pas que c'etait la maladie d'alzeimer , ect... et je peux vous dire que c'est tres dure de s'occuper d'un malade d'alzeimer non suivi et que la famille ne reconnait pas....