Le Social

l'association me donne un replacement pour la période du 15/07 au 27/07
des le premier jour la personne âgée un monsieur se permets de m'embrasser sans cesse essaye de me tripoter...... au bout d'un moment je lui dit d'arrêter gentiment il continue ......... je lui dit que je dois travailler ......il s'énerve me dit de partir pour calmer le jeu je préfère interrompre l'intervention, le lendemain coup de colère de sa fille qui me traite de menteuse d'incomptétente ne veut pas me signer ma feuille de vacation
je suis profondément déçu
je permets mes heures de travail
ma responsable dit que je suis la première intervenante à me plaindre de ce monsieur .... risque de sanction merci de votre aide

Martine bonjour,

Il peut s'agir d'une personne ayant des troubles du comportement dus à une certaine pathologie, dans ce cas vous ne devriez pas être la seule à vous plaindre et cela doit être connu du médecin et de la famille.


De toutes façons, si les faits sont avérés, faites un signalement par écrit à votre employeur et demandez protection juridique.

"L’employeur doit prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs (art L4121-1).
En savoir plus sur http://www.village-justice.com/articles ... RJMAVto.99"

Défendez-vous.
Bonne journée

des risques de sanctions pour harcèlement sexuel ?
nan mais ils vont ou ? Pi si sa se passes bien avec les autres, que votre responsable mettes les autres chez lui.

Comme le dit Offaly faites une lettre avec AR a votre employeur pour signifier cela, détaillez bien ce qu'il se passes, qu'ils se rendent compte (et en mème temps demandez a ne plus aller chez lui: droit de retrait) .
dites aussi que vous allez déposer plainte contre la personne qui vous a fais sa si elle recommence et contre eux si ils vous remettes chez lui car non assistance pour personne en danger.
sa va calmer tout le monde.

Sanctions, je rêve !! mais bien sûr, ça se passe bien avec les autres!!
Lettre AR à l'employeur pour lui notifier les faits, demande de droit de retrait, et plainte sur main courante à la gendarmerie. Il faut penser aux traces écrites et la gendarmerie, cela en est une et de poids.
ça va refroidir l'asso.

bonsoir, des personnes indelicates, grivoises, voleuses(et oui!) j'en passe et des meilleures...c'est aussi mon lot quotidien et nous pouvons trouver milles excuses à ses personnes! la maladie ,la vieillesse, la désocialisation ont bon dos en ce qui me concerne je fais remonter immédiatement par oral et par ecrit je garde tjrs une photocopie et je note dans le cahier de liaison ce qui peut être lu par tous sans toutefois porter préjudice à la personne. J'appelle de mon portable ma responsable devant la personne en disant par exemple" je demande l'autorisation de quitter l'intervention car mr X ou mme y ne me semble pas avoir aujourd'hui un comportement propice à un déroulement d'intervention dans de bonne conditions et je me fiche royalement si mr ou mme n'est pas content. Il m'est arrivé de dire aussi à mon employeur que je me sentais en danger et lorsque vous parlez dangers(physique ou MORAL) à votre employeur il n'aime pas ça, car derriere plane l'ombre du CHSCT que vous pouvez saisir. Et puis quand vous creusez bien vous vous appercevez que ça ne se passe pas aussi bien avec vos collègues comme celles-ci ou votre emloyeur le laisse entendre.

Tout à fait d'accord avec toi Lydie. Souvent les faits se sont déjà produits, et personne n'a parlé, ou alors on a étouffé leurs dires.

Bonjour à toutes,

Lorsque qu’une situation d’ harcèlement sexuel a été subit et par conséquent signalé à L’ ASSOCIATION « et que celle ci fait l’autruche »
Il faut immédiatement "acter" tout ce qui s’est passé par un écrit en LRAR.
Que vous êtes intervenue chez M ….. ,date.(s) . heure d’arrivée.. départ…
Ensuite vous écrivez chronologiquement les faits :
Que suite à la mauvaise foi de la fille,( vous écrivez les faits) Vous exigez que vos interventions (Indiquez les jours et les heures,) vous soient réglés sur le bulletin de salaire du mois prochain, Sinon, vous serez contrainte de saisir le conseil des prudhommes.
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Essayez de récolter les témoignages de vos collègues qui seraient intervenues chez ce même prestataire.
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Ce qui me choque, c’est la réaction de votre ASSOCIATION de minimiser une telle gravité….,et de surcroît le risque de sanction pour vous. Mais qui sont donc ces gens là !!! N’inversons pas les rôles c’est l’association qui risque d’être sanctionnée sur l’article que Offaly a cité (art L4121-1).