AV.S.-I. en colère
Publié : 12 nov. 2008 14:12
Bonjou à tous.
Je travaille auprès d'enfants en situation de handicap depuis 4 ans et , bien que j'aime beaucoup ce que je fais, la moutarde me monte au nez.
J'ai fais une demande de V.A.E. ME et lors de la réunion d'information, la personneen charge mon dossier m'a expliqué que le "métier" d'AVS ne donne droit q'à une validation partielle du diplôme visé... Et une déception de plus!!!
J'aimerai savoir si je suis la seule à être en colère contre ce système qui a besoin de nous mais nous prend pour des guignols. Est-il normal qu'un(e) AVs touche 650 euros par mois pour 25 heures de travail alors qu'un instit un touche plus du triple? Les instits' eux-mêmes trouvent cela anormal.
A quand une réelle prise au sérieux de notre travail? Peut-on espérer une professionnalisation de l'emploi? Il faut arrêter de présenter notre fonction comme une "rampe de lancement" surtout si l'on ne peut se lancer nulle part. Je pense faire un vrai métier, un métier qui me plaît. Alors, il faudrait peut-être arrêter de nous prendre pour des bouche-trous.
Voilà. C'était un petit coup de gueule et ça fait du bien.
Je travaille auprès d'enfants en situation de handicap depuis 4 ans et , bien que j'aime beaucoup ce que je fais, la moutarde me monte au nez.
J'ai fais une demande de V.A.E. ME et lors de la réunion d'information, la personneen charge mon dossier m'a expliqué que le "métier" d'AVS ne donne droit q'à une validation partielle du diplôme visé... Et une déception de plus!!!
J'aimerai savoir si je suis la seule à être en colère contre ce système qui a besoin de nous mais nous prend pour des guignols. Est-il normal qu'un(e) AVs touche 650 euros par mois pour 25 heures de travail alors qu'un instit un touche plus du triple? Les instits' eux-mêmes trouvent cela anormal.
A quand une réelle prise au sérieux de notre travail? Peut-on espérer une professionnalisation de l'emploi? Il faut arrêter de présenter notre fonction comme une "rampe de lancement" surtout si l'on ne peut se lancer nulle part. Je pense faire un vrai métier, un métier qui me plaît. Alors, il faudrait peut-être arrêter de nous prendre pour des bouche-trous.
Voilà. C'était un petit coup de gueule et ça fait du bien.