Non assistance à personne en danger.
Publié : 05 mai 2016 08:55
Bonjour,
Voilà je fais un atelier poésie toutes les semaines. Ces derniers temps, des gamins ont déposé dans mon casier la veille, 2 écrits dont un inquiétant. Je n'en ai eu connaissance que le jour de mon atelier lorsque je mettais au propre et comme cette élève était absente, et que ces camarades paraissaient angoissés, j'ai immédiatement pris conscience de la profondeur des mots, et après discussion avec les élèves sur leurs angoisses j'ai transmis les 2 écrits très noirs à la principale. La principale veut que les élèves avouent que j'étais au courant du mal être et que j'ai fait de la rétention d'informations. Elle veut me faire avouer à moi aussi que je savais. La gamine était qu'elle pourrait se tailler les veines jusqu'à la mort, mais en fait elle est chez elle, mais elle se scarifie. Je suis convoquée lundi, la principale va me demander depuis quand j'ai l'écrit dans mon casier... ??? la veille sans doute ! Et si ça avait été une vraie tentative de suicide et non une scarification, une lettre d'adieu j'aurais pu l'empêcher sans doute. Le poids de la culpabilité est assez grand et comme personne du corps enseignant ou de sa famille n'a remarqué, elle va m'accuser de non assistance à personne en danger... déjà que je dois vivre avec sur la conscience de n'avoir rien vu.. je suis vraiment très mal.. comment vais je pouvoir me défendre pour de telles accusations et une chef d'établissement près de la retraite, très inhumaine, qui est prête à tout pour avoir raison ,versatile et bipolaire je pense ? Je pense que je ne vais pas me remettre d'accusation trop lourde. Je sais que du coup je ne serai pas renouvelée mais j'avoue que je ne comprends pas ce que j'ai fait ! Aidez moi svp
Voilà je fais un atelier poésie toutes les semaines. Ces derniers temps, des gamins ont déposé dans mon casier la veille, 2 écrits dont un inquiétant. Je n'en ai eu connaissance que le jour de mon atelier lorsque je mettais au propre et comme cette élève était absente, et que ces camarades paraissaient angoissés, j'ai immédiatement pris conscience de la profondeur des mots, et après discussion avec les élèves sur leurs angoisses j'ai transmis les 2 écrits très noirs à la principale. La principale veut que les élèves avouent que j'étais au courant du mal être et que j'ai fait de la rétention d'informations. Elle veut me faire avouer à moi aussi que je savais. La gamine était qu'elle pourrait se tailler les veines jusqu'à la mort, mais en fait elle est chez elle, mais elle se scarifie. Je suis convoquée lundi, la principale va me demander depuis quand j'ai l'écrit dans mon casier... ??? la veille sans doute ! Et si ça avait été une vraie tentative de suicide et non une scarification, une lettre d'adieu j'aurais pu l'empêcher sans doute. Le poids de la culpabilité est assez grand et comme personne du corps enseignant ou de sa famille n'a remarqué, elle va m'accuser de non assistance à personne en danger... déjà que je dois vivre avec sur la conscience de n'avoir rien vu.. je suis vraiment très mal.. comment vais je pouvoir me défendre pour de telles accusations et une chef d'établissement près de la retraite, très inhumaine, qui est prête à tout pour avoir raison ,versatile et bipolaire je pense ? Je pense que je ne vais pas me remettre d'accusation trop lourde. Je sais que du coup je ne serai pas renouvelée mais j'avoue que je ne comprends pas ce que j'ai fait ! Aidez moi svp