Réflexions sur l'épreuve de Master promo 2008-2010
Publié : 09 janv. 2010 14:44
Bonjour à toutes les éducatrices et éducateurs PJJ, et bonjour également aux formateurs et trices, directeurs et trices et autres qui liront ce post.
Je tiens ici à exprimer une fois de plus mon mécontentement concernant la (dé)formation des éduc PJJ.
Nous devions en effet passer une épreuve qui compte pour le Master Science de l'éducation que nous pourrions éventuellement (oui j'ai bien dit éventuellement, contrairement aux infirmières qui après 3 années d'études en IFSI ont réussi à obtenir le niveau Licence d'office, faut-il rappeler que l'on doit passer le concours avec un BAC+2 ????) obtenir après deux de formation.
Cette épreuve devait se dérouler à Lille puisqu'une pseudo convention aurait été signée entre l'ENPJJ et l'Université de Lille 3.
Chaque stagiaire inscrit (cela reste à vérifier) à l'Université devait donc passer un partiel d'une durée de 2 heures le vendredi 08/01/2010 de 16h30 à 18h30.
Venant de toute la France, nous avons donc eu une journée pour le transport (la journée du 07/01/2010) et bien sûr la journée du vendredi 08/01/2010. (Calculer le coût tarif SNCF aller-retourpar vous-même pour estimer le gâchis !!!)
Selon une décision discrétionnaire apparemment prise en collège de direction, les stagiaires ont perdu leur journée mémoire en ce qui concerne la semaine du 04/01 au 08/01.
Je trouve que cela est discriminant par rapport aux autres collègues qui eux ne passent pas ce Master. Ce Master je le passe dans le cadre de mon droit individuel à la formation, l'école doit tout faire pour que les règles d'équité concernant la rédaction du mémoire (qui compte pour le rang de classement, donc pour la titularisation) soient les mêmes.
Concernant l'épreuve, les conditions de passage de l'épreuve n'étaient pas réunies puisque les stagiaires n'étaient pas prévus.
Cela nous avait certes été indiqué par courrier mais cela n'avait pas été indiqué au personnel de l'Université de Lille 3 et notamment à Madame MORISSE, l'enseignante qui rédigeait les cours par correspondance.
Cette même enseignante, nous a par ailleurs dit de vive voix que tous les stagiaires PJJ n'avaient pas été inscrit au SEAD.
Certain(e)s ont refusé de passer cette épreuve dans de telles conditions (plus d'une demie-heure de retard dans le début de l'épreuve car pas de places prévues pour la PJJ), alors que d'autres stagiaires ont décidé quand bien même de passer cette épreuve.
Je ne juge pas la "décision individuelle" de ces collègues, qui n'ont peut être pas mesuré l'impact de leur choix personnel sur la décision d'autres collègues qui voulaient simplement mener une action collective pour protester contre ces conditions.
Je trouve que la politique d'ignorance institutionnelle dont a à nouveau fait preuve l'ENPJJ n'a fait que renforcé le nombrilisme de certain(e)s dans un contexte d'incertitude.
Collègues stagiaires pensez à observer vos terrains de stage et la dynamique de morcellement présente dans certaines équipes face aux restructurations sauvages.
Avez-vous envie de participer de cette politique de casse d'un service public ?
Quelles valeurs avez-vous envie de défendre et promouvoir en terme d'éducation ?
Profitez de la formation pour affirmer votre identité professionnelle !!!
Je tiens ici à exprimer une fois de plus mon mécontentement concernant la (dé)formation des éduc PJJ.
Nous devions en effet passer une épreuve qui compte pour le Master Science de l'éducation que nous pourrions éventuellement (oui j'ai bien dit éventuellement, contrairement aux infirmières qui après 3 années d'études en IFSI ont réussi à obtenir le niveau Licence d'office, faut-il rappeler que l'on doit passer le concours avec un BAC+2 ????) obtenir après deux de formation.
Cette épreuve devait se dérouler à Lille puisqu'une pseudo convention aurait été signée entre l'ENPJJ et l'Université de Lille 3.
Chaque stagiaire inscrit (cela reste à vérifier) à l'Université devait donc passer un partiel d'une durée de 2 heures le vendredi 08/01/2010 de 16h30 à 18h30.
Venant de toute la France, nous avons donc eu une journée pour le transport (la journée du 07/01/2010) et bien sûr la journée du vendredi 08/01/2010. (Calculer le coût tarif SNCF aller-retourpar vous-même pour estimer le gâchis !!!)
Selon une décision discrétionnaire apparemment prise en collège de direction, les stagiaires ont perdu leur journée mémoire en ce qui concerne la semaine du 04/01 au 08/01.
Je trouve que cela est discriminant par rapport aux autres collègues qui eux ne passent pas ce Master. Ce Master je le passe dans le cadre de mon droit individuel à la formation, l'école doit tout faire pour que les règles d'équité concernant la rédaction du mémoire (qui compte pour le rang de classement, donc pour la titularisation) soient les mêmes.
Concernant l'épreuve, les conditions de passage de l'épreuve n'étaient pas réunies puisque les stagiaires n'étaient pas prévus.
Cela nous avait certes été indiqué par courrier mais cela n'avait pas été indiqué au personnel de l'Université de Lille 3 et notamment à Madame MORISSE, l'enseignante qui rédigeait les cours par correspondance.
Cette même enseignante, nous a par ailleurs dit de vive voix que tous les stagiaires PJJ n'avaient pas été inscrit au SEAD.
Certain(e)s ont refusé de passer cette épreuve dans de telles conditions (plus d'une demie-heure de retard dans le début de l'épreuve car pas de places prévues pour la PJJ), alors que d'autres stagiaires ont décidé quand bien même de passer cette épreuve.
Je ne juge pas la "décision individuelle" de ces collègues, qui n'ont peut être pas mesuré l'impact de leur choix personnel sur la décision d'autres collègues qui voulaient simplement mener une action collective pour protester contre ces conditions.
Je trouve que la politique d'ignorance institutionnelle dont a à nouveau fait preuve l'ENPJJ n'a fait que renforcé le nombrilisme de certain(e)s dans un contexte d'incertitude.
Collègues stagiaires pensez à observer vos terrains de stage et la dynamique de morcellement présente dans certaines équipes face aux restructurations sauvages.
Avez-vous envie de participer de cette politique de casse d'un service public ?
Quelles valeurs avez-vous envie de défendre et promouvoir en terme d'éducation ?
Profitez de la formation pour affirmer votre identité professionnelle !!!