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où va t-on ?
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educateur résigné
où va t-on ?
Titulaire depuis peu, j'avoue que je suis déjà fatigué d'exercer ce métier. Le plus alarmant est que je suis plus fatigué de l'institution que des jeunes pris en charge ! Travaillant enn hébergement, on subit tous les effets négatifs de la politique du chiffre : on repmlit, on remplit sans réfléchir aux conséquences sur le groupe, sans consulter les équipes... Bref et et le pire, c'est que c'est visiblement partout difficile ...
Voilà, besoin d'exprimer un ras-le-bol certes pas nouveau mais qui conduit de plus en plus de professionnels à s'essoufler... En tous les cas, courage à vous tous, des jours meilleurs sont à espérer...
Voilà, besoin d'exprimer un ras-le-bol certes pas nouveau mais qui conduit de plus en plus de professionnels à s'essoufler... En tous les cas, courage à vous tous, des jours meilleurs sont à espérer...
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Jean-Yves
Re: où va t-on ?
Bonjour,
De l'intérêt de se syndiquer, au minimum, cela permet de ne pas se sentir seul, de confronter ses difficultés avec celles des collègues, selon le syndicat de savoir que les CIP sont encore moins bien lotis que nous et que les surveillants expriment eux aussi un mal-être (ce n'est pas pour rien que l'AP autorise l'alcool dans ses établissements).
Se résigner n'a jamais rien amené de bon...
Courage!
De l'intérêt de se syndiquer, au minimum, cela permet de ne pas se sentir seul, de confronter ses difficultés avec celles des collègues, selon le syndicat de savoir que les CIP sont encore moins bien lotis que nous et que les surveillants expriment eux aussi un mal-être (ce n'est pas pour rien que l'AP autorise l'alcool dans ses établissements).
Se résigner n'a jamais rien amené de bon...
Courage!
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Baf
Re: où va t-on ?
Pas besoin d'être syndiqué pour confronter ses difficultés avec ses collègues, non?
En même temps, moi je dis ça mais je dis rien!!!
En même temps, moi je dis ça mais je dis rien!!!
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Jean-Yves
Re: où va t-on ?
bonjour Baf,
Combien de fois as-tu eu l'occasion, en tant que professionnel de terrain, de rencontrer en même temps des collègues de ta région, voir de France, voir du Monde, hors du contrôle hiérarchique?
Bien sur, pas d'agression dans mon propos j'essayais juste de donner une piste au jeune collègue au-dessus.
Combien de fois as-tu eu l'occasion, en tant que professionnel de terrain, de rencontrer en même temps des collègues de ta région, voir de France, voir du Monde, hors du contrôle hiérarchique?
Bien sur, pas d'agression dans mon propos j'essayais juste de donner une piste au jeune collègue au-dessus.
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Franc
Re: où va t-on ?
Après 23 ans de PJJ toujours pas résigné! je suis convaincu que le malaise actuel est la conséquence de pratiques de management d'une autre époque! Je suis responsable d'un service et le bien être de mes collègues est ma priorité! Résultat tout le monde y gagne: les professionnels, les jeunes les familles. Par contre il faut savoir ranger sa mégalo au placard!
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Gobelin
Re: où va t-on ?
Ce que dis Frank est important! c'est aux directions des structures de se préoccuper du bien-être de leur équipe ! Or c'est trop peu souvent le cas... Alors c'est vrai que la résignation n'est pas une solution mais elle est largement compréhensible quand on sait comment cela se passe dans certaines structures d'hébergement.. Et je serai curieux de savoir ce qu'il en est en milieu ouvert ...
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Jean-Yves
Re: où va t-on ?
bonjour les gens,
en MO, en fonction des équipes, bien sur, tu peux te retrouver un peu seul avec tes 25 (ou plus) mesures.
Mais ça a l'avantage de l'autonomie de travailler en "free lance".
Alors il y a une balance à faire.
en MO, en fonction des équipes, bien sur, tu peux te retrouver un peu seul avec tes 25 (ou plus) mesures.
Mais ça a l'avantage de l'autonomie de travailler en "free lance".
Alors il y a une balance à faire.
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avril
Re: où va t-on ?
Coucou les pjjiens
éduc en MO, je peux te dire que ce n'est pas rose non plus, j'accumule les mesures et interventions diverses et variées ainsi que les heures sup. Malgré nos avertissements quant à un mal être grandissant, notre hiérarchie fait l'autruche et continue de charger la mule. J'aime toujours mon métier mais je n'ai pas envie d'y laisser ma peau
éduc en MO, je peux te dire que ce n'est pas rose non plus, j'accumule les mesures et interventions diverses et variées ainsi que les heures sup. Malgré nos avertissements quant à un mal être grandissant, notre hiérarchie fait l'autruche et continue de charger la mule. J'aime toujours mon métier mais je n'ai pas envie d'y laisser ma peau
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Gobelin
Re: où va t-on ?
C'est là où le bas blesse avril... la cohésion entre MO est hébergement est primordiale pour réussir un placement... Or, vous êtes soumis aux mêmes exigences quantitatives que nous... Plus le temps de connaître le jeune, d'analyser la situation, d'être disponible comme il le faudrait... et cela conduit à de plus en plus d'incompréhensions et de rancoeur entre hébergement et MO, guéguerre qui existait déjà mais qui me semble de plus en plus forte....