Module communication
Publié : 28 sept. 2016 17:43
Bonjour,
Je dois rendre mon dossier de communication, j'aimerais avoir de l'aide pour l'analyse.
Si vous avez des idées n'hesitez pas.
Merci
Introduction:
La situation de communication que j’ai choisi de développer et d’analyser, se déroule lors de la troisième semaine de mon premier stage, qui a eu lieu en clinique.
Le patient avec laquelle j’ai partager cette situation est un homme de 55 ans, il a des cheveux noir grisonnant, les yeux marrons.
Il est mince est de taille moyenne.
Je vais donc décrire cette situation de communication qui m’a interpellé, je vais l’analyser afin de comprendre mon ressenti puis mettre en avant mon questionnement.
Par respect du secret professionnelle je l’appellerais Monsieur G.
Description de la situation:
Nous sommes mercredi matin, il est 8h quand je prend mon service, je suis dans le poste de soins avec toute mes collègues aide-soignante et l’infirmière, quand le téléphone du service sonne l’infirmière décroche, elle nous informe d’une arrivé au courant de la matinée.
Elle nous demande de surveiller ce nouveau résident et de ne pas laisser sur le chariot tout produit qui pourrait contenir de l’alcool, nous ne comprenons pas tout de suite pourquoi l’infirmière nous demande cela.
Elle nous informe que Monsieur G est dépendant a l’alcool.
Nous prenons chacune nos patient(e) en charge je commence a préparer mon matériel, pour aller m‘occuper de ma première résidente lorsque j’entend l’ascenseur s’ouvrir je vois deux ambulanciers qui arrive avec un homme, je m’approche d’eux me présente a Monsieur G je lui souhaite la bienvenu dans le service et je me présente en lui disant que je suis stagiaire aide-soignante, il me regarde et me dit bonjour.
Monsieur G porte des baskets, un survêtement gris, un t-shirt noir et un gilet noir.
L’un des deux ambulanciers me donne le dossier du résident je vais le mettre dans le poste de soin et j’informe ma collègue infirmière que Monsieur G est arriver, elle va se présenter a lui est s’occupe de sont accueil.
Je récupère mon matériel est je vais m’occuper de ma première résidente.
Plus tard dans la matinée j’ai effectuer ma dernière prise en charge, je me rend vers le poste de soin, je sens une odeur de tabac .
Tout en me lavant les mains, je demande a l’infirmière si elle a senti une odeur de tabac dans le couloir elle me dit que non, par précaution nous allons vérifier dans les chambre.
Je toc au porte de plusieurs résidents, pour leur demander si tout se passe bien, j’arrive a la porte de Monsieur G je toc, a la porte pas de réponse j’entre ouvre la porte et je dit bonjour, je sens tout de suite l’odeur de tabac, j’entre et je reste sur le pas de la porte, je demande a Monsieur G et a sont voisin si tout se passe bien.
Monsieur G se tourne une cigarette a la bouche et me regarde sans jamais avoir de gêne pour sont voisin, qui est assis dans sont fauteuil silencieux.
Je hausse le ton sans me rendre compte de la portée de ma voix, qui devient très grave je lui demande s’il et contient de sont acte? Monsieur G me regarde silencieux sans jamais me répondre, il reste silencieux, il se retourne et jette sa cigarette par la fenêtre.
Lorsque je sens une main sur mon épaule, qui me calme immédiatement, je me toune et je vois ma collègue infirmière.
Avec calme, elle me conseille de descendre prendre l’air et de prendre mon temps.
Elle m’indique qu’elle va discuter avec Monsieur G, pour lui expliquer qu’il na pas le droit de fumer dans sa chambre.
Je prend l'ascenseur, je descend dehors, je m’assoie sur une chaise et je me calme, j’ai les mains qui tremble, le coeur qui bat vite, je me remémore la scène, en comprenant que le ton employé avec Monsieur G n’était pas professionnel.
Plein de question défilé dans ma tête.
Je vois un homme qui passe devant moi et s’asseoir un peu plus loin, je me lève pour remonter à mon étage quand je me tourne et voit je Monsieur G, je prend donc mon courage à deux mains et je m’approche de lui en lui demandant si je peux m’asseoir à côter de lui.
Il ne me regarde pas allume sa cigarette, me dit oui.
Je m’asseoit donc à côté de lui silencieuse, Monsieur G me regarde je le regarde a mon tour, je lui présente mes excuses pour le ton employé qui n’était pas correct.
Il me regarde et me sourit sans jamais rien dire, j’observe que Monsieur G tremble, qu’il a le bras gauche en écharpe.
Je lui demande alors si je peux lui poser une question, il me regarde tire sur sa cigarette et me dit oui.
Je lui demande pourquoi il est dans la clinique?
Il me dit qu’il est venu a la suite d’un accident de voiture il a percuter un poteau, c’est pour cela que sont bras était en écharpe, il me dit qu’il devait faire de la rééducation mes qu’à cause de son problème de dépendance il ne pouvait pas s’occuper de lui seul, on lui a donc proposer de venir en clinique pour quelque semaine.
Je reste silencieuse et Monsieur G continue de se confier à moi, il me dit qu’il a était très heureux dans sa vie, il me dit qu’il a eu une femme est deux filles, il ne les vois plus car sa femme a demander le divorce a la suite de sa dépendance, elle n’arrivait plus a le voir se détruire, il sais qu’il ne pourras revoir ses fille que lorsqu’il aura fait ce qu’il fallait pour aller mieux.
Je vois un homme en détresse, qui a tout perdu.
Je reste silencieuse a côter de lui puis je lui pose une main sur l’épaule, tout en lui fesant un léger sourire.
Nous restons silencieux quelque instant, lorsque je propose a Monsieur G de remonter a notre étage ensemble, il accepte nous remontons je le ramène a sa chambre.
Il me regarde et me dit merci tout en me sérant a la main.
Analyse:
Dans la situation décrite, c’est la seconde fois que je suis en contact avec Monsieur G.
Je n’est pas beaucoup d’information concernant ses habitudes de vie et sa situation.
La seule information que j’ai en ma possession avant d’entrer dans la chambre, c’est que Monsieur G a une dépendance.
Une fois entrer dans la chambre, je trouve Monsieur G face a la fenêtre, il avait retiré ses chaussures et portait toujours son gilet.
Il était dos à moi et à son voisin.
Celui-ci était assis dans sont fauteuil, il portait ses lunettes, ainsi que sont oxygène, il avait les bras croisé, la tête baissé, il regardait le sol.
Je demande a Monsieur G si tout se passe bien, il se tourne une cigarette à la main, j’ai perdu mon calme j’ai immédiatement vu le danger.
Avec le recul et l’échange que j’ai eu avec ma collègue infirmière, si cette situation se représenterais aujourd’hui je n’agirais pas ainsi, que ce soit en temps que stagiaire ou en temps que professionnelle de santé, il nous ai interdit de s’énerver avec un patient ou un résident.
Comment aurais-je réagit à la place de Monsieur G?
En voyant un professionnel de santé en train d’hausser le ton avec moi, j’aurais pris sa pour un manque de respect et du non professionnalisme.
Avec le recul, je me dis que je devais agir différemment, j’aurais du garder mon calme, demander a Monsieur G d’éteindre sa cigarette et de lui expliquer que fumer dans les locaux était interdit.
Lorsque que l’infirmière pose une main sur mon épaule, je me suis tournée, je les vu et elle ma regardée avec un léger sourire et m’a dit « Léa, ne t’inquiète pas je vais parler avec Monsieur G, descend prendre l’air, une fois que tu sera calmer tu remonte. »
Elle avait un voix douce est apaisante
Je les regardée à mon tour, j’ai respiré profondément et j’ai compris que le comportement que j’ai eu n’était pas correct.
Quand Monsieur G, commence a ce confier a moi sur sont mal être, il n’ose pas me regarder dans les yeux, il regarde plus souvent le sol, il reste calme, parle doucement, certaine fois il s’arrête je vois qu’il a les larmes au yeux je pose donc ma main sur l’épaule de Monsieur G, il se redresse aussitôt me regarde, je lui fait un sourire.
Des l’instant ou je suis arrivé devant la porte de Monsieur G, j’ai eu une appréhension, de voir Monsieur G du a sont problème de dépendance, j’était stresser.
J’était dans le jugement le plus complet, en temps que professionnelle nous n’avons pas a juger les patients.
Après cette situation j’ai beaucoup reparlé de cette situation avec l’infirmière, j’ai compris qu’il fallait maîtriser mes émotions.
Conclusion:
Cette situation m’a permise de remettre en question mon futur travail d’aide-soignante.
En effet suite à cette événement, j’ai éprouvée le besoin de m’interroger par rapport à mon comportement, qui ne m’a pas satisfaite.
Je pense que ma manière d’agir n’a pas était très judicieuse, ni pertinente, elle aurait pu être éviter.
J’ai appris que dans certain cas on ne peux rien dire, le mieux et de rester silencieux, de regarder la personne en face de vous, de lui sourire et d’avoir une marque d’affection pour elle.
Je dois rendre mon dossier de communication, j'aimerais avoir de l'aide pour l'analyse.
Si vous avez des idées n'hesitez pas.
Merci
Introduction:
La situation de communication que j’ai choisi de développer et d’analyser, se déroule lors de la troisième semaine de mon premier stage, qui a eu lieu en clinique.
Le patient avec laquelle j’ai partager cette situation est un homme de 55 ans, il a des cheveux noir grisonnant, les yeux marrons.
Il est mince est de taille moyenne.
Je vais donc décrire cette situation de communication qui m’a interpellé, je vais l’analyser afin de comprendre mon ressenti puis mettre en avant mon questionnement.
Par respect du secret professionnelle je l’appellerais Monsieur G.
Description de la situation:
Nous sommes mercredi matin, il est 8h quand je prend mon service, je suis dans le poste de soins avec toute mes collègues aide-soignante et l’infirmière, quand le téléphone du service sonne l’infirmière décroche, elle nous informe d’une arrivé au courant de la matinée.
Elle nous demande de surveiller ce nouveau résident et de ne pas laisser sur le chariot tout produit qui pourrait contenir de l’alcool, nous ne comprenons pas tout de suite pourquoi l’infirmière nous demande cela.
Elle nous informe que Monsieur G est dépendant a l’alcool.
Nous prenons chacune nos patient(e) en charge je commence a préparer mon matériel, pour aller m‘occuper de ma première résidente lorsque j’entend l’ascenseur s’ouvrir je vois deux ambulanciers qui arrive avec un homme, je m’approche d’eux me présente a Monsieur G je lui souhaite la bienvenu dans le service et je me présente en lui disant que je suis stagiaire aide-soignante, il me regarde et me dit bonjour.
Monsieur G porte des baskets, un survêtement gris, un t-shirt noir et un gilet noir.
L’un des deux ambulanciers me donne le dossier du résident je vais le mettre dans le poste de soin et j’informe ma collègue infirmière que Monsieur G est arriver, elle va se présenter a lui est s’occupe de sont accueil.
Je récupère mon matériel est je vais m’occuper de ma première résidente.
Plus tard dans la matinée j’ai effectuer ma dernière prise en charge, je me rend vers le poste de soin, je sens une odeur de tabac .
Tout en me lavant les mains, je demande a l’infirmière si elle a senti une odeur de tabac dans le couloir elle me dit que non, par précaution nous allons vérifier dans les chambre.
Je toc au porte de plusieurs résidents, pour leur demander si tout se passe bien, j’arrive a la porte de Monsieur G je toc, a la porte pas de réponse j’entre ouvre la porte et je dit bonjour, je sens tout de suite l’odeur de tabac, j’entre et je reste sur le pas de la porte, je demande a Monsieur G et a sont voisin si tout se passe bien.
Monsieur G se tourne une cigarette a la bouche et me regarde sans jamais avoir de gêne pour sont voisin, qui est assis dans sont fauteuil silencieux.
Je hausse le ton sans me rendre compte de la portée de ma voix, qui devient très grave je lui demande s’il et contient de sont acte? Monsieur G me regarde silencieux sans jamais me répondre, il reste silencieux, il se retourne et jette sa cigarette par la fenêtre.
Lorsque je sens une main sur mon épaule, qui me calme immédiatement, je me toune et je vois ma collègue infirmière.
Avec calme, elle me conseille de descendre prendre l’air et de prendre mon temps.
Elle m’indique qu’elle va discuter avec Monsieur G, pour lui expliquer qu’il na pas le droit de fumer dans sa chambre.
Je prend l'ascenseur, je descend dehors, je m’assoie sur une chaise et je me calme, j’ai les mains qui tremble, le coeur qui bat vite, je me remémore la scène, en comprenant que le ton employé avec Monsieur G n’était pas professionnel.
Plein de question défilé dans ma tête.
Je vois un homme qui passe devant moi et s’asseoir un peu plus loin, je me lève pour remonter à mon étage quand je me tourne et voit je Monsieur G, je prend donc mon courage à deux mains et je m’approche de lui en lui demandant si je peux m’asseoir à côter de lui.
Il ne me regarde pas allume sa cigarette, me dit oui.
Je m’asseoit donc à côté de lui silencieuse, Monsieur G me regarde je le regarde a mon tour, je lui présente mes excuses pour le ton employé qui n’était pas correct.
Il me regarde et me sourit sans jamais rien dire, j’observe que Monsieur G tremble, qu’il a le bras gauche en écharpe.
Je lui demande alors si je peux lui poser une question, il me regarde tire sur sa cigarette et me dit oui.
Je lui demande pourquoi il est dans la clinique?
Il me dit qu’il est venu a la suite d’un accident de voiture il a percuter un poteau, c’est pour cela que sont bras était en écharpe, il me dit qu’il devait faire de la rééducation mes qu’à cause de son problème de dépendance il ne pouvait pas s’occuper de lui seul, on lui a donc proposer de venir en clinique pour quelque semaine.
Je reste silencieuse et Monsieur G continue de se confier à moi, il me dit qu’il a était très heureux dans sa vie, il me dit qu’il a eu une femme est deux filles, il ne les vois plus car sa femme a demander le divorce a la suite de sa dépendance, elle n’arrivait plus a le voir se détruire, il sais qu’il ne pourras revoir ses fille que lorsqu’il aura fait ce qu’il fallait pour aller mieux.
Je vois un homme en détresse, qui a tout perdu.
Je reste silencieuse a côter de lui puis je lui pose une main sur l’épaule, tout en lui fesant un léger sourire.
Nous restons silencieux quelque instant, lorsque je propose a Monsieur G de remonter a notre étage ensemble, il accepte nous remontons je le ramène a sa chambre.
Il me regarde et me dit merci tout en me sérant a la main.
Analyse:
Dans la situation décrite, c’est la seconde fois que je suis en contact avec Monsieur G.
Je n’est pas beaucoup d’information concernant ses habitudes de vie et sa situation.
La seule information que j’ai en ma possession avant d’entrer dans la chambre, c’est que Monsieur G a une dépendance.
Une fois entrer dans la chambre, je trouve Monsieur G face a la fenêtre, il avait retiré ses chaussures et portait toujours son gilet.
Il était dos à moi et à son voisin.
Celui-ci était assis dans sont fauteuil, il portait ses lunettes, ainsi que sont oxygène, il avait les bras croisé, la tête baissé, il regardait le sol.
Je demande a Monsieur G si tout se passe bien, il se tourne une cigarette à la main, j’ai perdu mon calme j’ai immédiatement vu le danger.
Avec le recul et l’échange que j’ai eu avec ma collègue infirmière, si cette situation se représenterais aujourd’hui je n’agirais pas ainsi, que ce soit en temps que stagiaire ou en temps que professionnelle de santé, il nous ai interdit de s’énerver avec un patient ou un résident.
Comment aurais-je réagit à la place de Monsieur G?
En voyant un professionnel de santé en train d’hausser le ton avec moi, j’aurais pris sa pour un manque de respect et du non professionnalisme.
Avec le recul, je me dis que je devais agir différemment, j’aurais du garder mon calme, demander a Monsieur G d’éteindre sa cigarette et de lui expliquer que fumer dans les locaux était interdit.
Lorsque que l’infirmière pose une main sur mon épaule, je me suis tournée, je les vu et elle ma regardée avec un léger sourire et m’a dit « Léa, ne t’inquiète pas je vais parler avec Monsieur G, descend prendre l’air, une fois que tu sera calmer tu remonte. »
Elle avait un voix douce est apaisante
Je les regardée à mon tour, j’ai respiré profondément et j’ai compris que le comportement que j’ai eu n’était pas correct.
Quand Monsieur G, commence a ce confier a moi sur sont mal être, il n’ose pas me regarder dans les yeux, il regarde plus souvent le sol, il reste calme, parle doucement, certaine fois il s’arrête je vois qu’il a les larmes au yeux je pose donc ma main sur l’épaule de Monsieur G, il se redresse aussitôt me regarde, je lui fait un sourire.
Des l’instant ou je suis arrivé devant la porte de Monsieur G, j’ai eu une appréhension, de voir Monsieur G du a sont problème de dépendance, j’était stresser.
J’était dans le jugement le plus complet, en temps que professionnelle nous n’avons pas a juger les patients.
Après cette situation j’ai beaucoup reparlé de cette situation avec l’infirmière, j’ai compris qu’il fallait maîtriser mes émotions.
Conclusion:
Cette situation m’a permise de remettre en question mon futur travail d’aide-soignante.
En effet suite à cette événement, j’ai éprouvée le besoin de m’interroger par rapport à mon comportement, qui ne m’a pas satisfaite.
Je pense que ma manière d’agir n’a pas était très judicieuse, ni pertinente, elle aurait pu être éviter.
J’ai appris que dans certain cas on ne peux rien dire, le mieux et de rester silencieux, de regarder la personne en face de vous, de lui sourire et d’avoir une marque d’affection pour elle.