demandeur d'asile
Publié : 26 oct. 2004 16:03
Bonjour,
Actuellement en stage de deuxième année d'assistante sociale en polyvalence de secteur, j'ai une situation difficile à régler.
Il s'agit d'une femme de nationalité Yvoirienne sur le territoire français depuis mai 02 et arrivée avec un visa touristique de 3 mois.A sa date d'expiration, cette femme n'a fait aucune démarche pour régulariser ses papiers (réfugié, demandeur d'asile, etc.)dans les délais légaux, càd 2 mois.
En juillet 03, elle accouche d'un enfant né donc sur notre territoire mais pas de nationalité française (de père Yvoirien).
Aujourd'hui la situation est la suivante: pas de régularisation possible pour cette femme mais pas non plus d'expulsion envisageable du fait qu'elle soit mère d'un enfant né sur le territoire français. Un statut donc de "no man's land": placement en structure d'accueil (elle se sépare du père de son enfant suite à des violences)impossible car pas en situation régulière, aucune aide possible en terme de secours financiers, etc. Pourtant l'urgence est là.
Ce message s'adresse donc à tous les professionnels : que faire dans une telle situation?
Actuellement en stage de deuxième année d'assistante sociale en polyvalence de secteur, j'ai une situation difficile à régler.
Il s'agit d'une femme de nationalité Yvoirienne sur le territoire français depuis mai 02 et arrivée avec un visa touristique de 3 mois.A sa date d'expiration, cette femme n'a fait aucune démarche pour régulariser ses papiers (réfugié, demandeur d'asile, etc.)dans les délais légaux, càd 2 mois.
En juillet 03, elle accouche d'un enfant né donc sur notre territoire mais pas de nationalité française (de père Yvoirien).
Aujourd'hui la situation est la suivante: pas de régularisation possible pour cette femme mais pas non plus d'expulsion envisageable du fait qu'elle soit mère d'un enfant né sur le territoire français. Un statut donc de "no man's land": placement en structure d'accueil (elle se sépare du père de son enfant suite à des violences)impossible car pas en situation régulière, aucune aide possible en terme de secours financiers, etc. Pourtant l'urgence est là.
Ce message s'adresse donc à tous les professionnels : que faire dans une telle situation?