Bonjour,
Je recherhe l'ouvrage de C DUQUESNE : journal d'une assitante sociale chez syros.
Si vous le vendez, vous pouvez me contacter par mail pour convenir des conditions.
Merci !!!
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recherche "journal d'une assistante sociale"
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Muriel Schmidt
Re: recherche
Bonjour,
Je possède "Journal d'une AS" dans une vieille édition et pas en très bon état (acheté dans une brocante) et si vous ne l'avez pas trouvé par ailleurs, je vous le cède gracieusement.
Si vous êtes intéressée, communiquez-moi votre adresse afin que je vous le fasse parvenir par courrier.
muriel schmidt
Je possède "Journal d'une AS" dans une vieille édition et pas en très bon état (acheté dans une brocante) et si vous ne l'avez pas trouvé par ailleurs, je vous le cède gracieusement.
Si vous êtes intéressée, communiquez-moi votre adresse afin que je vous le fasse parvenir par courrier.
muriel schmidt
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ad
Re: recherche
Il est épuisé chez l'éditeur. J'avais réussi à me le procurer par la bibliothèque. Toutes les biblio de France communiquent entre elles et se pretent des livres. C'est comme ça que j'ai pu le lire. Renseigne toi... A+
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carine
Re: recherche
Je vous remercie de votre offre Muriel et je serais intéressée, est-ce qu'il s'agit bien de l'ouvrage écrit par Colette DUQUESNE ?
Parce qu'il existe un ouvrage plus ancien du même titre datant de 1971 mais écrit par Fanny Deschamps. Merci ad pour le conseil, je ne savais pas...
à bientôt
Chantal
Parce qu'il existe un ouvrage plus ancien du même titre datant de 1971 mais écrit par Fanny Deschamps. Merci ad pour le conseil, je ne savais pas...
à bientôt
Chantal
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val
Re: recherche
bonjour,
j'ai lu le journal d'une assistante sociale, ecrit par fanny deschamp, qui raconte la vie d'une ass, ce livre a été écrit dans les années 7O il est interressant, mais démondé, le RMI n'existait pas et le language est choquant, dans les années 70 on ne disait pas une "personnes ayant une deficience mentale" mais un "débile".Ce livre révèle le coté difficile du métier, mais peut donner certaines causes de la précarité et du climat social d'aujourd'hui.
val
j'ai lu le journal d'une assistante sociale, ecrit par fanny deschamp, qui raconte la vie d'une ass, ce livre a été écrit dans les années 7O il est interressant, mais démondé, le RMI n'existait pas et le language est choquant, dans les années 70 on ne disait pas une "personnes ayant une deficience mentale" mais un "débile".Ce livre révèle le coté difficile du métier, mais peut donner certaines causes de la précarité et du climat social d'aujourd'hui.
val
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fred
Re: recherche
>val
si je peux me permettre une remarque, je trouve au contraire que ce sont les termes comme "non-voyant", "déficience mentale", "personnes à mobilité réduite"... qui sont les plus choquants. Débile n'est pas une insulte mais un terme médical signifiant faible.
Le jugement que nous portons sur ces personnes n'est pas dans le nom que nous leur donnons mais dans notre tête. Remplacer le mot handicapé par celui de "personne à besoins spécifiques" (expression lue récemment dans une gare RATP, quelle trouvaille!) ne lui rendra pas ses jambes! Utiliser ces paraphrases me paraît hypocrite.
Je conçois parfaitement que des mots comme débile nous interpellent aujourd'hui, en particulier dans un livre, mais je trouve qu'il faudrait les réhabiliter plutôt que de regarder de travers ceux qui refusent de parler de déficience et de spécificité... Ce sont rarement ceux qui emploient ces mots qui sont le plus sensibles au problème. C'est au contraire un moyen pour eux de cacher un problème qui les gêne, les met mal à l'aise.
si je peux me permettre une remarque, je trouve au contraire que ce sont les termes comme "non-voyant", "déficience mentale", "personnes à mobilité réduite"... qui sont les plus choquants. Débile n'est pas une insulte mais un terme médical signifiant faible.
Le jugement que nous portons sur ces personnes n'est pas dans le nom que nous leur donnons mais dans notre tête. Remplacer le mot handicapé par celui de "personne à besoins spécifiques" (expression lue récemment dans une gare RATP, quelle trouvaille!) ne lui rendra pas ses jambes! Utiliser ces paraphrases me paraît hypocrite.
Je conçois parfaitement que des mots comme débile nous interpellent aujourd'hui, en particulier dans un livre, mais je trouve qu'il faudrait les réhabiliter plutôt que de regarder de travers ceux qui refusent de parler de déficience et de spécificité... Ce sont rarement ceux qui emploient ces mots qui sont le plus sensibles au problème. C'est au contraire un moyen pour eux de cacher un problème qui les gêne, les met mal à l'aise.