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La violence physique: quelles réponses?
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kreyol
Re: La violence physique: quelles réponses?
salut, apres une semaine de stage dans une MEC je fus déja interpelé par cette violence . pourrais tu me faire parvenir également les noms de quelques bouquins à lire à cet e mail gastonmobil@orange.fr , merci
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Alain REICHER
Re: La violence physique: quelles réponses?
Bonsoir, voici mon adresse Email, ci dessus ....
Merci de votre contact ...
Salutations ALAIN REICHER
Merci de votre contact ...
Salutations ALAIN REICHER
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Alain REICHER
Re: La violence physique: quelles réponses?
Bonsoir, oui effectivement, pourquoi ne pas prendre contact ... surtout que notre Histoire, dans cette galère, est aussi significative, ne reposant que sur un seul constat d'echecs... Effectivement, je me rappelle d'un nommé, Jean Michel, je pense au nom de HANNAR, je ne suis pas sur de l'orthographe ... Mais j'ai encore le visage en tête... Je me rappelle avoir été dans le même Groupe que vous, si vous êtes cette personne (de Septembre 1984 à fin Juillet 1985 Educatrice : Madame Ghislaine ALEXIS - TRES AGRESSIVE et toujours avec la main leste)...
Pour me construire, il m'a fallu un temps d'adaptation, j'ai passé un premier diplome, en juin 1986 (Certificat de Formation Générale), j'ai obtenu ensuite un C. A. P. ESAC - B. E. P. CAS, en juin 1991, pour terminer par un Baccalauréat Professionnel "Commerce et Services", en juin 1994... Ces Formations professionnelles ont été acquises par une volonté de s'en sortir, animer par une ambition, qui a toujours été présente...
Dans les I. M. E., on ne sait que vous dire une seule, vous êtes nuls puisque vous êtes handicapés et si vous êtes handicapés, vous êtes incapables de vous intégrer à la Société et dans le monde du travail, c'est un mensonge...
Pourquoi penser à se construire d'autrs le feront pour Vous, avec une place de choix en C. A. T., arrivé à la majorité, en effectuant des taches plus débiles les unes que les autres ... Là n'était pas l'objectif fixé par moi mmême, faire et me taire... Tout cela que dépend d'un tel constat d'echec... On aurait tant a dire, mais, comment resumer ce qui c'est réellement passé ???
Entre autre, Je suis tout à fait d'accord pour prendre contact avec Vous et faire le point de nos deux expériences passées...
Vous pouvez me contacter sur mon adresse mail et d'autres peuvent le faire aussi, je serai ravi de répondre à chacun :
alain_75013@msn.com
Merci de votre Message, Jean-Michel
Salutations Amicales
ALAIN REICHER
PS : Désoler de ne repondre que maintenant mais il vaut mieux tard ou jamais ....
Pour me construire, il m'a fallu un temps d'adaptation, j'ai passé un premier diplome, en juin 1986 (Certificat de Formation Générale), j'ai obtenu ensuite un C. A. P. ESAC - B. E. P. CAS, en juin 1991, pour terminer par un Baccalauréat Professionnel "Commerce et Services", en juin 1994... Ces Formations professionnelles ont été acquises par une volonté de s'en sortir, animer par une ambition, qui a toujours été présente...
Dans les I. M. E., on ne sait que vous dire une seule, vous êtes nuls puisque vous êtes handicapés et si vous êtes handicapés, vous êtes incapables de vous intégrer à la Société et dans le monde du travail, c'est un mensonge...
Pourquoi penser à se construire d'autrs le feront pour Vous, avec une place de choix en C. A. T., arrivé à la majorité, en effectuant des taches plus débiles les unes que les autres ... Là n'était pas l'objectif fixé par moi mmême, faire et me taire... Tout cela que dépend d'un tel constat d'echec... On aurait tant a dire, mais, comment resumer ce qui c'est réellement passé ???
Entre autre, Je suis tout à fait d'accord pour prendre contact avec Vous et faire le point de nos deux expériences passées...
Vous pouvez me contacter sur mon adresse mail et d'autres peuvent le faire aussi, je serai ravi de répondre à chacun :
alain_75013@msn.com
Merci de votre Message, Jean-Michel
Salutations Amicales
ALAIN REICHER
PS : Désoler de ne repondre que maintenant mais il vaut mieux tard ou jamais ....
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Alain REICHER
Re: La violence physique: quelles réponses?
Bien Cher Farid,
Excusez tout d'abord ce retard, concernant cette reponse ... J'ai pris connaissance de votre témoignage, c'est amusant, que plus de 20 ans après les phrases et les mauvaises actions sont les mêmes, je parle pour les internés...
En ce qui concerne, les personnes, qui font leur travail correctement et respectueux de chacun, et facile à comprendre, dont on sait qu'il n'est pas toujours facile, comme votre Amie et Vous Meme, on ne peut etre qu'ADMIRATIF... de votre conscience personnelle et professionnelle à Vous impliquer... Je ne comprends toujours pas les pressions, que peuvent faire subir, une certaine Hièrarchie, que j'appelle des PETITS, Petite Ambition, petit plan de carrière, petite vie minable... Ces gens là s'imaginent avoir du pouvoir, et ils n'ont rien, absolument rien... Hormis, une chose, leur incompétence et leur Bêtise (Justement, je parle d'une de ces personnes, dans le contact établi précédement, que j'ai avec J, reparlait de cette femme ne lui ferait que trop d'honneurs, elle a les atouts d'une femme, sans avoir les attributs nobles. Je me souviens elle avait une petite fille, je pose simplement la question, aurait elle accepté, qu'une personne étrangére, hors de son cercle familiale, léve la main dessus ? Je ne pense pas ... qu'elle aurait accepter ce cas de figure... Mais ce cas là n'était pas unique, idem pour l'infirmière du Centre, Madame M C, qui je le pense, ne doit plus exercer au sein de l'IME (Actuellement EPARS depuis 1987), la non plus aucun réconfort, et la même violence dans les actes, que dans les mots, un éducateur en chef d'atelier, Monsieur D M, la première semaine que je suis arrivé au Centre, m'a giflé à plusieurs reprises parce que je ne savais monter un mur droit en atelier maçonnerie, je suis désolé beaucoup de gens ne sont pas tous manuels, je vous passe aussi les brimades, qui sont monnaie courante, en interne dans les lieux...).
En conséquence, je vous admire d'avoir la force de caractére aussi de témoigner que cette violence peut se faire aussi entre collègues, voir par la voie hièrarchique... J'appelle cela, une LEPENISATION du système, mais il ne faut oublier que la roue tourne, que l'agneau peut aussi se transformer en loup et ainsi devenir plus dangereux... Je me permets un conseil, RESISTER... votre capitulation ne serait qu'aller dans leur propre sens ... Il y a temps de chose a faire ... tant d'internés a aider... Je sais que cela n'est que des mots, mais accrocher VOUS...
En attendant de vos Nouvelles
Salutations Bien Sincères
ALAIN REICHER
Excusez tout d'abord ce retard, concernant cette reponse ... J'ai pris connaissance de votre témoignage, c'est amusant, que plus de 20 ans après les phrases et les mauvaises actions sont les mêmes, je parle pour les internés...
En ce qui concerne, les personnes, qui font leur travail correctement et respectueux de chacun, et facile à comprendre, dont on sait qu'il n'est pas toujours facile, comme votre Amie et Vous Meme, on ne peut etre qu'ADMIRATIF... de votre conscience personnelle et professionnelle à Vous impliquer... Je ne comprends toujours pas les pressions, que peuvent faire subir, une certaine Hièrarchie, que j'appelle des PETITS, Petite Ambition, petit plan de carrière, petite vie minable... Ces gens là s'imaginent avoir du pouvoir, et ils n'ont rien, absolument rien... Hormis, une chose, leur incompétence et leur Bêtise (Justement, je parle d'une de ces personnes, dans le contact établi précédement, que j'ai avec J, reparlait de cette femme ne lui ferait que trop d'honneurs, elle a les atouts d'une femme, sans avoir les attributs nobles. Je me souviens elle avait une petite fille, je pose simplement la question, aurait elle accepté, qu'une personne étrangére, hors de son cercle familiale, léve la main dessus ? Je ne pense pas ... qu'elle aurait accepter ce cas de figure... Mais ce cas là n'était pas unique, idem pour l'infirmière du Centre, Madame M C, qui je le pense, ne doit plus exercer au sein de l'IME (Actuellement EPARS depuis 1987), la non plus aucun réconfort, et la même violence dans les actes, que dans les mots, un éducateur en chef d'atelier, Monsieur D M, la première semaine que je suis arrivé au Centre, m'a giflé à plusieurs reprises parce que je ne savais monter un mur droit en atelier maçonnerie, je suis désolé beaucoup de gens ne sont pas tous manuels, je vous passe aussi les brimades, qui sont monnaie courante, en interne dans les lieux...).
En conséquence, je vous admire d'avoir la force de caractére aussi de témoigner que cette violence peut se faire aussi entre collègues, voir par la voie hièrarchique... J'appelle cela, une LEPENISATION du système, mais il ne faut oublier que la roue tourne, que l'agneau peut aussi se transformer en loup et ainsi devenir plus dangereux... Je me permets un conseil, RESISTER... votre capitulation ne serait qu'aller dans leur propre sens ... Il y a temps de chose a faire ... tant d'internés a aider... Je sais que cela n'est que des mots, mais accrocher VOUS...
En attendant de vos Nouvelles
Salutations Bien Sincères
ALAIN REICHER
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koziel j.marc
Re: La violence physique: quelles réponses?
salut,
je suis educ de base, car je ne suis ni educ specialisé ni moniteur éducateur.
cela fait 16 ans que je bosse en internat dans une mecs.
pour te repondre,la solution tu l'as trouvera avec
l'experience quand tu auras passée des milliers
d'heure sur le terrain avec les ados!
comme on dit : un bon livre de cuisine ne calmera
pas t'as faim !
prend garde aux grand discours et aux belle paroles!
je dirai pour finir: avoir le coeur calme au centre de l'action .
see you
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farid
Re: La violence physique: quelles réponses?
merci Alain
juste merci de ton méssage qui nous a fait du bien...c'est d'ailleurs le seul méssage d'éspoir que nous ayons eu depuis quelques mois! en effet, qu'il s'agisse des diverses associations que nous avons interpellées, ou encore la justice, c'est le silence radio de toute part...mon amie a du démissionner, et l'on se retrouve dans une situation plus qu'inconfrotable, pour rester poli...en fait on est dans la merde finacierement car en démissionnant,il n' y a plus de rentrée d'argent...de plus quan mon amie se présente à des postes, les entretiens se passent bien, mais comme par hasard, peu de temps aprés on lui dit qu'elle ne correspond pas au profil du poste, alors que c'est le même type de population...il s'agit surtout d'une autre déscrimination dont elle est victime...elle a osé dénoncer des actes de maltraitance, et au lieu qu'elle soi protégée et considérée comme une vraie professionelle, elle est pointée comme la bête noire, et celle a éviter...comme on siat tous, malgrés que c'est interdit, les emplyeurs s'appellent entre eux.c'est vraiment désolant mais je me rends compte que beaucoup de professonels finissent par faire passer leur interets avant ceux des personnes qu'ils accompagnent, se plient, voire deviennent maltraiatnts soi par ignorance, négligence ou résignation a leur tour....ls ont la maison a payer, la voiture...et du coup ils cautionnent, ferment les yeux, ou pire imitent le groupe...je ne veux pas de ce social,mais ne soyons pas hypocrites aujourd'hui c'est chacun qui tente de survivre alors on est pas prets de voir des travailleurs sociaux, se lever et condamner la maltraitance...ls ont beaucoup a faire..tenter de sauver leur peau et leur petits interets...je semble amer mais, ce n'est que du realisme helas...
je pense faire un brec avec ce social, dans lequel je ne me retrouve nullement et aller à d'autres aspirations, d'autres rêves qui seront moins lourds à porter et que j'aurai choisi...
a bientot
juste merci de ton méssage qui nous a fait du bien...c'est d'ailleurs le seul méssage d'éspoir que nous ayons eu depuis quelques mois! en effet, qu'il s'agisse des diverses associations que nous avons interpellées, ou encore la justice, c'est le silence radio de toute part...mon amie a du démissionner, et l'on se retrouve dans une situation plus qu'inconfrotable, pour rester poli...en fait on est dans la merde finacierement car en démissionnant,il n' y a plus de rentrée d'argent...de plus quan mon amie se présente à des postes, les entretiens se passent bien, mais comme par hasard, peu de temps aprés on lui dit qu'elle ne correspond pas au profil du poste, alors que c'est le même type de population...il s'agit surtout d'une autre déscrimination dont elle est victime...elle a osé dénoncer des actes de maltraitance, et au lieu qu'elle soi protégée et considérée comme une vraie professionelle, elle est pointée comme la bête noire, et celle a éviter...comme on siat tous, malgrés que c'est interdit, les emplyeurs s'appellent entre eux.c'est vraiment désolant mais je me rends compte que beaucoup de professonels finissent par faire passer leur interets avant ceux des personnes qu'ils accompagnent, se plient, voire deviennent maltraiatnts soi par ignorance, négligence ou résignation a leur tour....ls ont la maison a payer, la voiture...et du coup ils cautionnent, ferment les yeux, ou pire imitent le groupe...je ne veux pas de ce social,mais ne soyons pas hypocrites aujourd'hui c'est chacun qui tente de survivre alors on est pas prets de voir des travailleurs sociaux, se lever et condamner la maltraitance...ls ont beaucoup a faire..tenter de sauver leur peau et leur petits interets...je semble amer mais, ce n'est que du realisme helas...
je pense faire un brec avec ce social, dans lequel je ne me retrouve nullement et aller à d'autres aspirations, d'autres rêves qui seront moins lourds à porter et que j'aurai choisi...
a bientot
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2MC
Re: La violence physique: quelles réponses?
bonjour, nous sommes des éléves de la 2MC. Nous sommes sensibilisés par tout ces messages donc nous avons décidé de vous remercier et de vous encouragé. nous étudions comment s'effectuent le passage de la violence verbale à la violence physique. bonne continuation.
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farid
Re: La violence physique: quelles réponses?
merci à vous pour le message de soutien.
la violence comme vous pouvez le constater n'amène que déstruction, et inhumanité...on redevient "bête", et l'on ne réfléchit plus, on est dans le passage à l'acte, et seulementdans ce passage à 'acte qui fait beaucoup plus de dégatrs que l'on croit!
ca commence par un regard, un geste, un sourire, une grimace, une mimique...qui part d'un bon sentiment, ou parfois n'est adressé à personne..;sauf que l'zutre en face, il l'interpréte mal et ne reflechit pas...il frappe!
dans notre secteur, le social, on abuse de la faiblese des personnes que l'on accompagne, soit par cequ'elle ne parle pas , soit parce qu'on les ecoute pas, car ils ont un handicap...et souvent parce que personne n'ose denoncer ces actes, ils se naturalisent et devinennt limites naturels au yeux de tous. quand helas quelqu'un decide de ne pas se taire, comme mon amie, on lui fait payer le prix fort...malgrés laloi...mais je me dis qu'un jour, il y aura quelqu'un qui ne fera plus passer ses interets avant ceux des personnes qu'on accompgen, tappera d poing et fera le tri dans ce nid de viperes...je généralise au risuqe de choquer mais tanpis car oon deveint ainsi tous complices soit par ignorance ou par négligence, ou déliberément.
la violence quoi qu'on en dise, elle tue soit quand elle est dans le passage à l'acte ou dans le silence, car personne ne reagit à la souffrance des victimes ( le frappé, celui qui dénonce)
bonne continuation
la violence comme vous pouvez le constater n'amène que déstruction, et inhumanité...on redevient "bête", et l'on ne réfléchit plus, on est dans le passage à l'acte, et seulementdans ce passage à 'acte qui fait beaucoup plus de dégatrs que l'on croit!
ca commence par un regard, un geste, un sourire, une grimace, une mimique...qui part d'un bon sentiment, ou parfois n'est adressé à personne..;sauf que l'zutre en face, il l'interpréte mal et ne reflechit pas...il frappe!
dans notre secteur, le social, on abuse de la faiblese des personnes que l'on accompagne, soit par cequ'elle ne parle pas , soit parce qu'on les ecoute pas, car ils ont un handicap...et souvent parce que personne n'ose denoncer ces actes, ils se naturalisent et devinennt limites naturels au yeux de tous. quand helas quelqu'un decide de ne pas se taire, comme mon amie, on lui fait payer le prix fort...malgrés laloi...mais je me dis qu'un jour, il y aura quelqu'un qui ne fera plus passer ses interets avant ceux des personnes qu'on accompgen, tappera d poing et fera le tri dans ce nid de viperes...je généralise au risuqe de choquer mais tanpis car oon deveint ainsi tous complices soit par ignorance ou par négligence, ou déliberément.
la violence quoi qu'on en dise, elle tue soit quand elle est dans le passage à l'acte ou dans le silence, car personne ne reagit à la souffrance des victimes ( le frappé, celui qui dénonce)
bonne continuation
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bob
Re: La violence physique: quelles réponses?
VIOLENCE, ne jamais fermer les yeux! Eh oui cela existe. Certains professionnels ne voient rien!
Il faut réagir de suite , isoler la ou les personnes violentes du groupe. Car cette violence souvent instantanée, s'accentue en groupe.
Attention à certains jeunes qui ont grandi dans la violence et cherche la violence sans distinction. Pour eux c'est un moyen de communication, d'exister.On dit parfois, enfant battu, enfant qui battra ! Pas tout à fait d'accord de ce point de vue. C'est sure, il y a des risques probables. Pour cause, l'enfant, l'ado violent est décrit comme tel aux yeux de tous, ce qui peut engendrer une appréhension de ce jeune mais également renforcer une stigmatisation , ce qui provoque un renforcement d'une identité violente.Ces jeunes violents ont souvent des difficultés relationnelles et s'expriment par des passages à l'acte. La difficulté réside par le fait que le jeune violent à le ressenti que l'enfant est " mauvais" et par la meme qu'il est lui-m "mauvais"
Il faut donc casser cette image par le dialogue, par la valorisation de sa personne en lui accordant des responsabilitées meme minimes tout en insistant sur ses qualités. Il faut coute que coute casser son image négative surtout s'il est le leader d'un groupe.
Désolé, je n'est plus le temps, je pars bosser-- éduc, 15 ans de MECS
Il faut réagir de suite , isoler la ou les personnes violentes du groupe. Car cette violence souvent instantanée, s'accentue en groupe.
Attention à certains jeunes qui ont grandi dans la violence et cherche la violence sans distinction. Pour eux c'est un moyen de communication, d'exister.On dit parfois, enfant battu, enfant qui battra ! Pas tout à fait d'accord de ce point de vue. C'est sure, il y a des risques probables. Pour cause, l'enfant, l'ado violent est décrit comme tel aux yeux de tous, ce qui peut engendrer une appréhension de ce jeune mais également renforcer une stigmatisation , ce qui provoque un renforcement d'une identité violente.Ces jeunes violents ont souvent des difficultés relationnelles et s'expriment par des passages à l'acte. La difficulté réside par le fait que le jeune violent à le ressenti que l'enfant est " mauvais" et par la meme qu'il est lui-m "mauvais"
Il faut donc casser cette image par le dialogue, par la valorisation de sa personne en lui accordant des responsabilitées meme minimes tout en insistant sur ses qualités. Il faut coute que coute casser son image négative surtout s'il est le leader d'un groupe.
Désolé, je n'est plus le temps, je pars bosser-- éduc, 15 ans de MECS
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karine
Re: La violence physique: quelles réponses?
je trouve ke toute forme de violences est punissable par la loi