bonjour,
le cadre doit être explicite, je crois que le contrat qui mentionne droit et devoir généraux de chaque partie du contrat, un contrat qui lie la structure, les jeune, son parent est un bon outils car il fixe un cadre permet de préciser les choses.Il est une valorisation et une reconnaissance du parent dans son rôle.
Enfin la violence n'est pas un moyen de pédagogie. Elle doit être parlé en amont et en aval d'un acte.Un dérapage peut arrivé on est pas des êtres super en tout. Mais il faut dire la chose et qu'elle ne deviennent le seul moyen de réponse. La question qu'il y a derrière c'est la limite. Une expulsion, explicité du jeune aurait pue être envisagé, une mise à l'écart. je crois que ce qu'on reproche à ton analyse c'est de ne pas trouver une autre manière de penser.
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Animateurs ados: le rapport de force est-il évitable?
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tutu
Re: Animateurs ados: le rapport de force est-il évitable?
Re bonsoir , j'ai due partir au milieu de ma phrase cet après midi et je m'en excuses!
je voulais dire :
l'animateur ne peut intervenir de manière isolé, il doit être en cohérence avec la structure l'employeur qui l'embauche.
la violence sur le public des 12/17 ans est un sujet récurent.Il doit donc être verbalisé. le temps l'expérience amène aussi à ce positionné heureusement nous évoluons
. il en va que certain jeune ont besoin de l'affrontement, de tester les limites afin de savoir si on est fiable. Mais il sont aussi dans une confrontation à eux-même, une violence tourné sur eux.l'adolescent est narcissique. Un acte tel qu'une baffe peux inscrire le jeune qui la reçoit dans un rapport de soumission d'une part, d'autre part une identité de je suis un gars mauvais la preuve il m'a tapé. je dois être puni. Il faut s'arrêter parfois 30 seconde et penser est ce qu'en répondant ainsi je ne fais pas ce qu'attend l'ado, est ce qu'il y a une autre réponse à envisagé (passé le relais, sanctionné).
si tu as callé en amont avec les autres animateur l
je voulais dire :
l'animateur ne peut intervenir de manière isolé, il doit être en cohérence avec la structure l'employeur qui l'embauche.
la violence sur le public des 12/17 ans est un sujet récurent.Il doit donc être verbalisé. le temps l'expérience amène aussi à ce positionné heureusement nous évoluons
si tu as callé en amont avec les autres animateur l
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tutu
Re: Animateurs ados: le rapport de force est-il évitable?
re moi , mon clavier bugg ! Merde !
je finit en disant:
la violence ne peut être une finalité , on doit trouver d'autres moyens d'y répondre c'est la mission de l'éducateur, l'animateur.
Maintenant l'accueil libre doit se réfléchir 'quel moyen on se donne face à cette question de la violence ? il me semble que des actions peuvent être monté : idée de moi qui n'engage que moi :
un film violent terminator, 13, babel un petit bijoux... (définir la violence en équipe et en réunion en amont) puis visionner le film avec les jeunes est en discuter , faire intervenir un psy par le biais d'une asso de prévention ,
enfin mener la réalisation d'une BD, un court métrage subvention régional et hop emballé c'est pesé.durer 1 à 2 mois finalement c'est vachement simple de monter un projet....
la violence doit être travaillé en équipe réfléchis ensemble pour convenir des actions à mené,réaction admises et si cela se produit il faut l'explicitai, la verbalisé. Le risque c'est qu'elle deviennent un réflexe que l'animateur lui même ne parvient plus a explicité. Attention je ne parle pas de se justifier rien ne le justifie.
les 12 / 17 ans sont narcissiques, ils doivent en passé par là. Ceux sont pas des anges mais en tant que référents nous nous devons de penser, utiliser la raison.Choses qui à mon avis est absente de formation BPJPS. Alors retourne à des cours sur les ados, la pédagogie, lit toi ruffus, platon, dolto, pépé freud j'en oublie et reviens poser ta question ? Je crois que c'est a tous ça que ton directeur voulais peut être te renvoyer. ta position, ton rôle d'animateur.
je finis en disant que c'est à cause du manque de psychologie de base de certain animateur, que la société nous renvoie une image de glandeur décérébré Je ne suis pas solidaire. Voila j'ai du me faire des ennemis partout !!! pas grave !!
je finit en disant:
la violence ne peut être une finalité , on doit trouver d'autres moyens d'y répondre c'est la mission de l'éducateur, l'animateur.
Maintenant l'accueil libre doit se réfléchir 'quel moyen on se donne face à cette question de la violence ? il me semble que des actions peuvent être monté : idée de moi qui n'engage que moi :
un film violent terminator, 13, babel un petit bijoux... (définir la violence en équipe et en réunion en amont) puis visionner le film avec les jeunes est en discuter , faire intervenir un psy par le biais d'une asso de prévention ,
enfin mener la réalisation d'une BD, un court métrage subvention régional et hop emballé c'est pesé.durer 1 à 2 mois finalement c'est vachement simple de monter un projet....
la violence doit être travaillé en équipe réfléchis ensemble pour convenir des actions à mené,réaction admises et si cela se produit il faut l'explicitai, la verbalisé. Le risque c'est qu'elle deviennent un réflexe que l'animateur lui même ne parvient plus a explicité. Attention je ne parle pas de se justifier rien ne le justifie.
les 12 / 17 ans sont narcissiques, ils doivent en passé par là. Ceux sont pas des anges mais en tant que référents nous nous devons de penser, utiliser la raison.Choses qui à mon avis est absente de formation BPJPS. Alors retourne à des cours sur les ados, la pédagogie, lit toi ruffus, platon, dolto, pépé freud j'en oublie et reviens poser ta question ? Je crois que c'est a tous ça que ton directeur voulais peut être te renvoyer. ta position, ton rôle d'animateur.
je finis en disant que c'est à cause du manque de psychologie de base de certain animateur, que la société nous renvoie une image de glandeur décérébré Je ne suis pas solidaire. Voila j'ai du me faire des ennemis partout !!! pas grave !!
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Djélil
Re: Animateurs ados: le rapport de force est-il évitable?
Bonjour à vous,
Tout d'abord merci pour vos réponses les échanges sont riches.
Cécile je suis tout à fait d'accord pour le reglement intérieur et je vais approfondir l'idée, au moins il y aura un lien "officiel" entre les jeunes et la structure, et ça peut être un support solide en cas de débordement.
Tutu je n'ai jamais affirmer que la violence était une finalité.
Je suis d'accord avec le fait de monter des projets sur la violence, d'en discuter etc... c'est quelque chose que nous faisons régulièrement et qui est bien subventionné. Avec les 12-17 ça marche d'ailleurs plutôt pas mal.
J'ai passé un BPJEPS en effet et le public ado je commence à connaitre, maintenant il y a aussi une réalité de terrain. Quand tu as 23 ans et que tu dois te positionner en tant que cadre auprès de jeunes de 18-25 ans, dans leur quartier, et dans ces conditions (ça monte à 40-50 jeunes dans le local, en accueil libre le samedi) c'est pas forcémment évident, surtout quand tu débarques. Sur cet accueil le rapport de force est régulier, il faut être sec et s'imposer au moindre débordement, s'il le faut physiquement, avant que ça ne dégénère plus.
Passer le relai d'accord, mais nous sommes 2 anims et le reste de la structure est fermé le samedi, donc personne d'autre.
Maintenant même sur le public 14-17 (puisque c'est celui abordé à la base), pour moi un jeune qui part en vrille et qui pourrait se mettre en danger lui ou quelqu'un d'autre, je n'hésiterai pas à le maitriser physiquement avant que ça ne dégénère. Je pense que justement chez certains jeunes plus difficiles ça peut être un déclic de se sentir maitrisé, limité et leur apporter un cadre affectif. Les quelques jeunes avec qui ça s'est produit ne m'en ont jamais voulu plus d'une semaine et ils connaissent leur limite en ma présence.
Tout d'abord merci pour vos réponses les échanges sont riches.
Cécile je suis tout à fait d'accord pour le reglement intérieur et je vais approfondir l'idée, au moins il y aura un lien "officiel" entre les jeunes et la structure, et ça peut être un support solide en cas de débordement.
Tutu je n'ai jamais affirmer que la violence était une finalité.
Je suis d'accord avec le fait de monter des projets sur la violence, d'en discuter etc... c'est quelque chose que nous faisons régulièrement et qui est bien subventionné. Avec les 12-17 ça marche d'ailleurs plutôt pas mal.
J'ai passé un BPJEPS en effet et le public ado je commence à connaitre, maintenant il y a aussi une réalité de terrain. Quand tu as 23 ans et que tu dois te positionner en tant que cadre auprès de jeunes de 18-25 ans, dans leur quartier, et dans ces conditions (ça monte à 40-50 jeunes dans le local, en accueil libre le samedi) c'est pas forcémment évident, surtout quand tu débarques. Sur cet accueil le rapport de force est régulier, il faut être sec et s'imposer au moindre débordement, s'il le faut physiquement, avant que ça ne dégénère plus.
Passer le relai d'accord, mais nous sommes 2 anims et le reste de la structure est fermé le samedi, donc personne d'autre.
Maintenant même sur le public 14-17 (puisque c'est celui abordé à la base), pour moi un jeune qui part en vrille et qui pourrait se mettre en danger lui ou quelqu'un d'autre, je n'hésiterai pas à le maitriser physiquement avant que ça ne dégénère. Je pense que justement chez certains jeunes plus difficiles ça peut être un déclic de se sentir maitrisé, limité et leur apporter un cadre affectif. Les quelques jeunes avec qui ça s'est produit ne m'en ont jamais voulu plus d'une semaine et ils connaissent leur limite en ma présence.