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le sourire
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fasol
Re: le sourire
Le sourire est le baiser de l'âme
[Michel Bouthot] Extrait de Chemins parsemés d'immortelles pensées
[Michel Bouthot] Extrait de Chemins parsemés d'immortelles pensées
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oh oh !!!
Re: le sourire
On peut sourire et sourire et pourtant être un scélérat a dit Shakespeare dans Hamlet
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lasi
Re: le sourire
Chaque coup de colère est un coup de vieux, chaque sourire est un coup de jeune.
Proverbe chinois
Proverbe chinois
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Mylène
Re: le sourire
H2O. Petite molécule d'eau,
Merci d'exister.
Tu es la vie,H2O ;
Sans toi, nous n'aurions jamais subsister.
Peut-être y a t-il de la haine dans les cœurs mais tant que toi tu seras là, on boira.
Petite molécule d'H2O
Merci d'exister.
Sans toi, il n'y aurait plus de vie, que se soit liquéfié, solidifié ou respirée !
Car tu es la vie petite molécule d'eau..
Toute petite goutte d'eau.
J'apprendrai à ces têtes blondes qu'il faut respecter sa place dans la ronde.. comme dans tout
l'écosystème.
Quand tu coules, ça fait une petite mélodie comme le chant ou la poésie.
Et même dans la philosophie qui est l'amour de la sagesse, de la vie se reflète dans l'étendu d'eau.
Et selon les caractéristiques de chaque peuple, elle est pure, javelisée ou abrite les plus seuls.
Merci d'exister.
Tu es la vie,H2O ;
Sans toi, nous n'aurions jamais subsister.
Peut-être y a t-il de la haine dans les cœurs mais tant que toi tu seras là, on boira.
Petite molécule d'H2O
Merci d'exister.
Sans toi, il n'y aurait plus de vie, que se soit liquéfié, solidifié ou respirée !
Car tu es la vie petite molécule d'eau..
Toute petite goutte d'eau.
J'apprendrai à ces têtes blondes qu'il faut respecter sa place dans la ronde.. comme dans tout
l'écosystème.
Quand tu coules, ça fait une petite mélodie comme le chant ou la poésie.
Et même dans la philosophie qui est l'amour de la sagesse, de la vie se reflète dans l'étendu d'eau.
Et selon les caractéristiques de chaque peuple, elle est pure, javelisée ou abrite les plus seuls.
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laura
Re: le sourire
un petit coucou à toutes les tisf qui travaillent en famille. Voici ci après une jolie leçon de bonheur.
L'histoire des familles heureuses
Ni chanceuses ni extraordinaires, certaines familles savent rendre heureux leurs membres et ceux qu'elles accueillent. Un art cultivé au quotidien.
« Je suis née dans une famille qui s'était comme habituée au malheur, raconte Amélie Mélicourt, 85 ans. Chez nous, on ne riait jamais. La bouteille était toujours à moitié vide. Qu'il fasse soleil ou qu'il pleuve, les visages de mes parents étaient tristes. Les objets restaient toujours à la même place comme si la vie était arrêtée. Moi, je détestais cette atmosphère qui ne me donnait pas envie de grandir. Le soir, après la prière, une fois couchée, je me demandais souvent : est-ce pareil dans les autres familles ? »
La réponse vint quelques années plus tard, car la mère d'Amélie est tombée gravement malade, ce qui valut à la petite fille d'aller avec son frère vivre deux années chez ses cousins. « J'ai découvert une vie familiale tout à fait différente, confie-t-elle. Parfois, je ressens encore ce sentiment d'étrangeté qui m'a tout de suite envahie : là, c'était une maison de lumière en comparaison de ma maison ténébreuse. En fait, plus tard, j'ai réalisé que mon oncle et ma tante savaient jouir du moment présent. Et quand l'heure n'était pas favorable, ils ne s'appesantissaient pas, comme si celle qui allait suivre devait être meilleure ! Chez eux, la vie avait bon goût. Grâce à eux, je me suis mise à l'aimer à mon tour. »
C'est ainsi. A l'exemple de certains individus, certaines familles semblent avoir reçu le talent du bonheur, cette capacité d'aimer la vie et de la faire aimer à ceux qui partagent un peu ou beaucoup de leur intimité. « Mais, qu'on ne s'y trompe pas, souligne Christophe André, psychiatre et auteur de Vivre heureux, l'aptitude au bonheur est vaine et stérile si ceux qui la possèdent ne décident pas de la développer. » Autrement dit, la bonne étoile ne suffit pas. Le bonheur reste toujours à construire.
Mais alors quelles sont les recettes qui donnent à ces maisonnées l'âme joyeuse ? D'où tiennent-elles leur art de cultiver le bonheur au quotidien d'une vie ordinaire ? Pour le savoir, rien de tel que de se laisser inviter par l'une ou l'autre. Franchir le seuil de leurs maisons ne pose d'ailleurs en général aucun problème. C'est même là une de leurs caractéristiques. Quand leurs portes ne sont pas ouvertes en permanence, la clé n'est jamais loin : sous la bûche ou sous le paillasson !
« Par toutes sortes de détails, à l'extérieur, mais plus encore à l'intérieur de la maison, explique Monique Eleb, sociologue spécialiste de l'habitation et des modes de vie, certaines familles traduisent leur sens de l'accueil et leur volonté d'ouverture aux autres. » Et c'est bien vrai. A regarder de près, l'organisation de l'espace intérieur de ces foyers, il semble que tout soit fait pour que chacun trouve sa place et ce dont il a besoin pour ne pas éprouver un sentiment de gêne ou de timidité.
En fait, dans ces lieux, les biens matériels ne semblent pas avoir grande importance. Même beaux, voire précieux, les objets paraissent être mis là uniquement pour servir et réjouir les sens de ceux qui les approchent. « Effectivement, explique Christophe André, les parents de ces familles au coeur large ont une hiérarchie des valeurs qui privilégie l'être sur l'avoir, les valeurs de respect, de gentillesse, d'attention et de partage. Les valeurs matérialistes comptent moins. »
Alors, peu importe s'il règne parfois un joyeux désordre : on déplace un matelas d'une chambre à une autre, parce que ça facilite le papotage et les fous rires avec la copine du week-end, on sort les « beaux verres » pour l'invité impromptu, parce que c'est tellement plus agréable ! Bien sûr, ici comme ailleurs, et même peut-être davantage, il arrive que l'on casse, que l'on salisse, que l'on déchire, mais là, c'est sûr, on n'en fait pas un drame ! « Ce n'est pas grave », « On ne va pas s'en faire pour si peu », entend-on souvent...
Les hôtes parlent aussi souvent la même langue de la simplicité et de la gentillesse : « Tu reviens quand tu veux », « Un de plus, un de moins, ça ne compte pas », « Quelle bonne surprise de te voir », « Raconte-moi ce que tu deviens », etc. Nul doute que de telles attentions aident ceux qui les reçoivent. Ce fut le cas d'Anne, 32 ans, qui se souvient.
« Pendant toute mon adolescence, raconte-t-elle, j'adorais aller chez des gens de mon immeuble. Pourtant, ils n'avaient pas d'enfants. Mais, à mes yeux, c'était une vraie famille, des gens toujours accueillants, gais et prêts à m'écouter. Avec un petit détail qui me faisait du bien : il y avait toujours des fleurs fraîches chez eux. Pourtant, ils n’étaient pas très riches. Ils faisaient des tas de choses pour les autres. A l’époque, j’étais très déprimée et je ne m’aimais pas du tout. La vie me paraissait inintéressante, comme moi. Peu à peu, je ne sais pas comment, Francine et Pierre m’ont redonné confiance en moi. Et maintenant ça va bien, je suis mariée et j’essaie, avec Jean, de construire une famille comme la leur… avec deux enfants en plus ! »
Comment regarder ces familles et surtout les parents, ceux qui en tiennent les rênes ? Comme des gens extraordinaires parce qu’épargnés par le malheur ? « Non, répond Christophe André, ces familles ne sont pas exceptionnelles. Elles ont des défauts et connaissent les mêmes difficultés, les mêmes échecs, les mêmes épreuves que les autres. Seulement, il s’agit de familles dont les parents ont décidé d’apprendre à cultiver et à protéger leur aptitude au bonheur et celle des autres. »
Veiller à ne pas se laisser gagner par le pessimisme
Un apprentissage qui demande du temps et de la méthode. Ainsi, pour jouer ces cartes gagnantes, faut-il parfois se déshabituer de certains réflexes tels que : plaintes incessantes, visions pessimistes de l’avenir, pensées négatives et anxieuses. Car devenir heureux, c’est souvent d’abord refuser de devenir malheureux.
« Un jour, mon mari et moi, nous avons pris conscience que nous glissions vers l’humeur triste, avoue Sylvie, 45 ans et mère de quatre enfants. Nous ne riions plus avec nos enfants. Tout devenait un drame. Et quand il y avait une fête, il y avait toujours quelque chose pour la gâcher. Pourtant, nous n’avions que des soucis ordinaires, en comparaison de certains de nos amis, qui, eux, paraissaient plus heureux. Nous avons décidé de nous reprendre. Nous avons pris du recul avec un conseiller familial et nous avons compris que nous nous étions laissé gagner par l’anxiété. Maintenant, après plusieurs entretiens, nous avons retrouvé notre joie de vivre. Et nos enfants aussi ! »
Pour Sylvaine Paliniou, 38 ans, membre avec ses trois enfants des Focolari (1), « la joie de vivre est directement liée à la capacité de chacun de vivre pleinement le moment présent dans la confiance. » « Pour nous, précise-t-elle, notre foi en Dieu nous aide à progresser dans ce sens, à nous défaire de nos habitudes de toujours vouloir autre chose de mieux ou de différent de ce que l’on a. Certains de nos enfants sont plus enclins que d’autres à adopter cette attitude. A nous de nous appuyer sur eux pour entraîner le mouvement général. C’est ça aussi la richesse d’une famille. »
Se réjouir des petites comme des grandes choses de la vie pour que chacun découvre qu’elle est un bien infiniment précieux aux ressources infinies… Au fond, n’est-ce pas cet art subtil que maîtrisent les familles dont on dit qu’elles sont heureuses ?
(1) Mouvement de vie chrétienne oecuménique et accueillant des croyants d'autres religions.
Agnès Auschitzka, 18 novembre 2003, www.la-croix.com
L'histoire des familles heureuses
Ni chanceuses ni extraordinaires, certaines familles savent rendre heureux leurs membres et ceux qu'elles accueillent. Un art cultivé au quotidien.
« Je suis née dans une famille qui s'était comme habituée au malheur, raconte Amélie Mélicourt, 85 ans. Chez nous, on ne riait jamais. La bouteille était toujours à moitié vide. Qu'il fasse soleil ou qu'il pleuve, les visages de mes parents étaient tristes. Les objets restaient toujours à la même place comme si la vie était arrêtée. Moi, je détestais cette atmosphère qui ne me donnait pas envie de grandir. Le soir, après la prière, une fois couchée, je me demandais souvent : est-ce pareil dans les autres familles ? »
La réponse vint quelques années plus tard, car la mère d'Amélie est tombée gravement malade, ce qui valut à la petite fille d'aller avec son frère vivre deux années chez ses cousins. « J'ai découvert une vie familiale tout à fait différente, confie-t-elle. Parfois, je ressens encore ce sentiment d'étrangeté qui m'a tout de suite envahie : là, c'était une maison de lumière en comparaison de ma maison ténébreuse. En fait, plus tard, j'ai réalisé que mon oncle et ma tante savaient jouir du moment présent. Et quand l'heure n'était pas favorable, ils ne s'appesantissaient pas, comme si celle qui allait suivre devait être meilleure ! Chez eux, la vie avait bon goût. Grâce à eux, je me suis mise à l'aimer à mon tour. »
C'est ainsi. A l'exemple de certains individus, certaines familles semblent avoir reçu le talent du bonheur, cette capacité d'aimer la vie et de la faire aimer à ceux qui partagent un peu ou beaucoup de leur intimité. « Mais, qu'on ne s'y trompe pas, souligne Christophe André, psychiatre et auteur de Vivre heureux, l'aptitude au bonheur est vaine et stérile si ceux qui la possèdent ne décident pas de la développer. » Autrement dit, la bonne étoile ne suffit pas. Le bonheur reste toujours à construire.
Mais alors quelles sont les recettes qui donnent à ces maisonnées l'âme joyeuse ? D'où tiennent-elles leur art de cultiver le bonheur au quotidien d'une vie ordinaire ? Pour le savoir, rien de tel que de se laisser inviter par l'une ou l'autre. Franchir le seuil de leurs maisons ne pose d'ailleurs en général aucun problème. C'est même là une de leurs caractéristiques. Quand leurs portes ne sont pas ouvertes en permanence, la clé n'est jamais loin : sous la bûche ou sous le paillasson !
« Par toutes sortes de détails, à l'extérieur, mais plus encore à l'intérieur de la maison, explique Monique Eleb, sociologue spécialiste de l'habitation et des modes de vie, certaines familles traduisent leur sens de l'accueil et leur volonté d'ouverture aux autres. » Et c'est bien vrai. A regarder de près, l'organisation de l'espace intérieur de ces foyers, il semble que tout soit fait pour que chacun trouve sa place et ce dont il a besoin pour ne pas éprouver un sentiment de gêne ou de timidité.
En fait, dans ces lieux, les biens matériels ne semblent pas avoir grande importance. Même beaux, voire précieux, les objets paraissent être mis là uniquement pour servir et réjouir les sens de ceux qui les approchent. « Effectivement, explique Christophe André, les parents de ces familles au coeur large ont une hiérarchie des valeurs qui privilégie l'être sur l'avoir, les valeurs de respect, de gentillesse, d'attention et de partage. Les valeurs matérialistes comptent moins. »
Alors, peu importe s'il règne parfois un joyeux désordre : on déplace un matelas d'une chambre à une autre, parce que ça facilite le papotage et les fous rires avec la copine du week-end, on sort les « beaux verres » pour l'invité impromptu, parce que c'est tellement plus agréable ! Bien sûr, ici comme ailleurs, et même peut-être davantage, il arrive que l'on casse, que l'on salisse, que l'on déchire, mais là, c'est sûr, on n'en fait pas un drame ! « Ce n'est pas grave », « On ne va pas s'en faire pour si peu », entend-on souvent...
Les hôtes parlent aussi souvent la même langue de la simplicité et de la gentillesse : « Tu reviens quand tu veux », « Un de plus, un de moins, ça ne compte pas », « Quelle bonne surprise de te voir », « Raconte-moi ce que tu deviens », etc. Nul doute que de telles attentions aident ceux qui les reçoivent. Ce fut le cas d'Anne, 32 ans, qui se souvient.
« Pendant toute mon adolescence, raconte-t-elle, j'adorais aller chez des gens de mon immeuble. Pourtant, ils n'avaient pas d'enfants. Mais, à mes yeux, c'était une vraie famille, des gens toujours accueillants, gais et prêts à m'écouter. Avec un petit détail qui me faisait du bien : il y avait toujours des fleurs fraîches chez eux. Pourtant, ils n’étaient pas très riches. Ils faisaient des tas de choses pour les autres. A l’époque, j’étais très déprimée et je ne m’aimais pas du tout. La vie me paraissait inintéressante, comme moi. Peu à peu, je ne sais pas comment, Francine et Pierre m’ont redonné confiance en moi. Et maintenant ça va bien, je suis mariée et j’essaie, avec Jean, de construire une famille comme la leur… avec deux enfants en plus ! »
Comment regarder ces familles et surtout les parents, ceux qui en tiennent les rênes ? Comme des gens extraordinaires parce qu’épargnés par le malheur ? « Non, répond Christophe André, ces familles ne sont pas exceptionnelles. Elles ont des défauts et connaissent les mêmes difficultés, les mêmes échecs, les mêmes épreuves que les autres. Seulement, il s’agit de familles dont les parents ont décidé d’apprendre à cultiver et à protéger leur aptitude au bonheur et celle des autres. »
Veiller à ne pas se laisser gagner par le pessimisme
Un apprentissage qui demande du temps et de la méthode. Ainsi, pour jouer ces cartes gagnantes, faut-il parfois se déshabituer de certains réflexes tels que : plaintes incessantes, visions pessimistes de l’avenir, pensées négatives et anxieuses. Car devenir heureux, c’est souvent d’abord refuser de devenir malheureux.
« Un jour, mon mari et moi, nous avons pris conscience que nous glissions vers l’humeur triste, avoue Sylvie, 45 ans et mère de quatre enfants. Nous ne riions plus avec nos enfants. Tout devenait un drame. Et quand il y avait une fête, il y avait toujours quelque chose pour la gâcher. Pourtant, nous n’avions que des soucis ordinaires, en comparaison de certains de nos amis, qui, eux, paraissaient plus heureux. Nous avons décidé de nous reprendre. Nous avons pris du recul avec un conseiller familial et nous avons compris que nous nous étions laissé gagner par l’anxiété. Maintenant, après plusieurs entretiens, nous avons retrouvé notre joie de vivre. Et nos enfants aussi ! »
Pour Sylvaine Paliniou, 38 ans, membre avec ses trois enfants des Focolari (1), « la joie de vivre est directement liée à la capacité de chacun de vivre pleinement le moment présent dans la confiance. » « Pour nous, précise-t-elle, notre foi en Dieu nous aide à progresser dans ce sens, à nous défaire de nos habitudes de toujours vouloir autre chose de mieux ou de différent de ce que l’on a. Certains de nos enfants sont plus enclins que d’autres à adopter cette attitude. A nous de nous appuyer sur eux pour entraîner le mouvement général. C’est ça aussi la richesse d’une famille. »
Se réjouir des petites comme des grandes choses de la vie pour que chacun découvre qu’elle est un bien infiniment précieux aux ressources infinies… Au fond, n’est-ce pas cet art subtil que maîtrisent les familles dont on dit qu’elles sont heureuses ?
(1) Mouvement de vie chrétienne oecuménique et accueillant des croyants d'autres religions.
Agnès Auschitzka, 18 novembre 2003, www.la-croix.com
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toto
Re: le sourire
hello laura, j'ai une petite histoire qui donne la même recette pour être heureux dans la vie
Une question d'attitude !
Jerry est gérant dans la restauration à Philadelphie. Il est toujours de bonne humeur et a toujours quelque chose de positif à dire. Quand on lui demande comment il va, il répond toujours : "Si j'allais mieux que ça, nous serions deux : mon jumeau et moi !"
Quand il déménage, plusieurs serveurs et serveuses sont prêts à lâcher leur job pour le suivre d'un restaurant à un autre pour la seule raison qu'ils admirent son attitude. Il est un motivateur naturel. Quand un employé file un mauvais coton, Jerry est toujours là pour lui faire voir le bon côté des choses.
Curieux, je suis allé voir Jerry un jour pour lui demander : "Je ne comprends pas. Il n'est pas possible d'être toujours positif comme ça, partout, tout le temps. Comment fais-tu ?"
Et Jerry de répondre : "Tous les matins à mon réveil, je me dis que, aujourd'hui, ou bien je choisis d'être de bonne humeur, ou bien je choisis d'être de mauvaise humeur. Je choisis toujours d'être de bonne humeur. Quand il arrive un incident déplorable, ou bien je choisis d'en être la victime, ou bien je choisis d'en tirer une leçon. Quand quelqu'un vient se plaindre à moi, ou bien je choisis d'entendre sa plainte, ou bien j'essaie de lui faire voir le bon côté de la chose."
"Mais ce n'est pas toujours si facile", lui dis-je. Et Jerry d'enchaîner : "La vie, c'est une question de choix. On choisit sa façon de réagir aux situations. On choisit de quelle façon les autres peuvent nous influencer ou non. On choisit d'être de bonne humeur ou de mauvaise humeur. On choisit de vivre sa vie de la manière qui nous convient."
Plusieurs années plus tard, j'entends dire que Jerry a fait incidemment ce qu'on ne doit jamais faire dans la restauration : il a laissé déverrouillée la porte arrière du restaurant un bon matin et il s'est fait surprendre par trois voleurs armés.
En essayant d'ouvrir le coffre fort, sa main tremblante de nervosité, il n'arrivait pas à faire la combinaison numérique. Un des intrus a paniqué et a tiré. Heureusement pour Jerry, les choses n'ont pas traîné et il a vite été transporté à l'hôpital. Après dix-huit heures de chirurgie et des semaines de soins intensifs, Jerry a reçu son congé de l'hôpital avec des débris de la balle qu'on n'avait pas réussi à lui retirer du corps.
J'ai revu Jerry six mois après l'incident et je lui ai demandé comment il réagissait à tout ça. "Si j'allais mieux que ça, dit-il, nous serions deux : mon jumeau et moi. Tu veux voir les cicatrices ?" Je n'ai pas voulu voir la blessure mais je lui ai demandé ce qui lui avait passé par la tête au moment du vol. Et Jerry de dire : "La première chose qui m'est venu à l'idée est que j'aurais dû fermer à clé la porte arrière du restaurant. Et puis, étendu sur le plancher après m'être fait tirer une balle, je me suis souvenu que je pouvais encore faire un choix : ou bien de vivre ou bien de mourir. Et j'ai choisi de vivre."
"T'as pas eu peur ?" lui dis-je. Et lui de répondre : "Les ambulanciers ont été bien corrects. Ils n'ont pas cessé de me dire que tout allait bien. Mais en entrant dans le bloc opératoire de l'hôpital, j'ai vu l'expression faciale des médecins et des infirmières et, là, j'ai eu peur. J'ai vu dans leurs yeux que j'étais un homme mort et j'ai su que je devais agir vite."
"Et alors, qu'as-tu fait ?"
"Eh bien, mon ami, il y avait une infirmière qui me Bombardait de questions : elle voulait savoir si j'étais allergique à quelque chose. J'ai dit oui, et les médecins et les infirmières se sont arrêtés pour entendre ce que j'allais leur dire. J'ai pris une profonde respiration et je leur ai dit que j'étais allergique aux balles de fusil ! Quand ils ont eu cessé de rire, je leur ai dit que j'avais fait le choix de vivre et qu'ils feraient mieux de m'opérer comme si j'étais un homme vivant plutôt qu'un homme mort !"
Jerry a survécu grâce à l'expertise des médecins mais aussi grâce à son attitude étonnante ! J'ai appris de lui que, tous les jours, nous devons faire des choix : ou bien de profiter pleinement de la vie ou bien de s'y emmerder tant qu'on veut. La seule chose qui nous appartient et que personne ne peut contrôler, ni nous enlever, ce sont nos attitudes. Alors, quand on peut cultiver des attitudes positives, tout le reste est de la petite bière.
un anonyme
Une question d'attitude !
Jerry est gérant dans la restauration à Philadelphie. Il est toujours de bonne humeur et a toujours quelque chose de positif à dire. Quand on lui demande comment il va, il répond toujours : "Si j'allais mieux que ça, nous serions deux : mon jumeau et moi !"
Quand il déménage, plusieurs serveurs et serveuses sont prêts à lâcher leur job pour le suivre d'un restaurant à un autre pour la seule raison qu'ils admirent son attitude. Il est un motivateur naturel. Quand un employé file un mauvais coton, Jerry est toujours là pour lui faire voir le bon côté des choses.
Curieux, je suis allé voir Jerry un jour pour lui demander : "Je ne comprends pas. Il n'est pas possible d'être toujours positif comme ça, partout, tout le temps. Comment fais-tu ?"
Et Jerry de répondre : "Tous les matins à mon réveil, je me dis que, aujourd'hui, ou bien je choisis d'être de bonne humeur, ou bien je choisis d'être de mauvaise humeur. Je choisis toujours d'être de bonne humeur. Quand il arrive un incident déplorable, ou bien je choisis d'en être la victime, ou bien je choisis d'en tirer une leçon. Quand quelqu'un vient se plaindre à moi, ou bien je choisis d'entendre sa plainte, ou bien j'essaie de lui faire voir le bon côté de la chose."
"Mais ce n'est pas toujours si facile", lui dis-je. Et Jerry d'enchaîner : "La vie, c'est une question de choix. On choisit sa façon de réagir aux situations. On choisit de quelle façon les autres peuvent nous influencer ou non. On choisit d'être de bonne humeur ou de mauvaise humeur. On choisit de vivre sa vie de la manière qui nous convient."
Plusieurs années plus tard, j'entends dire que Jerry a fait incidemment ce qu'on ne doit jamais faire dans la restauration : il a laissé déverrouillée la porte arrière du restaurant un bon matin et il s'est fait surprendre par trois voleurs armés.
En essayant d'ouvrir le coffre fort, sa main tremblante de nervosité, il n'arrivait pas à faire la combinaison numérique. Un des intrus a paniqué et a tiré. Heureusement pour Jerry, les choses n'ont pas traîné et il a vite été transporté à l'hôpital. Après dix-huit heures de chirurgie et des semaines de soins intensifs, Jerry a reçu son congé de l'hôpital avec des débris de la balle qu'on n'avait pas réussi à lui retirer du corps.
J'ai revu Jerry six mois après l'incident et je lui ai demandé comment il réagissait à tout ça. "Si j'allais mieux que ça, dit-il, nous serions deux : mon jumeau et moi. Tu veux voir les cicatrices ?" Je n'ai pas voulu voir la blessure mais je lui ai demandé ce qui lui avait passé par la tête au moment du vol. Et Jerry de dire : "La première chose qui m'est venu à l'idée est que j'aurais dû fermer à clé la porte arrière du restaurant. Et puis, étendu sur le plancher après m'être fait tirer une balle, je me suis souvenu que je pouvais encore faire un choix : ou bien de vivre ou bien de mourir. Et j'ai choisi de vivre."
"T'as pas eu peur ?" lui dis-je. Et lui de répondre : "Les ambulanciers ont été bien corrects. Ils n'ont pas cessé de me dire que tout allait bien. Mais en entrant dans le bloc opératoire de l'hôpital, j'ai vu l'expression faciale des médecins et des infirmières et, là, j'ai eu peur. J'ai vu dans leurs yeux que j'étais un homme mort et j'ai su que je devais agir vite."
"Et alors, qu'as-tu fait ?"
"Eh bien, mon ami, il y avait une infirmière qui me Bombardait de questions : elle voulait savoir si j'étais allergique à quelque chose. J'ai dit oui, et les médecins et les infirmières se sont arrêtés pour entendre ce que j'allais leur dire. J'ai pris une profonde respiration et je leur ai dit que j'étais allergique aux balles de fusil ! Quand ils ont eu cessé de rire, je leur ai dit que j'avais fait le choix de vivre et qu'ils feraient mieux de m'opérer comme si j'étais un homme vivant plutôt qu'un homme mort !"
Jerry a survécu grâce à l'expertise des médecins mais aussi grâce à son attitude étonnante ! J'ai appris de lui que, tous les jours, nous devons faire des choix : ou bien de profiter pleinement de la vie ou bien de s'y emmerder tant qu'on veut. La seule chose qui nous appartient et que personne ne peut contrôler, ni nous enlever, ce sont nos attitudes. Alors, quand on peut cultiver des attitudes positives, tout le reste est de la petite bière.
un anonyme
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toto
Re: le sourire
Sommes-nous programmés pour être contents ?
23.01.2006
Le don du bonheur est-il également partagé ? A priori, non ! Des travaux de David Lykken (université du Minnesota) sur 8 000 vrais et faux jumeaux ont montré que 50% de la satisfaction de la vie était d'origine génétique. Les gènes influenceraient la capacité à résister au stress, le niveau d'anxiété et de dépression. Selon les résultats d'un test SWLS mis au point par le psychologue Edward Diene, 10% des individus se disent satisfaits de leur vie. D'autres chercheurs plus optimistes, pensent qu'il suffit de multiplier les petits plaisirs, notamment sensoriels, telle la première gorgée de bière décrite par Delerm. Allez, courage, le sourire vient en souriant !
23.01.2006
Le don du bonheur est-il également partagé ? A priori, non ! Des travaux de David Lykken (université du Minnesota) sur 8 000 vrais et faux jumeaux ont montré que 50% de la satisfaction de la vie était d'origine génétique. Les gènes influenceraient la capacité à résister au stress, le niveau d'anxiété et de dépression. Selon les résultats d'un test SWLS mis au point par le psychologue Edward Diene, 10% des individus se disent satisfaits de leur vie. D'autres chercheurs plus optimistes, pensent qu'il suffit de multiplier les petits plaisirs, notamment sensoriels, telle la première gorgée de bière décrite par Delerm. Allez, courage, le sourire vient en souriant !
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toto
Re: le sourire
Existe-t-il des sourires négatifs ?
Certains sourires n’expriment ni la satisfaction, ni le plaisir. C’est le cas du sourire « amer », provoqué par des goûts ou des pensées désagréables. Il met en jeu les mêmes muscles que le sourire de plaisir à l’exception des zygomatiques. On parle également du sourire « de mépris » qui exprime un sentiment de supériorité et s’accompagne d’un mouvement volontaire de haussement du nez ou du sourire « de défi » où les canines sont mises en évidence.
Certains sourires n’expriment ni la satisfaction, ni le plaisir. C’est le cas du sourire « amer », provoqué par des goûts ou des pensées désagréables. Il met en jeu les mêmes muscles que le sourire de plaisir à l’exception des zygomatiques. On parle également du sourire « de mépris » qui exprime un sentiment de supériorité et s’accompagne d’un mouvement volontaire de haussement du nez ou du sourire « de défi » où les canines sont mises en évidence.
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toto encore
Re: le sourire
Sourire trois fois tous les jours rend inutile tout médicament
Proverbe chinois
Proverbe chinois
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laura
Re: le sourire
Risquer
Rire, c'est risquer d'avoir l'air ridicule.
Pleurer, c'est risquer de paraître sentimental.
Vouloir rejoindre l'autre, c'est prendre le risque de s'impliquer.
Exprimer ses sentiments, c'est risquer de révéler sa véritable façon d'être,
d'affirmer à la face du monde ses idées et ses rêves, c'est risquer de perdre.
Aimer, c'est prendre le risque de ne pas être aimé en retour.
Vivre, c'est risquer de mourir.
Espérer, c'est risquer le désespoir.
Essayer, c'est risquer d'échouer.
Mais on se doit de risquer
parce que la plus sérieuse menace à la vie elle-même
se trouve dans l'absence du risque...
Anonyme
Rire, c'est risquer d'avoir l'air ridicule.
Pleurer, c'est risquer de paraître sentimental.
Vouloir rejoindre l'autre, c'est prendre le risque de s'impliquer.
Exprimer ses sentiments, c'est risquer de révéler sa véritable façon d'être,
d'affirmer à la face du monde ses idées et ses rêves, c'est risquer de perdre.
Aimer, c'est prendre le risque de ne pas être aimé en retour.
Vivre, c'est risquer de mourir.
Espérer, c'est risquer le désespoir.
Essayer, c'est risquer d'échouer.
Mais on se doit de risquer
parce que la plus sérieuse menace à la vie elle-même
se trouve dans l'absence du risque...
Anonyme