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le sourire
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toto
Re: le sourire
Qui ose risquer,
Aimer, c'est risquer le rejet.
Vivre, c'est risquer de mourir.
Espérer, c'est risquer la déception.
Essayer, c'est risquer l'échec.
Risquer est une nécessité.
Le plus grand des dangers,
C'est de ne pas risquer.
D'être enchaîné dans ses certitudes
Comme un esclave.
Seul celui qui ose risquer
Est vraiment libre !
Aimer, c'est risquer le rejet.
Vivre, c'est risquer de mourir.
Espérer, c'est risquer la déception.
Essayer, c'est risquer l'échec.
Risquer est une nécessité.
Le plus grand des dangers,
C'est de ne pas risquer.
D'être enchaîné dans ses certitudes
Comme un esclave.
Seul celui qui ose risquer
Est vraiment libre !
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dorémi
Re: le sourire
Les rides devraient simplement être l'empreinte des sourires
Mark Twain - Extrait de En suivant l'équateur
Mark Twain - Extrait de En suivant l'équateur
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Elsa
Re: le sourire
Voici mon plus beau sourire que vous devinerez dans ce très beau texte :
La vie
La vie est une chance, saisis-la.
La vie est beauté, admire-la.
La vie est béatitude, savoure-la.
La vie est un rêve, fais-en une réalité.
La vie est un défi, fais-lui face.
La vie est un devoir, accomplis-le.
La vie est un jeu, joue-le.
La vie est précieuse, prends-en soin.
La vie est une richesse, conserve-la.
La vie est amour, jouis-en.
La vie est un mystère, perce-le.
La vie est promesse, remplis-la.
La vie est tristesse, surmonte-la.
La vie est un hymne, chante-le.
La vie est un combat, accepte-le.
La vie est une tragédie, prends-la à bras-le-corps.
La vie est une aventure, ose-la.
La vie est bonheur, mérite-le.
La vie est la vie, défends-la.
Mère Teresa
La vie
La vie est une chance, saisis-la.
La vie est beauté, admire-la.
La vie est béatitude, savoure-la.
La vie est un rêve, fais-en une réalité.
La vie est un défi, fais-lui face.
La vie est un devoir, accomplis-le.
La vie est un jeu, joue-le.
La vie est précieuse, prends-en soin.
La vie est une richesse, conserve-la.
La vie est amour, jouis-en.
La vie est un mystère, perce-le.
La vie est promesse, remplis-la.
La vie est tristesse, surmonte-la.
La vie est un hymne, chante-le.
La vie est un combat, accepte-le.
La vie est une tragédie, prends-la à bras-le-corps.
La vie est une aventure, ose-la.
La vie est bonheur, mérite-le.
La vie est la vie, défends-la.
Mère Teresa
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Elsa
Re: le sourire
et voici une autre belle façon de voir la vie pour les travailleurs sociaux :
Et je vous dis que la vie est réellement obscurité,
Sauf là où il y a élan,
Et tout élan est aveugle sauf là où il y a le savoir
Et tout savoir est vain sauf là où il y a le travail
Et tout travail est vide sauf là où il y a amour.
Et qu'est-ce que travailler avec amour ?
C'est mettre en toute chose que vous façonnez
Un souffle de votre esprit.
Khalil Gibran
Et je vous dis que la vie est réellement obscurité,
Sauf là où il y a élan,
Et tout élan est aveugle sauf là où il y a le savoir
Et tout savoir est vain sauf là où il y a le travail
Et tout travail est vide sauf là où il y a amour.
Et qu'est-ce que travailler avec amour ?
C'est mettre en toute chose que vous façonnez
Un souffle de votre esprit.
Khalil Gibran
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toto
Re: le sourire
hello Elsa, bienvenue au club du sourire.
Et voici un beau texte sur l'écoute, une qualité/compétence oh combien utile dans l'exercice de nos métiers du social.
Écouter
Écouter est peut-être le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu'un... C'est lui dire, non pas avec des mots, mais avec ses yeux, son visage, son sourire et tout son corps : tu es important pour moi, tu es intéressant, je suis heureux que tu sois là... Pas étonnant si la meilleure façon pour une personne de se révéler à elle-même, c'est d'être écoutée par une autre !
Écouter, c'est commencer par se taire... Avez-vous remarqué comment les "dialogues" sont remplis d'expressions de ce genre : "c'est comme moi quand..." ou bien "çà me rappelle ce qui m'est arrivé..." Bien souvent, ce que l'autre dit n'est qu'une occasion de parler de soi.
Écouter, c'est commencer par arrêter son petit cinéma intérieur, son monologue portatif, pour se laisser transformer par l'autre. C'est accepter que l'autre entre en nous-mêmes comme il entrerait dans notre maison et s'y installerait un instant, s'asseyant dans notre fauteuil et prenant ses aises.
Écouter, c'est vraiment laisser tomber ce qui nous occupe pour donner tout son temps à l'autre. C'est comme pour une promenade avec un ami : marcher à son pas, proche mais sans gêner, se laisser conduire par lui, s'arrêter avec lui, repartir, pour rien, pour lui...
Écouter, c'est ne pas chercher à répondre à l'autre, sachant qu'il a en lui-même les réponses à ses propres questions. C'est refuser de penser à la place de l'autre, de lui donner des conseils et même de vouloir le comprendre.
Écouter, c'est accueillir l'autre avec reconnaissance tel qu'il se définit lui-même sans se substituer à lui pour lui dire ce qu'il doit être. C'est être ouvert positivement à toutes les idées, à tous les sujets, à toutes les expériences, à toutes les solutions, sans interpréter, sans juger, laissant à l'autre le temps et l'espace de trouver la voie qui est la sienne.
Écouter, ce n'est pas vouloir que quelqu'un soit comme ceci ou comme cela, c'est apprendre à découvrir ses qualités qui sont en lui spécifiques. Être attentif à quelqu'un qui souffre, ce n'est pas donner une solution ou une explication à sa souffrance, c'est lui permettre de la dire et de trouver lui-même son propre chemin pour s'en libérer.
Écouter, c'est donner à l'autre ce que l'on ne nous a peut-être encore jamais donné : de l'attention, du temps, une présence affectueuse.
Apprendre à écouter quelqu'un, c'est l'exercice le plus utile que nous puissions faire pour nous libérer de nos propres détresses... C'est en apprenant à écouter les autres que nous arrivons à nous écouter nous-mêmes, notre corps et toutes nos émotions, c'est le chemin pour apprendre à écouter la terre et la vie, c'est devenir poète, c'est-à-dire sentir le coeur et voir l'âme des choses.
A celui qui sait écouter, est donné de ne plus vivre à la surface : il communie à la vibration intérieure de tout vivant.
André Gromolard
Et voici un beau texte sur l'écoute, une qualité/compétence oh combien utile dans l'exercice de nos métiers du social.
Écouter
Écouter est peut-être le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu'un... C'est lui dire, non pas avec des mots, mais avec ses yeux, son visage, son sourire et tout son corps : tu es important pour moi, tu es intéressant, je suis heureux que tu sois là... Pas étonnant si la meilleure façon pour une personne de se révéler à elle-même, c'est d'être écoutée par une autre !
Écouter, c'est commencer par se taire... Avez-vous remarqué comment les "dialogues" sont remplis d'expressions de ce genre : "c'est comme moi quand..." ou bien "çà me rappelle ce qui m'est arrivé..." Bien souvent, ce que l'autre dit n'est qu'une occasion de parler de soi.
Écouter, c'est commencer par arrêter son petit cinéma intérieur, son monologue portatif, pour se laisser transformer par l'autre. C'est accepter que l'autre entre en nous-mêmes comme il entrerait dans notre maison et s'y installerait un instant, s'asseyant dans notre fauteuil et prenant ses aises.
Écouter, c'est vraiment laisser tomber ce qui nous occupe pour donner tout son temps à l'autre. C'est comme pour une promenade avec un ami : marcher à son pas, proche mais sans gêner, se laisser conduire par lui, s'arrêter avec lui, repartir, pour rien, pour lui...
Écouter, c'est ne pas chercher à répondre à l'autre, sachant qu'il a en lui-même les réponses à ses propres questions. C'est refuser de penser à la place de l'autre, de lui donner des conseils et même de vouloir le comprendre.
Écouter, c'est accueillir l'autre avec reconnaissance tel qu'il se définit lui-même sans se substituer à lui pour lui dire ce qu'il doit être. C'est être ouvert positivement à toutes les idées, à tous les sujets, à toutes les expériences, à toutes les solutions, sans interpréter, sans juger, laissant à l'autre le temps et l'espace de trouver la voie qui est la sienne.
Écouter, ce n'est pas vouloir que quelqu'un soit comme ceci ou comme cela, c'est apprendre à découvrir ses qualités qui sont en lui spécifiques. Être attentif à quelqu'un qui souffre, ce n'est pas donner une solution ou une explication à sa souffrance, c'est lui permettre de la dire et de trouver lui-même son propre chemin pour s'en libérer.
Écouter, c'est donner à l'autre ce que l'on ne nous a peut-être encore jamais donné : de l'attention, du temps, une présence affectueuse.
Apprendre à écouter quelqu'un, c'est l'exercice le plus utile que nous puissions faire pour nous libérer de nos propres détresses... C'est en apprenant à écouter les autres que nous arrivons à nous écouter nous-mêmes, notre corps et toutes nos émotions, c'est le chemin pour apprendre à écouter la terre et la vie, c'est devenir poète, c'est-à-dire sentir le coeur et voir l'âme des choses.
A celui qui sait écouter, est donné de ne plus vivre à la surface : il communie à la vibration intérieure de tout vivant.
André Gromolard
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elsa
Re: le sourire
merci toto,
encore une belle réflexion sur l'écoute :
Veux-tu simplement m'écouter ?
Quand je te demande de m'écouter
et que tu commences à me donner des conseils,
je n'ai pas de réponse à ma demande.
Quand je te demande de m'écouter
et que tu commences à me dire pourquoi je ne devrais pas ressentir cela,
je ne me sens pas respecté.
Quand je te demande de m'écouter
et que tu commences à vouloir faire quelque chose pour résoudre mon problème,
je ne me sens pas aidé, aussi étrange que cela puisse paraître.
Ecoute, tout ce que je te demande, c'est que tu m'écoutes.
Non pas que tu parles ou que tu fasses quelque chose :
je te demande simplement de m'écouter.
Les conseils sont bon marché.
Pour deux euros, j'aurai dans le même journal
le courrier du cœur et mon horoscope.
Je veux agir par moi-même, je ne suis pas impuissant,
peut-être un peu découragé ou hésitant,
mais non impotent.
Quand tu fais quelque chose pour moi,
que je peux et ai besoin de faire moi-même,
je me sens dévalorisé et je ne progresse pas.
Mais quand tu acceptes comme un simple fait
que je ressente ce que je ressens (peu importe la rationalité),
je peux arrêter de chercher à te convaincre,
et je peux essayer de commencer à comprendre
ce qu'il y a derrière mes sentiments apparemment irrationnels.
Lorsque je vois clair, les réponses deviennent évidentes
et je n'ai pas besoin de conseil.
Les sentiments qui semblaient irrationnels deviennent intelligibles
quand nous comprenons ce qu'il y a derrière.
Peut-être est-ce pour cela que la prière marche, parfois, car Dieu ne parle pas.
Il ne donne pas de conseils à ceux qui n'en demandent pas.
Il n'essaye pas d'arranger les choses sans se soucier de ma liberté.
Alors, s'il te plaît, écoute-moi.
Et quand tu voudras que je t'écoute, demande-le-moi et je t'écouterai.
Auteur anonyme indien
encore une belle réflexion sur l'écoute :
Veux-tu simplement m'écouter ?
Quand je te demande de m'écouter
et que tu commences à me donner des conseils,
je n'ai pas de réponse à ma demande.
Quand je te demande de m'écouter
et que tu commences à me dire pourquoi je ne devrais pas ressentir cela,
je ne me sens pas respecté.
Quand je te demande de m'écouter
et que tu commences à vouloir faire quelque chose pour résoudre mon problème,
je ne me sens pas aidé, aussi étrange que cela puisse paraître.
Ecoute, tout ce que je te demande, c'est que tu m'écoutes.
Non pas que tu parles ou que tu fasses quelque chose :
je te demande simplement de m'écouter.
Les conseils sont bon marché.
Pour deux euros, j'aurai dans le même journal
le courrier du cœur et mon horoscope.
Je veux agir par moi-même, je ne suis pas impuissant,
peut-être un peu découragé ou hésitant,
mais non impotent.
Quand tu fais quelque chose pour moi,
que je peux et ai besoin de faire moi-même,
je me sens dévalorisé et je ne progresse pas.
Mais quand tu acceptes comme un simple fait
que je ressente ce que je ressens (peu importe la rationalité),
je peux arrêter de chercher à te convaincre,
et je peux essayer de commencer à comprendre
ce qu'il y a derrière mes sentiments apparemment irrationnels.
Lorsque je vois clair, les réponses deviennent évidentes
et je n'ai pas besoin de conseil.
Les sentiments qui semblaient irrationnels deviennent intelligibles
quand nous comprenons ce qu'il y a derrière.
Peut-être est-ce pour cela que la prière marche, parfois, car Dieu ne parle pas.
Il ne donne pas de conseils à ceux qui n'en demandent pas.
Il n'essaye pas d'arranger les choses sans se soucier de ma liberté.
Alors, s'il te plaît, écoute-moi.
Et quand tu voudras que je t'écoute, demande-le-moi et je t'écouterai.
Auteur anonyme indien
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do
Re: le sourire
Ecoutez ce que je ne dis pas, je vous en prie
Ne soyez pas trompé par mon visage parce que je porte mille masques
Et aucun n'est mon vrai moi.
N'en soyez pas trompé, au nom de Dieu, je vous en prie.
Je vous donne l'impression d'être sûr de moi,
Plein de confiance et de tranquillité,
Que je n'ai besoin de personne : Ne me croyez pas.
Sous ce masque, il y a le vrai moi, confus, craintif, isolé.
C'est pour cela que je me crée un masque, pour me cacher,
Pour me protéger du regard qui voit.
Et pourtant ce regard est précisément mon salut.
A condition que je l'accepte, s'il contient de l'amour,
C'est la seule chose qui peut me libérer
Des murs de la prison que j'ai moi-même élevés.
J'ai peur de ne valoir rien, de n'être bon à rien,
Et que vous le verrez et me rejetterez.
Alors, commence la parade des masques.
Je bavarde avec vous,
Je vous dis tout ce qui n'est rien,
Et rien de ce qui m'est tout et qui pleure en moi.
S’IL VOUS PLAIT,
ECOUTEZ SOIGNEUSEMENT
ET ESSAYEZ D’ENTENDRE CE QUE JE NE DIS PAS
J'ai vraiment envie d'être sincère, vrai, spontané, d'être moi-même.
Mais il faut que vous m'aidiez. Il faut que vous me tendiez la main.
Chaque fois que vous êtes bienveillant, doux et encourageant,
Chaque fois que vous vous efforcez de comprendre par véritable intérêt pour moi,
Mon coeur a des ailes, des ailes très faibles, mais enfin des ailes.
Par votre sensitivité, votre sympathie, votre puissance de compréhension
Vous seul pouvez me libérer de l'ombre de mon incertitude,
De ma prison solitaire.
Ce n'est pas facile pour vous,
Car plus vous m'approchez, plus je me défends.
Mais on me dit que l'amour est plus fort que les murs des prisons
C'est en ceci qu'est mon espoir, mon seul espoir.
Essayez, je vous en prie de faire tomber ces murs d'une main ferme
Mais douce, car un enfant est sensible.
Qui suis-je, vous demandez-vous ?
Je suis quelqu'un que vous connaissez très bien.
Car je suis chaque homme, je suis chaque femme que vous rencontrez,
Et je suis aussi VOUS-MEME.
Anonyme
Ne soyez pas trompé par mon visage parce que je porte mille masques
Et aucun n'est mon vrai moi.
N'en soyez pas trompé, au nom de Dieu, je vous en prie.
Je vous donne l'impression d'être sûr de moi,
Plein de confiance et de tranquillité,
Que je n'ai besoin de personne : Ne me croyez pas.
Sous ce masque, il y a le vrai moi, confus, craintif, isolé.
C'est pour cela que je me crée un masque, pour me cacher,
Pour me protéger du regard qui voit.
Et pourtant ce regard est précisément mon salut.
A condition que je l'accepte, s'il contient de l'amour,
C'est la seule chose qui peut me libérer
Des murs de la prison que j'ai moi-même élevés.
J'ai peur de ne valoir rien, de n'être bon à rien,
Et que vous le verrez et me rejetterez.
Alors, commence la parade des masques.
Je bavarde avec vous,
Je vous dis tout ce qui n'est rien,
Et rien de ce qui m'est tout et qui pleure en moi.
S’IL VOUS PLAIT,
ECOUTEZ SOIGNEUSEMENT
ET ESSAYEZ D’ENTENDRE CE QUE JE NE DIS PAS
J'ai vraiment envie d'être sincère, vrai, spontané, d'être moi-même.
Mais il faut que vous m'aidiez. Il faut que vous me tendiez la main.
Chaque fois que vous êtes bienveillant, doux et encourageant,
Chaque fois que vous vous efforcez de comprendre par véritable intérêt pour moi,
Mon coeur a des ailes, des ailes très faibles, mais enfin des ailes.
Par votre sensitivité, votre sympathie, votre puissance de compréhension
Vous seul pouvez me libérer de l'ombre de mon incertitude,
De ma prison solitaire.
Ce n'est pas facile pour vous,
Car plus vous m'approchez, plus je me défends.
Mais on me dit que l'amour est plus fort que les murs des prisons
C'est en ceci qu'est mon espoir, mon seul espoir.
Essayez, je vous en prie de faire tomber ces murs d'une main ferme
Mais douce, car un enfant est sensible.
Qui suis-je, vous demandez-vous ?
Je suis quelqu'un que vous connaissez très bien.
Car je suis chaque homme, je suis chaque femme que vous rencontrez,
Et je suis aussi VOUS-MEME.
Anonyme
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toto
Re: le sourire
Travail d'équipe
Lorsque les oies volent en formation,
elles vont environ 70 % plus vite
que lorsqu'elles volent seules.
Les oies partagent la direction.
Lorsque la meneuse fatigue,
elle reprend sa place dans le V
et une autre prend la tête.
Les oies tiennent compagnie à celles qui tombent.
Lorsqu'une oie malade ou faible
doit quitter la formation de vol,
au moins une autre oie se joint à elle
pour l'aider et la protéger.
En faisant partie d'une équipe, nous aussi
nous pouvons faire beaucoup plus et beaucoup plus rapidement.
Les mots d'encouragement et d'appui
(comme les cris de l'oie)
contribuent à inspirer et à stimuler
ceux qui sont en première ligne,
les aidant à soutenir le rythme,
les tensions et la fatigue quotidienne.
Il y a enfin la compassion et l'altruisme
envers ceux qui appartiennent à l'ultime équipe
que représente l'humanité...
La prochaine fois que vous verrez une formation d'oies,
rappelez-vous que c'est à la fois
un enrichissement, un défi et un privilège
que d'être membre à part entière d'une équipe.
Wallace Co. Inc.
Lorsque les oies volent en formation,
elles vont environ 70 % plus vite
que lorsqu'elles volent seules.
Les oies partagent la direction.
Lorsque la meneuse fatigue,
elle reprend sa place dans le V
et une autre prend la tête.
Les oies tiennent compagnie à celles qui tombent.
Lorsqu'une oie malade ou faible
doit quitter la formation de vol,
au moins une autre oie se joint à elle
pour l'aider et la protéger.
En faisant partie d'une équipe, nous aussi
nous pouvons faire beaucoup plus et beaucoup plus rapidement.
Les mots d'encouragement et d'appui
(comme les cris de l'oie)
contribuent à inspirer et à stimuler
ceux qui sont en première ligne,
les aidant à soutenir le rythme,
les tensions et la fatigue quotidienne.
Il y a enfin la compassion et l'altruisme
envers ceux qui appartiennent à l'ultime équipe
que représente l'humanité...
La prochaine fois que vous verrez une formation d'oies,
rappelez-vous que c'est à la fois
un enrichissement, un défi et un privilège
que d'être membre à part entière d'une équipe.
Wallace Co. Inc.
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toto
Re: le sourire
Quand lui, quand moi
Quand lui n'achève pas son travail,
je me dis, il est paresseux.
Quand moi, je n'achève pas mon travail,
c'est que je suis trop occupé, trop surchargé.
Quand lui parle de quelqu'un,
c'est de la médisance.
Quand je le fais,
c'est de la critique constructive.
Quand lui tient à son point de vue,
c'est un entêté.
Quand moi je tiens à mon point de vue,
c'est de la fermeté.
Quand lui prend du temps pour faire quelque chose,
il est lent.
Quand moi je prends du temps pour faire quelque chose,
je suis soigneux.
Quand lui est aimable,
il doit avoir une idée derrière la tête.
Quand moi je suis aimable,
je suis vertueux.
Quand lui est rapide pour faire quelque chose,
il bâcle.
Quand moi je suis rapide pour faire quelque chose,
je suis habile.
Quand lui fait quelque chose sans qu'on le lui dise,
il s'occupe de ce qui ne le regarde pas.
Quand moi je fais quelque chose sans qu'on me le dise,
je prends des initiatives.
Quand lui défend ses droits,
c'est un mauvais esprit.
Quand moi je défends mes droits,
je montre du caractère.
Pierre Descouvemont, Guide des difficultés de la vie quotidienne
Quand lui n'achève pas son travail,
je me dis, il est paresseux.
Quand moi, je n'achève pas mon travail,
c'est que je suis trop occupé, trop surchargé.
Quand lui parle de quelqu'un,
c'est de la médisance.
Quand je le fais,
c'est de la critique constructive.
Quand lui tient à son point de vue,
c'est un entêté.
Quand moi je tiens à mon point de vue,
c'est de la fermeté.
Quand lui prend du temps pour faire quelque chose,
il est lent.
Quand moi je prends du temps pour faire quelque chose,
je suis soigneux.
Quand lui est aimable,
il doit avoir une idée derrière la tête.
Quand moi je suis aimable,
je suis vertueux.
Quand lui est rapide pour faire quelque chose,
il bâcle.
Quand moi je suis rapide pour faire quelque chose,
je suis habile.
Quand lui fait quelque chose sans qu'on le lui dise,
il s'occupe de ce qui ne le regarde pas.
Quand moi je fais quelque chose sans qu'on me le dise,
je prends des initiatives.
Quand lui défend ses droits,
c'est un mauvais esprit.
Quand moi je défends mes droits,
je montre du caractère.
Pierre Descouvemont, Guide des difficultés de la vie quotidienne