bonsoir,
je doit, fin août, rendre mon monographie. Je suis en 1° année marketing et je n'ai même pas encore trouve le sujet. Que faut-il faire pour prendre mon courage à deux mains, me secouer et creuser au fond de mes méninges pour pouvoir rédiger ce travail. le temps passe si vite que je me sens paralysée et prête à abondonner. Ce travail est capîtale dans la mesure où si je ne le présente pas le résultat peut être carastrophique et le redoublement est envisagable et même certain. sujet, rédaction et présentation du monographie est accessible ou impossible? TELLE EST LA QUESTION
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monographie
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loli
Re: monographie
bonjour léna, bonjour sophie !
Je suis en deuxième année de formation TISF en contrat de qualification dans une association. J'ai la possibilité de faire beaucoup de terrain et j'interviens le plus souvent seule mais en bénéficiant du soutien précieux de ma hiérarchie. L'équipe de TISF avec qui je travaille est composée de personnes relativement jeunes. Cependant j'ai l'occasion régulièrement d'échanger avec mes collègues de promo et mes collègues de boulot qui ont travaillé ou fait des stages avec des TISF dites de "l'ancienne génération". Le terme est un peu batard mais voici ce qui ressort des discours le plus souvent. En fait les anciennes travailleuses familiales aujourd'hui TISF auraient PRIORITAIREMENT axé leurs interventions autour du ménage. Il semblerait que certaines d'entre elles auraient franchi certaines barrières à ne pas dépasser. Par exemple elles font la bise aux parents quand elles arrivent à leur domicile, elles prennent beaucoup de temps pour boire le café et peuvent fumer une cigarette en compagnie des parents.
En ce qui concerne les conditions de travail elles accepteraient toujours pour certaines d'entre elles des conditions de travail précaire (jour de repos travaillés non récupérés ou rémunérés, heures supplémentaires non payées et non récupérées. Elles accepteraient des changements de planning incessants sans jamais se plaindre. Malheureusement, au bout du compte il y aurait régulièrement pour certaines des arrêts de travail à répétition peut être dues à ce rythme de travail délirant !
Enfin concernant les écrits que nous devons trés souvent rédiger suite à nos interventions il semblerait que pour les anciennes (pas toutes bien sur), ce soit difficile car ellse n'ont pas été formé à la rédaction de ces rapports. Cette dernière info je la tiens d'une ancienne travailleuse familiale.
Tous ces éléments ne signifient pas que les anciennes travailleuses familiales soient moins compétentes que les autres. Je suis certaine que beaucoup d'entre elles ont passé sans difficulté le cap de changement de statut des tisf. Maintenant il est vrai que la formation qui est toute récente est plus pointue que celle reçues il y a quelques décenies en arrière.
Je vais me permettre de reprendre ce qu'a dit Léna, en cours nous avons abordé l'approche systémique, résilience, parentalité, actions collectives sont au programme. Je tenais à le préciser tout de même c'est important.
Voilà , bonne continuation à toutes et travaillons main dans la mains anciennes ou pas. On fait le même métier !
Je suis en deuxième année de formation TISF en contrat de qualification dans une association. J'ai la possibilité de faire beaucoup de terrain et j'interviens le plus souvent seule mais en bénéficiant du soutien précieux de ma hiérarchie. L'équipe de TISF avec qui je travaille est composée de personnes relativement jeunes. Cependant j'ai l'occasion régulièrement d'échanger avec mes collègues de promo et mes collègues de boulot qui ont travaillé ou fait des stages avec des TISF dites de "l'ancienne génération". Le terme est un peu batard mais voici ce qui ressort des discours le plus souvent. En fait les anciennes travailleuses familiales aujourd'hui TISF auraient PRIORITAIREMENT axé leurs interventions autour du ménage. Il semblerait que certaines d'entre elles auraient franchi certaines barrières à ne pas dépasser. Par exemple elles font la bise aux parents quand elles arrivent à leur domicile, elles prennent beaucoup de temps pour boire le café et peuvent fumer une cigarette en compagnie des parents.
En ce qui concerne les conditions de travail elles accepteraient toujours pour certaines d'entre elles des conditions de travail précaire (jour de repos travaillés non récupérés ou rémunérés, heures supplémentaires non payées et non récupérées. Elles accepteraient des changements de planning incessants sans jamais se plaindre. Malheureusement, au bout du compte il y aurait régulièrement pour certaines des arrêts de travail à répétition peut être dues à ce rythme de travail délirant !
Enfin concernant les écrits que nous devons trés souvent rédiger suite à nos interventions il semblerait que pour les anciennes (pas toutes bien sur), ce soit difficile car ellse n'ont pas été formé à la rédaction de ces rapports. Cette dernière info je la tiens d'une ancienne travailleuse familiale.
Tous ces éléments ne signifient pas que les anciennes travailleuses familiales soient moins compétentes que les autres. Je suis certaine que beaucoup d'entre elles ont passé sans difficulté le cap de changement de statut des tisf. Maintenant il est vrai que la formation qui est toute récente est plus pointue que celle reçues il y a quelques décenies en arrière.
Je vais me permettre de reprendre ce qu'a dit Léna, en cours nous avons abordé l'approche systémique, résilience, parentalité, actions collectives sont au programme. Je tenais à le préciser tout de même c'est important.
Voilà , bonne continuation à toutes et travaillons main dans la mains anciennes ou pas. On fait le même métier !