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revalorisation du point avs

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marielo

Re: revalorisation du point avs

Message non lu par marielo » 25 mars 2013 23:03

"Libellule "

Oui ,on considère souvent que les aides à domiciles sont des imbéciles .

Mais c'est hélas souvent la réalité ;DESOLEE ! = j'ai plein de collègues qui sont des "imbéciles" ...

Quitte à me faire "incendier" ,c'est pas grave ,j'assume !

Beaucoup ont "un pois chiche" dans la tête ,et tant que notre emploi ne sera pas reconnu à sa juste valeur (reconnaissance,salaire ,formation )
on aura toujours des brebis galeuses et des nulles pour assister nos personnes dépendantes ...

Nous ne serons jamais crédibles tant que nous aurons des "boulets" comme " collègues aux pois chiche"

On embauche n'importe qui .

flory

Re: revalorisation du point avs

Message non lu par flory » 26 mars 2013 08:57

eh bien .....je crois qu'on n'a besoin de personne pour se fiche de nous et nous presser comme des citrons, on le fait tres bien nous-meme n'est-ce pas ?

c'est peut etre les leaders qui ne sont pas bons? faut dire que si on me traite d'imbecile et de citrons presses...j'ai plus envie de tourner les talons

y'a 1 gros travail de terrain a faire oui, c'est pas en me traitant d'imbecile que ça ira mieux par contre

marielo

Re: revalorisation du point avs

Message non lu par marielo » 26 mars 2013 21:28

"flory" bonsoir .
Je n'ai pas bien compris ta réponse ,mais il est bien évident pour moi que tu n'es pas concernée par les personnes ciblées dont je parle ,si c'est ce que tu sous-entends ?
(Je doute d'ailleurs que bon nombre d'entre elles se pointent ici sur ce forum !)

Allez bon !on peut me taxer de mauvaise collègue ,on peut me reprocher mon manque de solidarité et autre ,peu m'importe : cela n'empêche que de temps en temps ,comme hier soir ,je rage toute seule dans mon coin,face à l'incapacité de certaines à exercer ce métier intelligemment ,pour des choses" toutes cons et toutes bêtes " ! ( ne me dites pas que toutes vos collègues sont tip top,ne me dites pas que certaines n'ont pas un pois chiche dans la tête , je ne vous croirais pas : sauf si vous n'êtes que 10 dans l'entreprise ...)

Je passe sur celles qui sont peu scrupuleuses et qui adaptent leur travail en fonction de leur salaire : " payée des clopinettes , je me casse pas la nénette "

libellule

Re: revalorisation du point avs

Message non lu par libellule » 27 mars 2013 09:35

Bonjour,

J'ai lancé un pavé dans la mare pourtant il faut qu'on comprenne que je ne considère pas que mes collègues sont des imbéciles, et que je me sens solidaire même des poids chiche. Je constate par contre que la masse des aides à domicile, en tant qu’entité, est une imbécile de première, que notre profession est archinulle dans la conscience qu’elle a de son identité, et telle une bécassine, elle ne sait pas parler, elle se comporte comme si elle était muette, donc comme si elle n’existait pas vraiment. C’est d’ailleurs pour cela qu’on se fait piétiner et qu’on nous méprise, qu’on nous confond avec des « femmes de ménage » dans le sens « péjoratif » du terme, c'est-à-dire ‘des bonnes à tout faire » ou même « des souillons ». C’est pour cela qu’on nous asservit si facilement, et que j’ai vraiment le sentiment d’un retour au moyen-âge et au servage.

Je sais que les situations que nous vivons peuvent être très différentes d'une association à l'autre, même si ces associations sont voisines comme dans la commune d'à côté.
Par exemple, j'ai cru comprendre, Mariélo, que ton association marche plutôt bien, que la CC à l'air d'être pas trop mal appliquée, que votre employeur à l'air d'être assez respectueux des salariés. Mais peut-être y a-t-il près de chez toi comme dans beaucoup de départements actuellement, des associations en crise, où manifestement cela ne va pas du tout, la presse locale en parle, il y a des diminutions de contrats imposés ou des licenciements (c’est le cas chez moi). Les aides à domicile du secteur assistent mais ne réagissent pas, pourquoi cette inertie ?

Et d'un point de vue plus général, pourquoi ne réagissons nous pas en masse à la non revalorisation du point, à la non revalorisation des indemnités kilométriques (alors que là on a une arme absolument infaillible si on décide de laisser notre voiture sur le parking de l'association). Pourquoi ne réagissons nous pas alors qu'on subit des contrats partiels contraints quand le code du travail stipule que le droit au temps plein ou au temps choisi est un droit pour tous ceux qui le demande ?
Pourquoi ne réagissons pas en masse lorsque l'on assiste à des licenciements dans une association voisine, alors que l'occasion de faire entendre nos voix par voie de presse est une occasion rêvée pour interpeller les pouvoirs publics et le Conseil Général qui est en fait notre principal employeur, vu que nos associations sont financées à 80 voire 90 % par le CG ?

Que faut-il faire pour que la masse se réveille et prenne enfin conscience qu’elle représente une force certaine face aux pouvoirs publics ?

Libellule

Re: revalorisation du point avs

Message non lu par Libellule » 27 mars 2013 10:00

Les pois chiche,

J’ai aussi des collègues qui ont un pois chiche comme cerveau, ce n'est pas de leur faute, elles ont comme nous toutes le droit de travailler. Je pense comme Mariélo qu'il faudrait obliger nos employeurs à ne pas employer n'importe qui pour intervenir auprès d'un public fragile. Il faudrait qu'auprès de ce public fragile n'interviennent que les catégories C et les B et A qui s'engagent dans un parcours de formation les menant au DEAVS. Pour les catégories A qui ne veulent pas se professionnaliser, il faudrait les cantonner à des interventions de ménage.
L'objectif de mon pavé n'était pas tout à fait dans cet esprit. Il y a parmi nos collègues des pois chiches qui ont l'esprit de solidarité, et des collègues intelligentes qui se la jouent personnelles, et cela, pour faire évoluer nos revendications c'est le plus gênant.

Je pense qu’on pourra faire entendre cette revendication uniquement le jour où les pouvoirs publics prendront notre profession au sérieux. Et ils ne prendront notre profession d’AVS au sérieux uniquement que lorsqu’on aura réussit à faire respecter nos droits. Tant qu’on nous considérera que comme des souillons on continuera à nous piétiner et à nous presser comme des citrons (cela arrange tout le monde car le temps est aux économies faites sur le dos des plus faibles).
Je sais que nous sommes nombreuses à être fière de notre profession, à y croire, mais si nous restons seules dans nos coins respectifs, nous resterons inaudibles. A moins qu’une d’entre nous soit assez folle pour grimper au sommet d’une grue et menace de se jeter dans le vide si l’on n’accepte pas de diffuser sa parole sur les chaines de TV aux heures de grande écoute. Mais même là la masse bougerait-elle ?

flory

Re: revalorisation du point avs

Message non lu par flory » 27 mars 2013 14:14

pourquoi ça bouge pas vite ? vous avez la reponse ici ==> http://www.monde-diplomatique.fr/2011/09/SOUCHON/20961

tres bon article qui resume bien le problème,
il faut se mettre ces gens de notre coté , les prendre de haut et exiger que tout change dans la seconde n'est pas le meilleur moyen

gigi50

Re: revalorisation du point avs

Message non lu par gigi50 » 27 mars 2013 18:33

Ma question me paraissait simple pourtant je n'ai pas vu beaucoup de volontaires pour se bouger a part pour critiquer ses collégues! Je suis consternée par le manque de respect!! Des salariées plus au moins efficacent il y en a toujours eu mais elles ont le droit au travail et qui sommes nous pour les juger? Le but de ma proposition était d'essayer de faire respecter nos droits (salariale, kilométriques, congés....) mais visiblement vous préferez geindre et vous placer en victime que de prendre vos responsabilités (je suis un peu dur mais j'assume!!!) Donc je rèitere ma question etes vous prétes a bouger?

flory

Re: revalorisation du point avs

Message non lu par flory » 28 mars 2013 08:44

gigi50,pour ce qui est de bouger au niveau national, je me calque sur mon syndicat et sur ce qu'il decide, qui est le resultat des negos nationales, congres federal de notre branche etc...
je vais pas faire bouger la region centre a moi toute seule, meme avec un bon haut-parleur

par contre,tenter de faire changer les mentalites des collegues et faire ce travail de terrain tous les jours necessaire pour essayer d' avancer: oui, je fais ça tous les jours

bientot on aura des elections dp, quelque soit le resultat, je compte bien tout mettre en oeuvre pour ameliorer notre situation, elue ou pas elue , meme but : faire appliquer les textes de la branche et negocier/revendiquer, avec l'aide et l'experience de mon union locale, autrement dit les choses serieues commencent, mais au niveau tres local

tout faire au niveau assoc : oui
faire bouger la region centre : non, je ne peux pas m'en occuper, je peux juste tout faire pour etre le declencheur de qqchose

Libellule

Re: revalorisation du point avs

Message non lu par Libellule » 28 mars 2013 12:52

Bonjour Flory et tout le monde,

J'ai beaucoup apprécié l'article du Monde Diplomatique dont tu as donné le lien, le tableau brossé est l'exacte vérité. Je note ici la phrase où il est question de Michel SAPIN notre ministre actuel du Travail, de l'Emploi et du Dialogue social. C'est ce personnage politique qui est le premier concerné par notre situation, pourtant dans le témoignage de l'AD de l'article, celle-ci dit :
"Mme Bonneterre (AD en mandataire)... se rend régulièrement à la permanence de M. Michel Sapin, député-maire socialiste d’Argenton-sur-Creuse : « Il est gentil, il m’écoute, mais il s’en fout : je ne représente que moi. »

C'est bien là tout le problème de notre profession qui n'a aucune identité (nous ne sommes que nous, c.a.d. des individus isolés), et c'est ce que j'ai écrit plus haut, nous ne pouvons pas compter sur les pouvoirs publics, même pas sur ces ministres qui se disent de gauche et qui s'en foutent royalement! Quel cynisme ce ministre !
C'est évident nous ne pouvons compter que sur nous mêmes, c'est pour cela que nous devons absolument prendre conscience que nous avons toutes besoin les unes des autres, c'est pour cela que nous devons porter nos efforts sur une prise de conscience de notre identité professionnelle commune.

Comment nous constituer une identité professionnelle forte ? Ce n'est sûrement pas en considérant que notre travail n'est qu'un travail d'appoint ! Il faut absolument lutter contre ce triste état de fait.

La priorité des priorités pour qu'on arrive à renforcer notre identité professionnelle me semble être la revendication au temps plein ou au temps choisi. Il faut rapidement en finir avec le temps partiel contraint, facteur de précarité et de pauvreté, et responsable de l'abandon des meilleures d'entres nous, celles qui ont fait l'effort de se professionnaliser et qui ont obtenu le DEAVS. Combien d'avs finissent par aller voir ailleurs, et réussissent à décrocher un emploi plus sécurisant dans un hôpital, une maison de retraite, un foyer de personnes handicapés, etc. On ne peut guère leur en vouloir, mais ces désertifications affaiblissent notre profession.

Il faut assurer un vrai salaire à tous ceux qui veulent s'investir dans le métier.

Nous AVS, derrières nos DP nous devons dire NON NOTRE TRAVAIL N'EST PAS UN TRAVAIL D'APPOINT - NOUS REVENDIQUONS LE DROIT DE POUVOIR VIVRE DE NOTRE TRAVAIL.
Cela passe évidemment par un contrat assurant un nombre d'heures suffisant pour nous assurer un revenu qui nous permette de nous prendre en charge.

Dans notre association cela fait presque 10 ans que nos DP se battent pour qu'aucun CDD ne soit signé avant que les heures disponibles ne soient distribuées en priorité aux salariés qui en font la demande. Elles demandent depuis des années à vérifier le volume de l'activité et la distribution des heures. Elles apprennent souvent après coup, qu'une salariée sur qui la direction a fait pression a accepté une diminution de son temps de travail (avenant à la baisse), alors que dans le même temps l'association a embauché de nouveaux salariés. Ce cas est très très fréquents.
Comment s'y prend la direction pour réussir ces coups bas ? C'est assez simple, les DP syndiquées sont qualifiées de pestes désireuses de ruiner l'association, et avoir recours à elles où même les approcher et oser discuter avec elles, c'est s'assurer d'avoir des plannings à trous, des interventions auprès de personnes acariâtres voire violentes, d'avoir les interventions les plus éloignées donc les plus coûteuses, etc. donc c'est s’assurer d'avoir rapidement plein d'ennuis. Les secrétaires, bons soldats au service de la direction, veillent à bien faire passer le message.
Aujourd'hui notre association a de grosses difficultés financières et un audit externe à été mené sur sa gestion. Cet audit a révélé que le temps de travail moyen par salarié était inférieur au mi-temps alors que nous sommes une grosse association ayant un CE. Cela fait des années que notre direction mentait aux représentants du personnel, et trichait sur les informations données au CE. Les DP s'en doutaient bien et ont fait intervenir à de multiples reprises l'inspecteur du travail qui rappelait le droit, mais sans une expertise approfondie de la situation, la direction s'en sortait toujours grâce à ses mensonges et tricheries.

Notre association appartient à une très grande enseigne et il est fort probable que ces méthodes "mafieuses" soient largement répandues et qu'elles viennent du plus haut de la hiérarchie, l'union qui a son siège dans la capitale.
La précarité est une politique sciemment voulue, vu la situation économique du pays depuis des années et le chômage grandissant, il est tout simplement question de maintenir une frange de la population (frange toujours plus grande), de maintenir cette frange dans la pauvreté pour pouvoir mieux l'asservir. Nous revoilà des centaines d'années en arrière, le retour aux privilèges pour certains et au servage pour nous.

Flory, ton syndicat est aussi le nôtre. Je pense aussi qu'il faut faire l'effort de se syndiquer, cela coûte cher pour le salarié qui subit un petit temps partiel, il faudrait une cotisation moindre pour eux, voire l'euro symbolique, sinon on n'avancera pas. Le syndicalisme n'est pas la panacée mais il n'existe rien de mieux actuellement.

Désolée de faire long. Mon cheval de bataille vous a sans doute semblé être nos indemnités kilométriques et la voiture de service. En fait ma priorité depuis toujours est le droit au temps plein ou au temps choisi. Je sais (comme le dit très bien l’article du Monde Diplomatique) que la grève n'est pas envisageable pour les AD, que c'est même difficile de mobiliser pour une simple manifestation un après-midi. Nous avons quand même une arme infaillible et qui devrait être facile à utiliser. Cette arme c'est notre voiture que nous mettons gracieusement à la disposition de nos employeurs, et par delà au service du Conseil Général et de la société entière car NOUS FAISONS UN SERVICE PUBLIC, il faut absolument que nous en ayons conscience, nous devrions d’ailleurs être considérées comme des fonctionnaires.

Nous pouvons très bien, du jour au lendemain laisser nos voitures sur le parking de notre association et dire
STOP, OU VOUS NOUS DONNEZ L'OUTIL POUR ALLER CHEZ L'USAGER - OU VOUS NOUS ACCORDEZ LA RECONNAISSANCE PROFESSIONNELLE ET TOUS LES DROITS QUI VONT AVEC.

Il faut que tout le monde comprenne que laisser sa voiture sur le parking ce n'est pas s'arrêter de travailler, ce n'est absolument pas faire grève. Si nos employeurs ne sont pas capables de nous donner les outils de déplacement pour allez chez l'usager (voiture de service) cela est de leur responsabilité entière, ET ILS DOIVENT QUAND MÊME NOUS PAYER LES HEURES PASSÉES SUR LE PARKING CAR CE TEMPS EST UN TEMPS DE TRAVAIL EFFECTIF !
Bien sûre que nous n’aurons pas nos voitures de service du jour au lendemain, nous ne les aurons même pas dans l'année à venir ni dans les 3 ans à venir probablement, mais ni nos associations ni le Conseil Général ne resteront inertes, ils seront dans l'obligation de revoir les conditions de nos emplois, ils seront dans l'obligation de composer avec nous. Et qu'ils ne nous renvoient pas à notre CCUBAD, CC non signé par nos syndicats CGT ET FO...

VOICI CE QUE NOUS POUVONS CLAMER :

VOULEZ-VOUS QU'ON CONTINUE A METTRE NOS VOITURE AUX SERVICE DE NOS ASSOCIATIONS ?
ALORS DONNEZ NOUS L'ASSURANCE :
1° QU'AUCUNE EMBAUCHE NOUVELLE NE PUISSE SE FAIRE DANS L'ASSOCIATION AVANT QUE TOUS LES SALARIÉS EN PLACE N'AIENT OBTENU LEUR TEMPS DE TRAVAIL CHOISI
2° QUE LE POINT SOIT REVALORISÉ DANS LES 3 MOIS
3° QUE LES INDEMNITÉS KILOMÉTRIQUES SOIENT EN ACCORD AVEC NOS FRAIS RÉELS

ETC.

Je rappelle que laisser sa voiture sur le parking de l'association ce n'est pas faire grève. Tout le temps passé sur le parking à attendre qu'on nous donne l'outil de déplacement est un temps de travail effectif.
UTILISONS CE PRÉTEXTE POUR FAIRE ABOUTIR NOS REVENDICATIONS
Certains diront que c'est du chantage. Et bien non, il s'agit seulement de faire respecter nos droits les plus élémentaires, droits inscrits au code du travail.
Accepterons-nous encore longtemps d'être traitées comme des serfs ?
Nous avons une arme infaillible et nous avons le code du travail pour nous, si nous ne les utilisons pas c'est que nous sommes bien des souillons moyennâgeuses dignes d’être pressées comme des citrons.


Merci encore Flory, je vais faire circuler cet article du Monde Diplomatique qui décrit si bien notre réalité. Réalité que nous devons combattre de toutes nos forces.
Soyons fières toutes ensembles de notre profession et battons nous pour elle, si nous arrivons à la faire respecter dans ses droits nous obtiendrons sa reconnaissance auprès du grand public.

pierette

Re: revalorisation du point avs

Message non lu par pierette » 28 mars 2013 19:54

libellule,

Au risque d'être désagréable, c'est pas parce-que les syndicats que vous nommés n'ont pas signé la CCBAD que celle-ci serait illégale. Je comprend votre combat pour des voitures de service, mais où donc avez vous trouvé l'article d'une loi ou d'un code qui stipulerait que les employeurs doivent obligatoirement fournir un véhicule à leurs salariés dans le cadre de leur travail. J'adhère complètement au combat pour que l'on soient correctement remboursées du temps et des kms des inter-vacations.
Notre convention BAD n'est pas parfaite mais en comparaison de celle des salariés du particulier employeur elle a quand même quelques avantages. Sachant que l'emploi direct et le mandataire se développent à grands pas on risque bien de finir en salarié du particulier .....

cordialement

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