Bonjour,
Ma mere est assistante familliale, et je voudrais savoir si il y a d'autres enfants d'assistants familliaux sur ce forum?
comment vivez vous le metier de votre mere (ou de votre pere)? feriez vous le meme metier que vos parents?
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Enfants d'assistantes familliales
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titgladou
Re: Enfants d'assistantes familliales
je me permet de remonter mon post car sur une autre discution j'ai vu des gens qui pensent que les assistantes familliales font ce metier "au detriment de leurs enfants". je sais que certains enfants vivent mal le metier de leur mere (ou pere), mas je ne pense pas du tout que le statut de "famille d'accueil" puisse nuire aux enfants ou au mari...
personne n'a d'avis la dessus?
personne n'a d'avis la dessus?
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lynou
Re: Enfants d'assistantes familliales
J'adore comme on déforme mes propos, merci à toi.
Ce que tu penses est une chose, la réalité des choses en est tout autrement.
Combien de famille d'accueil connais-tu ???
Va sur le site du spamaf et tu verras combien cette profession va bien.
bonne soirée
Ce que tu penses est une chose, la réalité des choses en est tout autrement.
Combien de famille d'accueil connais-tu ???
Va sur le site du spamaf et tu verras combien cette profession va bien.
bonne soirée
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Lynou
Re: Enfants d'assistantes familliales
Voici le témoignage d'une femme que j'admire, elle est à la retraite maintenant depuis une bonne dizaine d'année. Ce témoignage est tiré d'un article de presse. Et je pense que cela répond à ton débat.
"Le travail d’accueil ne peut reposer sur la seule personne de l’assistante maternelle, sinon il serait voué à l’échec rapidement. Ce doit être un projet familial, mais entre ce qui est parlé, projeté et vécu, il y a une marge qui peut se révéler plus ou moins large ! Ce projet d’accueil, avant de devenir un projet familial, est souvent celui de l’assistante maternelle uniquement. C’est ensuite qu’il est parlé, élaboré en commun, et requiert l’adhésion de l’ensemble de la cellule familiale.
Le conjoint peut être plus ou moins présent, suivant l’intérêt et la place qu’il veut bien s’accorder dans cet accueil. Néanmoins, il lui suffit quelquefois de représenter l’autorité "paternelle" pour être efficace, entendu, et respecté. C’est peut-être là une question de personnalité. Bon nombre de conjoints s’investissent au-delà de la seule présence "autoritaire" : conduite à l’école, dialogues, discussion sur le carnet scolaire... et surtout dans l’accompagnement de l’assistante maternelle au niveau éducatif.
Pour les enfants de la famille d’accueil, les situations sont souvent ambiguës. D’un naturel généreux, les enfants sont enthousiastes quant au projet d’accueil, et ce malgré les mises en garde des services et de leurs parents (l’enfant accueilli peut ne pas correspondre au petit copain attendu ; il est difficile de tout partager avec un inconnu...). Ils sont sûrs d’eux, et partent dans le projet avec enthousiasme, et souvent une attente fébrile !
Je me souviens de deux faits qui m’ont particulièrement marquée en tant que Maman, car sans qu’un conflit ouvert avec les enfants accueillis se soit manifesté, j’ai découvert qu’il avait été très difficile pour mes filles jumelles, âgées de 14 ans au début de mon activité de famille d’accueil, de vivre au quotidien cette vie d’accueillant.
Plusieurs années après le début de l’accueil, l’une d’elles passant un concours d’entrée à l’école d’infirmières prend pour sujet de mémoire : les carences affectives des enfants placés (ce qui n’était déjà pas innocent !). Une fois reçue au concours, elle nous le fait lire, et là les bras m’en tombent : je découvre combien il avait été utile à mes filles jumelles d’être deux afin de pouvoir s’extraire du groupe familial et de se retrouver ensemble ! Et de lire combien il leur avait été difficile de vivre avec ce groupe d’enfants venant d’ailleurs (je n’accueillais que des fratries), de partager les lieux et d’égrener : la table de la salle à manger, la salle de télévision (il y avait pourtant plusieurs télévisions), la bibliothèque, le salon... de partager les repas, les conversations, les jeux, les loisirs, pour terminer en point d’orgue : de partager leurs parents ! Il a fallu attendre huit ans pour le savoir.
Le deuxième fait se situe à la fin d’une soirée de fête, où une enfant accueillie, sans famille, présente chez nous depuis plusieurs années, avait décidé de se fiancer. Nous en parlons, et je lui explique que, puisqu’elle n’a personne de son côté, elle peut inviter qui elle veut (la maison et la propriété étaient grandes, et nous sommes à la campagne !). Nous étions 100 participants à cette partie de campagne sympathique avec méchoui et buffet campagnard. L’ambiance était joyeuse et tous paraissaient heureux, mes enfants et les autres.
Puis les invités partis, nous devisions tous ensemble de cette folle journée. À ce moment-là, mes jumelles, alors âgées de 17 ans, nous interpellent en demandant : "En feriez-vous autant pour nous ?". Nous, les parents, fûmes abasourdis par cette demande et avons compris combien les choses n’étaient pas simples entre nos enfants et les enfants accueillis, et combien nous devions être vigilants à laisser leur place à nos enfants.
Quelques vingt ans après ces événements familiaux, maintenant retraitée, ayant suffisamment de recul sur cette profession vécue avec passion, je crois vraiment que nous avons été, mon mari et moi-même, la béquille qui a soutenu ces enfants blessés, les a aidés à poursuivre du mieux possible leur route. En tous cas à entendre ceux qui reviennent me voir, et ils sont nombreux. Ces enfants élevés chez nous ensemble sont restés très liés. Ils sont tous retournés chez leurs parents, la plupart à leur majorité. Ils ont gardé le contact, et sont heureux de venir me présenter leur conjoint, le dernier-né ou simplement leur première voiture, de passer des heures devant leurs albums photos à se remémorer leurs souvenirs d’enfance, et de discuter.
Je dois cependant reconnaître que cette complicité n’existait pas pour mes enfants. J’ai pu remarquer que leurs souvenirs n’étaient pas les mêmes, et encore moins communs, comme si ces enfants leur avaient retiré quelque chose. Aussi, quels ne furent pas ma surprise et mon bonheur d’avoir vu mes quatre enfants s’acharner dans un vrai travail de détective qui a duré plusieurs mois afin d’organiser une petite fête réunissant les 13 premiers enfants que j’ai accueillis dans les années 75 et toute ma famille, enfants et petits-enfants réunis dans la même joie des retrouvailles !
Mystère et contradiction des sentiments car, si ce témoignage se termine sur une note optimiste, je crois vraiment qu’il y eût des moments difficiles pour mes propres enfants adolescents, moments qui ont trouvé toute leur relativité dans leur vie d’adultes.
Françoise Bauche
Dernière mise à jour : jeudi 31 mars 2005"
"Le travail d’accueil ne peut reposer sur la seule personne de l’assistante maternelle, sinon il serait voué à l’échec rapidement. Ce doit être un projet familial, mais entre ce qui est parlé, projeté et vécu, il y a une marge qui peut se révéler plus ou moins large ! Ce projet d’accueil, avant de devenir un projet familial, est souvent celui de l’assistante maternelle uniquement. C’est ensuite qu’il est parlé, élaboré en commun, et requiert l’adhésion de l’ensemble de la cellule familiale.
Le conjoint peut être plus ou moins présent, suivant l’intérêt et la place qu’il veut bien s’accorder dans cet accueil. Néanmoins, il lui suffit quelquefois de représenter l’autorité "paternelle" pour être efficace, entendu, et respecté. C’est peut-être là une question de personnalité. Bon nombre de conjoints s’investissent au-delà de la seule présence "autoritaire" : conduite à l’école, dialogues, discussion sur le carnet scolaire... et surtout dans l’accompagnement de l’assistante maternelle au niveau éducatif.
Pour les enfants de la famille d’accueil, les situations sont souvent ambiguës. D’un naturel généreux, les enfants sont enthousiastes quant au projet d’accueil, et ce malgré les mises en garde des services et de leurs parents (l’enfant accueilli peut ne pas correspondre au petit copain attendu ; il est difficile de tout partager avec un inconnu...). Ils sont sûrs d’eux, et partent dans le projet avec enthousiasme, et souvent une attente fébrile !
Je me souviens de deux faits qui m’ont particulièrement marquée en tant que Maman, car sans qu’un conflit ouvert avec les enfants accueillis se soit manifesté, j’ai découvert qu’il avait été très difficile pour mes filles jumelles, âgées de 14 ans au début de mon activité de famille d’accueil, de vivre au quotidien cette vie d’accueillant.
Plusieurs années après le début de l’accueil, l’une d’elles passant un concours d’entrée à l’école d’infirmières prend pour sujet de mémoire : les carences affectives des enfants placés (ce qui n’était déjà pas innocent !). Une fois reçue au concours, elle nous le fait lire, et là les bras m’en tombent : je découvre combien il avait été utile à mes filles jumelles d’être deux afin de pouvoir s’extraire du groupe familial et de se retrouver ensemble ! Et de lire combien il leur avait été difficile de vivre avec ce groupe d’enfants venant d’ailleurs (je n’accueillais que des fratries), de partager les lieux et d’égrener : la table de la salle à manger, la salle de télévision (il y avait pourtant plusieurs télévisions), la bibliothèque, le salon... de partager les repas, les conversations, les jeux, les loisirs, pour terminer en point d’orgue : de partager leurs parents ! Il a fallu attendre huit ans pour le savoir.
Le deuxième fait se situe à la fin d’une soirée de fête, où une enfant accueillie, sans famille, présente chez nous depuis plusieurs années, avait décidé de se fiancer. Nous en parlons, et je lui explique que, puisqu’elle n’a personne de son côté, elle peut inviter qui elle veut (la maison et la propriété étaient grandes, et nous sommes à la campagne !). Nous étions 100 participants à cette partie de campagne sympathique avec méchoui et buffet campagnard. L’ambiance était joyeuse et tous paraissaient heureux, mes enfants et les autres.
Puis les invités partis, nous devisions tous ensemble de cette folle journée. À ce moment-là, mes jumelles, alors âgées de 17 ans, nous interpellent en demandant : "En feriez-vous autant pour nous ?". Nous, les parents, fûmes abasourdis par cette demande et avons compris combien les choses n’étaient pas simples entre nos enfants et les enfants accueillis, et combien nous devions être vigilants à laisser leur place à nos enfants.
Quelques vingt ans après ces événements familiaux, maintenant retraitée, ayant suffisamment de recul sur cette profession vécue avec passion, je crois vraiment que nous avons été, mon mari et moi-même, la béquille qui a soutenu ces enfants blessés, les a aidés à poursuivre du mieux possible leur route. En tous cas à entendre ceux qui reviennent me voir, et ils sont nombreux. Ces enfants élevés chez nous ensemble sont restés très liés. Ils sont tous retournés chez leurs parents, la plupart à leur majorité. Ils ont gardé le contact, et sont heureux de venir me présenter leur conjoint, le dernier-né ou simplement leur première voiture, de passer des heures devant leurs albums photos à se remémorer leurs souvenirs d’enfance, et de discuter.
Je dois cependant reconnaître que cette complicité n’existait pas pour mes enfants. J’ai pu remarquer que leurs souvenirs n’étaient pas les mêmes, et encore moins communs, comme si ces enfants leur avaient retiré quelque chose. Aussi, quels ne furent pas ma surprise et mon bonheur d’avoir vu mes quatre enfants s’acharner dans un vrai travail de détective qui a duré plusieurs mois afin d’organiser une petite fête réunissant les 13 premiers enfants que j’ai accueillis dans les années 75 et toute ma famille, enfants et petits-enfants réunis dans la même joie des retrouvailles !
Mystère et contradiction des sentiments car, si ce témoignage se termine sur une note optimiste, je crois vraiment qu’il y eût des moments difficiles pour mes propres enfants adolescents, moments qui ont trouvé toute leur relativité dans leur vie d’adultes.
Françoise Bauche
Dernière mise à jour : jeudi 31 mars 2005"
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titgladou
Re: Enfants d'assistantes familliales
Lynou je suis desolée mais je ne deforme rien, j'ai fais un copier coller pour te raffraichir la memoire:
"Je rêvais d'être famille d'accueil mais quand je réalise maintenant ce qu'ait le métier d'assistante familliale, je ne rêve vraiment plus.
En attendant je tiens à dire que je suis très admirative de toutes ses familles d'accueil, vraiment j'ai un grand respect pour ses femmes qui au détriment de leurs enfants, leur mari, s'engagent dans une voix où parfois il n'y a mais alors aucun retour aucune reconnaissance"
De plus je n'ai jamais dit que la realité etait ce que je pensait, mais elle n'est pas non plus forcement ce que tu pense, et c'est la l'interet des forums.
Des familles d'accueil j'en connais beaucoup, elles font toutes tres bien leur boulot et ne font pas ce metier "au detriment de leurs enfants". La preuve beaucoup des enfants d'assistantes familliales que je connait veulent travailler dans le social (ES, AS, ou ass familliale).
Je ne dis pas que la profession va bien,je dis juste que les enfants des ass familliales ne vont pas forcement mal et que ce n'est pas en disant ca à celles qui veulent faire ce metier que la profession ira mieu...ni que les enfants placés iront mieu.
Ensuite je suis consciente que ca se passe mal parfois, et c'est cela que je voudrais comprendre!
et aussi tu entend quoi par "aucun retour, aucune reconnaissance"? retour de qui? reconnaissance de qui? des employeurs?des enfants? de leurs parent?
Bonne soirée
"Je rêvais d'être famille d'accueil mais quand je réalise maintenant ce qu'ait le métier d'assistante familliale, je ne rêve vraiment plus.
En attendant je tiens à dire que je suis très admirative de toutes ses familles d'accueil, vraiment j'ai un grand respect pour ses femmes qui au détriment de leurs enfants, leur mari, s'engagent dans une voix où parfois il n'y a mais alors aucun retour aucune reconnaissance"
De plus je n'ai jamais dit que la realité etait ce que je pensait, mais elle n'est pas non plus forcement ce que tu pense, et c'est la l'interet des forums.
Des familles d'accueil j'en connais beaucoup, elles font toutes tres bien leur boulot et ne font pas ce metier "au detriment de leurs enfants". La preuve beaucoup des enfants d'assistantes familliales que je connait veulent travailler dans le social (ES, AS, ou ass familliale).
Je ne dis pas que la profession va bien,je dis juste que les enfants des ass familliales ne vont pas forcement mal et que ce n'est pas en disant ca à celles qui veulent faire ce metier que la profession ira mieu...ni que les enfants placés iront mieu.
Ensuite je suis consciente que ca se passe mal parfois, et c'est cela que je voudrais comprendre!
et aussi tu entend quoi par "aucun retour, aucune reconnaissance"? retour de qui? reconnaissance de qui? des employeurs?des enfants? de leurs parent?
Bonne soirée
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titgladou
Re: Enfants d'assistantes familliales
Merci pour le temoignage de cette dame Lynou, il represente vraiment bien ce qu'il se passe dans la famille...
C'est vrai que ca se passe un peu comme ca chez moi, sauf qu'on a accueuilli une seule fois une fille de mon age quand j'etais ado, et c'est vrai qu'il y avait des jalousie car elle voulait tellement bien faire qu'elle avait le droit a tous les compliments...lol
Mais aujourd'hui elle est comme ma soeur et ses enfants m'appelent Tata.
Quand elle s'est mariée, on a ete la autant que ses soeurs et les jalousies d'avant on en rigole...
En tous cas je n'ai jamais pensé que mes parents donnaient plus aux enfants accueillis qu'à moi...
j'aimerai bien avoir des temoignages d'enfants pour qui ca s'est mal passé, je voudrais faire mon memoire le dessus pour mon diplome d'educ spé...
C'est vrai que ca se passe un peu comme ca chez moi, sauf qu'on a accueuilli une seule fois une fille de mon age quand j'etais ado, et c'est vrai qu'il y avait des jalousie car elle voulait tellement bien faire qu'elle avait le droit a tous les compliments...lol
Mais aujourd'hui elle est comme ma soeur et ses enfants m'appelent Tata.
Quand elle s'est mariée, on a ete la autant que ses soeurs et les jalousies d'avant on en rigole...
En tous cas je n'ai jamais pensé que mes parents donnaient plus aux enfants accueillis qu'à moi...
j'aimerai bien avoir des temoignages d'enfants pour qui ca s'est mal passé, je voudrais faire mon memoire le dessus pour mon diplome d'educ spé...
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lynou
Re: Enfants d'assistantes familliales
En effet je ne m'étais po relu, je te présente mes excuses. Je crois que cela est plus profond ce que j'ai voulu exprimer. J'ai parlé ainsi c'était par rapport aux soucis assez grave (accusation de tout genre) que l'on peut rencontrer et qui sont oui au détriment du mari et des enfants, c'est cela que j'ai voulu dire.
Bon courage à toi pour ton mémoire.
Bon courage à toi pour ton mémoire.
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maxime
Re: Enfants d'assistantes familliales
Bonjour à tous,
Actuellement en stage dans un service de placement familial, je serais intéressé par les témoignages d'enfants d'assisstantes familiales, témoignages qui pourraient aboutir à divers échanges. J'ai peut-être en tête d'étudier ce sujet pour mon mémoire.
Merci d'avance, maxime
Actuellement en stage dans un service de placement familial, je serais intéressé par les témoignages d'enfants d'assisstantes familiales, témoignages qui pourraient aboutir à divers échanges. J'ai peut-être en tête d'étudier ce sujet pour mon mémoire.
Merci d'avance, maxime
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titgladou
Re: Enfants d'assistantes familliales
bonjour Maxime,
Moi aussi j'ai une idée de sujet de memoire la dessus...pour dans 3ans
Envoie moi un mail avec tes questions et je te repondrais.
a plus
Moi aussi j'ai une idée de sujet de memoire la dessus...pour dans 3ans
Envoie moi un mail avec tes questions et je te repondrais.
a plus
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will
Re: Enfants d'assistantes familliales
ma mére est assistante familiale depuis 4ans. elle nous a jamais mit de coté pour privilégier son métier bien au contraire elle était toujours la pour nous rappeler qu'elle nous aime et que les enfants qu'elle garde prendaient jamais notre place. j'avoue qu'au début de sa profession ca a été trés dur (jalousie)parce que l'ado accueillit avait 16 ans comme moi avec des pathologies importante (sexe). maintenant on a une petite de 7 ans depuis 9 mois et pour encore 1 an et ca se passe vraiment trés bien aucun soucis c'est un amour. voila si sa peut renseigner un témoignage