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ras-le-bol
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Sonia
ras-le-bol
Bonjour à tous, si je me permets d'écrire aujourd'hui c'est parce que j'ai besoin de vos témoignages, je suis étudiante en 1ère année de formation d'assistante sociale, à l'IRTS de Montrouge, j'ai un double cursus, je prépare en même temps la licence AES, j'ai réussi le concours du premier coup, je ne voulais aller qu'à Montrouge, les Assedic me rénumère pdt tte ma formation , mais malgré cela, je ne me sens pas bien, la formation ne correspond pas à mes attentes, je ne suis plus motivée, je me force à aller en cours, je songe même à arrêter, alors que mon stage m'a permis de me rendre compte que je veux faire ce métier, je ne sais plus quoi faire, aider moi, si jamais vous vivez la même chose ou presque vos témoignages me feront le plus grand bien, merci d'avance à tous ceux qui me répondront.
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saunia
Re: ras-le-bol
on passe toute par une période de ras le bol, de découragement, de remise en question...
la formation est obligatoire pour exercer donc il faut la subir...après c'est à toi d'en faire bonne usage...dis toi que c'est 3 ans de formation dont la moitié de stage et tu en as déjà fait 1/3
acroches toi
la formation est obligatoire pour exercer donc il faut la subir...après c'est à toi d'en faire bonne usage...dis toi que c'est 3 ans de formation dont la moitié de stage et tu en as déjà fait 1/3
acroches toi
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Anne
Re: ras-le-bol
Bonjour Sonia.
Je ne suis pas du tout dans ta situation, mais je me permets tout de même de te répondre. Parce que je sens beaucoup de détresse dans ton message et que cela me touche.
Je sais bien qu'il est difficile de s'accrocher quand on fait quelque chose qui ne plait pas. Cela fait des années (12 environ) que j'exerce un métier qui ne me plait pas, où je m'enlise de plus en plus.
La différence entre toi et moi, c'est qu'en ce qui te concerne, ce sont les études qui ne te plaisent pas. En d'autres termes, tu vas avoir trois années difficiles, mais au final tu exercera pendant 40 ans un métier qui te plait.
Moi, les études ne m'ont pas coûté, elles n'étaient pas pénibles, mais aujourd'hui je suis enfermée dans un métier nul et je ne sais pas pour combien de temps (j'ai passé d'ailleurs le concours d'entrée AS cette année, j'espère beaucoup être prise (cette année ou une autre année)).
Concentre toi sur le métier, l'aboutissement de tes études, pas sur les études elles-mêmes qui ne sont qu'un passage, tu verras.
L'important dans la vie professionnelle, c'est le métier lui-même. Accroche-toi, surtout dans la mesure où tu es sûre (grâce à ton stage) que c'est bien le métier que tu veux exercer.
J'ai parfois renoncé, j'assume mes choix, toujours, mais j'ai tout de même des regrets. Moins aujourd'hui que j'ai décidé de me réorienter, mais une réorientation tardive est toujours plus difficile que lorsqu'on est plus jeune.
Courage, courage, courage ... je ne sais pas, peut-être que faire du bénévolat, t'investir dans une asso auprès de gens qui auraient besoin de toi, pourrait te remotiver. Que tu vois à quel point il y a des gens qui comptent sur toi, à quel point il est important pour tout ces gens que tu termines tes études, afin de les accompagner plus loin.
Anne.
Je ne suis pas du tout dans ta situation, mais je me permets tout de même de te répondre. Parce que je sens beaucoup de détresse dans ton message et que cela me touche.
Je sais bien qu'il est difficile de s'accrocher quand on fait quelque chose qui ne plait pas. Cela fait des années (12 environ) que j'exerce un métier qui ne me plait pas, où je m'enlise de plus en plus.
La différence entre toi et moi, c'est qu'en ce qui te concerne, ce sont les études qui ne te plaisent pas. En d'autres termes, tu vas avoir trois années difficiles, mais au final tu exercera pendant 40 ans un métier qui te plait.
Moi, les études ne m'ont pas coûté, elles n'étaient pas pénibles, mais aujourd'hui je suis enfermée dans un métier nul et je ne sais pas pour combien de temps (j'ai passé d'ailleurs le concours d'entrée AS cette année, j'espère beaucoup être prise (cette année ou une autre année)).
Concentre toi sur le métier, l'aboutissement de tes études, pas sur les études elles-mêmes qui ne sont qu'un passage, tu verras.
L'important dans la vie professionnelle, c'est le métier lui-même. Accroche-toi, surtout dans la mesure où tu es sûre (grâce à ton stage) que c'est bien le métier que tu veux exercer.
J'ai parfois renoncé, j'assume mes choix, toujours, mais j'ai tout de même des regrets. Moins aujourd'hui que j'ai décidé de me réorienter, mais une réorientation tardive est toujours plus difficile que lorsqu'on est plus jeune.
Courage, courage, courage ... je ne sais pas, peut-être que faire du bénévolat, t'investir dans une asso auprès de gens qui auraient besoin de toi, pourrait te remotiver. Que tu vois à quel point il y a des gens qui comptent sur toi, à quel point il est important pour tout ces gens que tu termines tes études, afin de les accompagner plus loin.
Anne.
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sam
Re: ras-le-bol
je suis également en 1ère année d'as et parfois j'en ai ras le bol c'est d'autant plus dur que j'ai une vie de famille mariée 3enfants mais je tiens le coup en me disant que tout apport théorique est necessaire.
de plus en 2ème et 3ème année les stages sont plus long.
courage.
de plus en 2ème et 3ème année les stages sont plus long.
courage.
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cécilou
Re: ras-le-bol
Salut Sonia !
Tu dis que "tu ne te sens pas bien", pourrais-tu expliquer pourquoi, qu'est-ce qui fait que tu ne sens pas bien dans cette formation.
Est-ce la formation en elle-même, les contenus des cours, est-ce la promo, est-ce l'orientation de l'école...?
En tout cas je te souhaite bon courage!
(et je te fait un p'tit coucou parce que je suis pas très de ton école, je suis à l'ETSUP!)
Tu dis que "tu ne te sens pas bien", pourrais-tu expliquer pourquoi, qu'est-ce qui fait que tu ne sens pas bien dans cette formation.
Est-ce la formation en elle-même, les contenus des cours, est-ce la promo, est-ce l'orientation de l'école...?
En tout cas je te souhaite bon courage!
(et je te fait un p'tit coucou parce que je suis pas très de ton école, je suis à l'ETSUP!)
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cophilou
Re: ras-le-bol
Salut.
Je comprends ce que tu ressens. Pour moi c'est pareil. Je me régale en stage et puis à l'école, je fais un gros blocage. Du coup, je me prends des notes minables, complétement destabilisée lors des évaluations et puis démotivée. Et tu sais quoi? Je suis en 3ème année... Mais courage, une fois le diplôme aussi durement obtenu, la vie professionnelle sera plus agréable, puisque tu m'as l'air quand même motivée par cette profession. A+. :tv)
Je comprends ce que tu ressens. Pour moi c'est pareil. Je me régale en stage et puis à l'école, je fais un gros blocage. Du coup, je me prends des notes minables, complétement destabilisée lors des évaluations et puis démotivée. Et tu sais quoi? Je suis en 3ème année... Mais courage, une fois le diplôme aussi durement obtenu, la vie professionnelle sera plus agréable, puisque tu m'as l'air quand même motivée par cette profession. A+. :tv)
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Brigitte
Re: ras-le-bol
Coucou Sonia,
Le hasard a fait que j'intègre l'IRTS et pas Montrouge. Je ne connais pas ton école mais je pense que le principe du double cursus et le côté "scolaire" de la formation dans ton type d'école sont pesants (courir plusieurs lièvres à la fois n'est jamais facile). C'est je crois complètement différent dans notre école où il y a une approche très axée sur le professionnel, avec des étudiants dont les âges vont de 18 à 52 ans (tu as bien lu) en première année. Une grande liberté est laissé à l'étudiant. Au début, certaines ont l'impression de manquer de cadre. Un grand nombre de filles sont mariées et ont des enfants. Ceci étant, la première année est très déstabilisante, il faut prendre d'autres repères et quelque part se "restabiliser". Quelque part, on détricote ce que l'on est pour petit à petit le retricoter avec plus de motifs...
Cela n'est pas véritablement perceptible en première année, mais tu verras passé le mois de juin (et les premières vraies vacances) les choses te paraîtront plus claires. Essaie dans la mesure du possible de choisir des stages qui t'intéressent vraiment et tu feras le lien entre la formation théorique et le terrain. Ce n'est pas évident de tout mettre en relation en première année. On a parfois l'impression de voir trop de choses sans rien approfondir. Ce n'est qu'un impression. Ensuite les pièces du puzzle se mettent en place. En conclusion, je dirais que chacun évolue à son rythme, il suffit de trouver le sien.
Bon courage.
Brigitte
Le hasard a fait que j'intègre l'IRTS et pas Montrouge. Je ne connais pas ton école mais je pense que le principe du double cursus et le côté "scolaire" de la formation dans ton type d'école sont pesants (courir plusieurs lièvres à la fois n'est jamais facile). C'est je crois complètement différent dans notre école où il y a une approche très axée sur le professionnel, avec des étudiants dont les âges vont de 18 à 52 ans (tu as bien lu) en première année. Une grande liberté est laissé à l'étudiant. Au début, certaines ont l'impression de manquer de cadre. Un grand nombre de filles sont mariées et ont des enfants. Ceci étant, la première année est très déstabilisante, il faut prendre d'autres repères et quelque part se "restabiliser". Quelque part, on détricote ce que l'on est pour petit à petit le retricoter avec plus de motifs...
Cela n'est pas véritablement perceptible en première année, mais tu verras passé le mois de juin (et les premières vraies vacances) les choses te paraîtront plus claires. Essaie dans la mesure du possible de choisir des stages qui t'intéressent vraiment et tu feras le lien entre la formation théorique et le terrain. Ce n'est pas évident de tout mettre en relation en première année. On a parfois l'impression de voir trop de choses sans rien approfondir. Ce n'est qu'un impression. Ensuite les pièces du puzzle se mettent en place. En conclusion, je dirais que chacun évolue à son rythme, il suffit de trouver le sien.
Bon courage.
Brigitte
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Véro
Re: ras-le-bol
Bonsoir Sonia!
Je me permet de te répondre car je suis actuellement en 2 année et ce n'est pas tout les jours facile. Pour ma part, je continue à exercer ma profession en même temps et ça me demande beaucoup de travail perso. Je pense que le double cursus n'est pas facile. La licence doit te demander beaucoup de travail. Si ton stage t'as permis de voir que c'était ce que tu voulais alors fonce. C'est le principal. Pour ma part, je trouve que les matières de cette année sont plus interressantes. Beaucoup de gens exercent des métiers qui ne leur plaisent pas, donc si tu en as trouvé un qui te plait, profites-en.
Bon courage à toi.
Je me permet de te répondre car je suis actuellement en 2 année et ce n'est pas tout les jours facile. Pour ma part, je continue à exercer ma profession en même temps et ça me demande beaucoup de travail perso. Je pense que le double cursus n'est pas facile. La licence doit te demander beaucoup de travail. Si ton stage t'as permis de voir que c'était ce que tu voulais alors fonce. C'est le principal. Pour ma part, je trouve que les matières de cette année sont plus interressantes. Beaucoup de gens exercent des métiers qui ne leur plaisent pas, donc si tu en as trouvé un qui te plait, profites-en.
Bon courage à toi.