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stage tisf

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moa

Re: stage tisf

Message non lu par moa » 10 sept. 2006 15:07

Bonjour léna,

Que pense tu du principe de précotion, le sang contaminé, l’amiante, ect… que d malheur qui on atteind dans leur chere de pauvres malhereux qui se sont fait bernés par ce que les dirigeants sans foutait et les trompait

Il est aussi des catastrofes socials qui rende tres malades des milliers de personnes, dont le chomage

Encouragé les gens à faire une formation longue de 2 ans en leur propettant un bel avenir certain, et ensuite leur cassé leur métier et les traité de nuls par ce quils ne trouve pas de débouché

Ho oui il y a des tisf qui trouve du boulot, comme y a des joueurs de lotos qui gagne au loto, mais y sont combien a gagné ??????????

Les fautifs du sang contaminé, de l’qmiante, de la vache folle, ou des formations bidons… y sont responsables masi pas coupable… y sont puissants, y sont respectés, y on pinion sur rue, y font le beau, y joue les offuskés quand on les critique… le pauvr pulmonaire qui étouffe à acause de l’amiante…y peut crever… la pauvre tisf qui trouve pas de boulot, c une minable qui c pas se bougé…




A gaetane,

Pour devenir conseiller familial social, il faut avoir 5 ans d’experience en tisf

mab

Re: stage tisf

Message non lu par mab » 10 sept. 2006 16:23

Héhé!

Ton discours me convient, je pensais être "singletone" avec des idées similaires...
Je tiens ce discours depuis quelques années et je n'hésite pas à écrire sur les sites des ministeres pour leur faire connaitre mes pensées de professionnel de l'aide à domicile!
Pour l'instant le seul qui ait donné suite à mes remarques a été Monsieur RAFFARIN. Cependant, il faut bien constaté que peu de résolutions ont été prise dans le sens des salariés de l'aide à domicile et les copains de Sarko, utilisent les mêmesficelles (cordes) qu'avaient usées en son temps Mme AUBRY avec les emplois familiaux. On les a renommés emplois de proximité mais les effets sont identiques: les dipositifs sont pensés comme moyens de lutte contre le chomage, panacée
pour relancer l'emploi en France mais dans les faits on ne voit concretement que la dégradation des conditions de travail des aides à domicile (TISF ET AVS) et une augmentation de la précarité dans le secteur.
Les mesures sont sensées favoriser la professionnalisation mais les moyens financiers pour rémunérer celle ci ne cesse de décroitre.
Effectivement avec toutes ces TISF et AVS sur le marché on peut espérer les mettre en concurence et les avoir au moins disant. Vive Sarko et le libéralisme; on diminue les charges sociales, on fait des exonérations voire des crédits d'impots pour l'emploi des services à domicile mais pour en bénéficier encore faut il etre imposable!
Est ce la nouvelle tendance de l'esclavagisme moderne?
Pour ce qui est des formations de TISF, le secteur de l'aide à domicile a été marginalisé par les centres de formation lors de la mise en place de la filiere voie directe, avant 1999, il fallait etre embauché par un service d'aide à domicile pour faire cette formation, les services étaient défrayés du coût salarial et la partie pédagogique était assurée par la CNAF principalement.
Il y a eu magouille au moment des agréments des centres de formation et beaucoup en ont profité pour ouvrir une filiére et comme les finances viennent en fonction du nombre d'étudiants... on comprend la démarche purement comptable et le mutisme sur les débouchés. Les formateurs ne vont pas scier la branche sur laquelle ils sont assis pourtant bien inconfortablement.

Mel

Re: stage tisf

Message non lu par Mel » 10 sept. 2006 17:27

Moa et Mab,

Tout a fait d'accord avec vous et on s'en fiche de ceux qui viendront critiquer que c'est faux!
Car bien sûr ceux-là ont eu de la chance de trouver du boulot et ne savent pas ce que c'est de s'être fait berner!
Et contrairement à ce que ceux-là pensent on a bien écrit partout!
:fire:

héhé

Re: stage tisf

Message non lu par héhé » 12 sept. 2006 08:56

Bonjour Mab,

Tes démarches auprès des ministères, les fais-tu dans le cadre d’un collectif ou à titre personnel ?

Je suis sur la même longueur d'ondes que toi, et je pense aussi que les effets pervers des différentes mesures pour l'emploi qui se succèdent depuis 20 ans aboutissent à une nouvelle forme d’esclavagisme (CES, contrats jeunes, CPE, CNE…c’est ça ou le RMI). Ce qui m’inquiète le plus pour l’avenir c’est le fatalisme ambiant et le chacun pour soi, comme si le condisciple qui n’arrive pas à monter dans le train, où qui à du mal à y rester, était un pestiféré… Je m’inquiète aussi du manque d’organisation des salariés pour la défense de leur profession, du manque de solidarité des professionnels déjà en poste, dicté par la peur ? Plus que jamais il me semble nécessaire de renouer avec une forme de syndicalisme peut-être à recréer ? Mais quand on est « précaire » et qu’on ne travaille pas plus de 3 ou 4 mois dans son métier (au mieux) c’est très compliqué de faire bouger les choses…

J’entends parfaitement qu’il y a eu magouille au moment des agréments des centres de formation, et il est facile de comprendre que plus les écoles forment d’élèves et plus elles gagnent de l’argent… peut importe qu’il y ait ou non des débouchés… cela est si vrai que la plupart des écoles ne prévoient aucune formation ni assistance à ses stagiaires pour leur recherches d’emplois, « pourquoi investir à fond perdu ? » doit être leur calcul. J’ai lu quelque part sur ce forum des stagiaires dire qu’on leur avait vendu un packaging « social » mais qu’on ne leur assurait pas le service après-vente… La responsabilité des centres de formation me semble primordiale dans ce cauchemar. Je ne comprends pas que l’on dilapide ainsi des fonds publics pour une formation dont les résultats en terme d’aboutissement à l’emploi sont quasi nuls !

« Le secteur de l'aide à domicile a été marginalisé par les centres de formation lors de la mise en place de la filière voie directe » dis tu, mais les professionnels ne sont-ils pas toujours représentés en majorité dans les conseils d’administration des écoles ?

héhé

Re: stage tisf

Message non lu par héhé » 12 sept. 2006 09:13

Bonjour Lén@,

Saviez-vous que les effectifs d’élèves en formation tisf avaient augmenté dans les proportions citées plus haut ? Que pensez-vous de cette situation ? Cela vous encourage t-il à contribuer à la formation de tisf voués à 99 % au chômage ou aux sous-emplois ?

« Le fait de prendre une stagiaire ne met nullement en péril le travail de la TISF » écrivez-vous plus haut, mais avez-vous conscience qu’il participe à la bercer d’illusions, et que vous collaborez à l’entreprise malhonnête des centres de formation ?

Mille fois pardon léna de vous agresser ainsi, car je vous trouve formidable dans toutes vos interventions, je vous sais sincère, j’aurais aimé devenir un jour une tisf de votre trempe, j’ai moi aussi pleins d’idées que j’aurais aimé mettre en application auprès d’un public de rmistes, j’ai des acquis, de la ressource, du punch à revendre… quel gachis pour le public, pour les associations employeurs, pour les stagiaires tisf qui sont si enthousiasmés, et pour moi qui ait perdu et mon temps et bien autres choses. Par obligation il me faut tourner la page et me réorienter vers une activité qui me fera vivre, moi et ma petite famille. Mais je continuerai ma bataille ici…



J’ai une gentille pensée malgré tout pour les formatrices qui pour la plupart m’ont beaucoup apporté au travers des matières enseignées.


Pour terminer je voudrais en appeler à la conscience des tisf de terrain, des formatrices, et des autres intervenants du secteur d’activité



NE RIEN DIRE ET LAISSER FAIRE C EST ETRE COMPLICE DU SYSTEME


Vous êtes les mieux placées pour agir.

D’avance, merci pour votre écoute et votre attention -choses que vous enseignez et pratiquez si bien !

moa

Re: stage tisf

Message non lu par moa » 12 sept. 2006 11:15

tout a fait d'ac avec vous

mab, héhé, mel, léna, et les autres ki sont complexer de pas avoir de boulot, faut l'écrire partout se scandale odieux, cauchemardeste. Comme le dis héhé je me suis cassé la tete sur le mur comme tout ceux de ma classe, faut dire enfin la vérité

alan

Re: stage tisf

Message non lu par alan » 12 sept. 2006 11:50

salut c'est le seul mek de la promo de rennes ; moi aussi , jsui dans votre cas , j'ai envoyé 4 lettres , bon daccord un pe tard c'est a dire la semaine derniere , j'ai pas trop gerer , et jviens d'avoir mon premier refus a lorient , je stress , jsais pas trop coment ca va se passer , mais ski métonne, c'est ya pas plus de structure que ça a rennes, pourtant grande ville,jfais finir par mretrouver a assez loin de chez moi ce ne marrange pas du tou , si vous avez des infos notamennt avec arcades, prévenez moi
tcho

AVS

Re: stage tisf

Message non lu par AVS » 12 sept. 2006 21:29

Mab, vous êtes responsable d’une association je crois. J’ai relevé les témoignages suivants sur le forum des AVS. Comme vous parlez plus haut de nouvelles formes d’esclavagisme, que pensez-vous de ce qui est dénoncé ici, surtout par sandrine ?

Auteur: cphsab
Date: 12/09/2006 11:43
Céline
Les AVS, personnel d’intervention est un domaine relativement nouveau dans le cercle fermé des associations d’aide ou de maintien à domicile (secteur des personnes âgées dépendantes, handicapées ou non) gros consommateurs d’emplois précaires. La première promotion d’AVS diplômées date de juillet 2003. C’est surtout un domaine (le personnel d’intervention à domicile) complètement différent de celui du personnel des maisons spécialisées centralisant ce public.
Il n’existe donc pas, chez le personnel d’intervention à domicile AVS, une tradition, une culture issue d’un passé plus ou moins long permettant la construction d’une transmission d’expérience et transmise de génération en génération de diplômées du DEAVS comme par exemple les infirmières.
D’autre part le secteur associatif d’aide ou de maintien à domicile est fait d’une multitude de petites structures ne permettant pas la création de représentation syndicale du personnel. Il en résulte qu’aucune négociation n’est possible hormis le cas par cas d’un salarié isolé qui se bat pour lui-même et faire respecter ses droits légitimes issus du Code du travail,de la convention collective, du contrat de travail.
Les associations d’aide ou de maintien à domicile sont des employeurs utilisant, plus qu'ailleurs et presque exclusivement, des contrats précaires : CDI temps partiel, CDD temps partiel.
Lorsque l’on est une AVS :
- subordonnée à une association d’aide ou de maintien à domicile ;
- dépendante d’heures d’intervention dispensées, la plupart du temps, par un directeur ou une responsable de secteur ;
- consciente que pour d’avoir un nombre d’heures d’intervention suffisant le copinage (résultat de l’ancienneté dans l’association plus de la faculté à pas contester et d’accepter tout en courbant l’échine) en est le garant ;
- ayant un CDI temps partiel ou CDD temps partiel, de 20 heures mensuelles et que cette AVS aimerait bien en faire 3, 4 ou 5 fois plus ;
Cette AVS sait très bien qu'elle a intérêt à la boucler...
Les deux sentiments que beaucoup d’AVS ressentent : PEUR et ISOLEMENT, ce qui génèrent bien sur des sentiments connexes. Cphsab

Auteur: sandrine
Date: 12/09/2006 20:35
bonjour
je suis tout a fait d'accord avec vous que pour évoluer dans ce métier au sein des associations il faut la "fermer" !
Je suis actuellement en train de me battre avec mon employeur pour avoir un contrat a temps plein, je lui ai écrit lui rappelant la convention collective, il ne m'a pas répondu, j'ai réécrit et j'ai reçu un courrier m'informant que mon contrat allait changer (de 100 h mensuel il m'a offert 105h !), pendant plus de 6 mois mon contrat a été bloqué et j'étais mise a l'épreuve ... ce sont ses propres mots !! Donc aujourd'hui c simple j'ai fait un courrier a l'inspection du travail dénonçant les pratiques de cet énergumène et je lui ai envoyé un dernier courrier lui stipulant que je le mettais au prud'hommes... j'ai essayé de faire bouger quelques collègues avec moi et elles veulent pas, elles ont peur de perdre leur emploi et elles encaissent les abus et l'exploitation ! il est vrai qu'on ne se voit pratiquement jamais entre collègue et tout est fait pour nous tenir éloignées des unes des autres ( pas de réunions de concertation, pas d'évaluation en situation de travail, des contrôles téléphoniques auprès des bénéficiaires qui n'ont aucun regard de professionnel sur ce métier, et le pire c'est accepter la pratique de la délation: il suffit qu'un bénéficiaire écrive a l'employeur pour se plaindre du travail de son AVS et le dossier est retiré sans même une demande d'explication auprès de l'AVS ni une vérification auprès du bénéficiaire et bien entendu le nombre d'heures est pas remplacé !
de telles pratiques sont dommageables pour ce métier car cela ne motive pas pour se former et approfondir d'ou l'important turn-over au sein des associations. Peut être qu'en créant une fédération d'aides a domicile axée sur le respect du salarié pourrait faire évoluer... Qu’en pensez vous?


Merci

mab

Re: stage tisf

Message non lu par mab » 12 sept. 2006 21:38

héhè,
Le fait d'écrire aux élus comme aux ministres ou encore au Président, est un droit pour tout citoyen. C'est la liberté d'expression.
Biensûr, ce n'est pas en tenant des propos diffamants mais au contraire, pour attirer l'attention sur les dysfonctionnements et en faisant des propositions.
Ces courriers et courriels je les adresse à titre personnel en tant que professionnel et travailleur social, engagé et motivé par son action (mission serait prétentieux).
Ppar ailleurs, depuis longtemps je suis syndiqué, c'est le seul encartement que je m'autorise, c'est par l'action commune que l'on peut faire avancer les choses et les syndicats sont représentés dans beaucoup d'instances, encore faut il que les adhérents participent au débat et ne pensent pas uniquement syndicat au moment de problême de harcelement, licenciement, ou encore plan social...
Améliorer les conditions de travail et développer son travail est le role de chaque salarié, et une des missions du syndicalisme.
Donc pour répondre à ta question, ma démarche est individuelle et collective tout à la fois.
Pour être bien défendue, il faut que des professionnels s'engagent, et la crise du syndicalisme n'arrange pas la représentation...
La société civile est aussi un champ à investir, le milieu associatif, dans le secteur social a besoin d'administrateurs en situation de travail et motivés par autres choses que la gloriole et les banquets ou encore la notoriété!
Ainsi donc je ne saurai que te recommander de mettre ton énergie, ta fougue et ta déception dans un engagement à coté de chez toi, pour pousser les pouvoirs publics à financer des réponses innovantes.
Quand le discours est réaliste, que les disfonctionnements sont pointés et que l'on démontre que solutions existent, il faut le dire, l'écrire et emmerder le député, le sénateur et les petits élus (es) pour faire remonter l'info.
Donner les tuyaux aux fonctionnaires des administrations est intéréssant également, car eux aussi sont en recherche de réponses...Ils ont à gérer les incohérences des systemes et des réglementations diverses...
Le tableau n'est pas complétement noir, derrière la vieille croûte, on peut touver un chef d'oeuvre! il suffit d'avoir plusieurs outils et de s'en servir de diverses façons.
Parfois en retournant le cadre, la toile peut avoir meilleure allure.
Héhé! ne baisses pas les bras, ta hargne doit pouvoir te donner les moyens de réussir, les situations suivies dans l'aide à domicile sont toujours et de plus en plus difficiles, malgré tout parmis les "vieilles TIFS" peu ont laché pour partir ailleurs et à l'heure de la retraite, elles ont du mal à décrocher...
Elles sont un puit de science, de modestie et de rigueur, et pour exercer ce travail trés dur, il faut souvent utiliser ce que l'on appelle "la résiliance" c'est à dire à partir des difficultés que l'on traverse soit même, et que l'on surmonte, aider la personne à trouver la solution la moins mauvaise pour elle!
La satisfaction dans le social vient de tous les petits pas franchis, et accumulés comme un trésor inestimable.
Enfin j'ajouterai que toute formation professionnelle ne donne pas la maitrise du métier, elle donne de l'information et des cléfs, des outils qu'il va falloir apprendre à utiliser et garder sa curiosité sans cesse en eveil!
Bonsoir Héhé et peut etre à demain

mab

Re: stage tisf

Message non lu par mab » 12 sept. 2006 23:55

je pensais aller me coucher, car demain il fera jour... mais forum quand tu nous tiens...
AVS,
le temoignage que tu cites est vrai et sincère.
Et cela ne s'arrangera pas car les fédérations d'aide à domicile sont des regroupements d'employeurs qui sont plus sensibles aux bien-etre des usagers qu'aux conditions de travail des professionnels, malheureusement!
Les uns portent l'argent les autres le prennent en salaire!
MAis la vision coté employeur n'est pas facile, le secteur associatif est mis en concurrence avec les entreprises qui sont trés appatées par les aides données aux familles ou aux personnes agées ou handicapées. Il y a des tunes à prendre alors on vient dans le secteur comme on etait venu dans les maisons de retraite, mais dés que la source se tarie, on refile les bébés aux associations et aux collectivités territoriales, car eux fonctionnent sans but lucratif.
On connait ça les entreprises font des études sur le long terme, et les retraités de demain ne pourront pas payer leur pension en maison de retraite, donc les investisseurs fuient cela pour venir dans un secteur trés déreglementé: l'aide à la personne.
La loi du 02/02/2002 reformant l'action sociale avait fait entrer l'aide à domicile dans le champ social voire médico social, et le plan Borloow bouscule tout cela pour augmenter la déreglementation, faire basculer dans l'aide à la personne et nous sort du champ action sociale pour entrer (comme avec Martine Aubry en 1990) dans les plans de lutte contre le chomage et les politique de l'emploi (enfin au vue des discours sur ce site on dire du chomage!)
Je reste sur mon idées que les professionnels du secteur aide à domicile doivent plus que tout autre faire partie d'un syndicat pour agir sur les négociations de branche.
Il ne faut pas attendre d'aller en prudhommes et puis avec des salariés au fait de leurs droits, les employeurs ( et les directeurs dont je fais partie) font gaffe à ne pas faire n'importe quoi!
La sandrine du témoignage ne dit que des vérités!
Attention il ne faudrait pas qu'elle soit exécuté!
cette fois je vais dormir

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