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Re: Réponse a AVS déprimée

Publié : 17 août 2008 22:43
par cathy
Bonjour lille je suis decu par ta logique sache que tu as une convention a respecter et des collegues alors comment peux tu faire pour imposer tes horaires.dans les associations c est un cas de licecement alors reflechi

Re: Réponse a AVS déprimée

Publié : 18 août 2008 09:58
par sabrina
smt gulay

Tu fait allussion aux Aides soignantex, mais crois tu que pour ton frère il pourrais pas se faire respecter aussi si les imfirmières lui sont au cul ne peut il pas se defendre ?
Et le métier d'aide soignant je te rapelle que c'est aidér les personnes et faire beaucoup de toilettes il savais ce qui l'attendais j'ai travailler en maison de retraite j'etais ASH et tous le temps j'ai fait des toilettes douches ect.. mais cela ne ma pas déranger certaines filles choisissais les personnes qu'elles voulais j'ai ouvert ma bouche et m'y les choses au clair je peut te dire qu'elle ne venait plus me faire les belles j'estime qui nous n'avons pas a choisir les personne elles ont toutes besoins d'une aide
Pour les infirmières elles venaient que quand il y avais un problème et du travail a la chaine c'est pareil au domicile car tu fait du ménage chez un un par chez l'autre c'est pareil la journée tu la passe a faire du ménage tu crois que c'est mieux
Dit a ton frère d'ouvrir sa bouche qui ne se laisse pas faire ou qu'il prenne rendez-vous avec son directeur si il a la concsience tranquille il risque rien du harcellenent au boulot il connais pas ce n(est pas parceqque c'est un garçon qui doit tous laisser passer il faut qu il se défende je ne le critique pas loin de la mais je te montre quand on se laisse faire tu te fait bouffer bon courage a toi et ton frère

Re: Réponse a AVS déprimée

Publié : 18 août 2008 14:43
par coquinette
bonjour,

Je tiens a rassurer les collègues AVS, je reviens de quelques jours de vacances et le moral est de nouveau beau fixe.
Merci à celles qui m'ont apporté leur soutien quand nerveusement j'étais à bout.
Dès ma rentrée, j'ai eu de la chance ma responsable m'a entendu et ne m'a donné que des interventions d'AVS (aide à la toilette, petit déj, médicaments à donner, ect , ect...).
De plus, nous devons avoir prochainement une réunion de travail concernant les astreintes, pour en discuter ensemble.
Comme quoi, il ne faut pas se décourager trop vite, et qu'il faut garder le moral.

Bon courage pour toutes celles qui travaillent.
A+
Coquinette

Re: Réponse a AVS déprimée

Publié : 18 août 2008 15:37
par ANNE
Bien sur qu'il ne faut pas se décourager.La négociation avec son employeur est préférable à tous conflits. COURAGE ANNE

Re: Réponse a AVS déprimée

Publié : 18 août 2008 16:38
par lilie
Bonjour Cathy,
Vous savez, j'ai pas mal de collègues qui refusent ou ont refusé les nuits. Je peux le comprendre et respecte parfaitement leur choix (car elles ont des enfants, pas en âge d'être autonomes, soit avec des conjoints qui eux-mêmes sont postés de nuit ou encore parce que maman est seule à la maison) ou par choix personnel (les enfants sont grands mais elles n'éprouvent pas l'envie de travailler la nuit). N'importe quel employeur peut comprendre ce motif à ne pas être disponibles, disposées ou motivées... pour les interventions de nuits. Mes collègues ont à priori fait comme moi ; elles ont imposé certaines conditions. Et apparemment, leur demande à été prise en considération : elles ne sont jamais au planning pour les nuits. Je sais qu'il y a des conventions... mais je sais aussi que certains employeurs sont à l'écoute de leurs salariés. Ce n'est peut-être pas très sympathique pour les collègues (c'est ce que vous me faites ressentir dans votre message) mais elles ne se plaignent pas du fait d'intervenir pour une demie-heure ou 1 heure. Par contre, les collègues qui rechignent les nuits doivent être ravies d'avoir au sein de l'asso des personnes qui sont disponibles pour les interventions de nuits. Voilà. Nous nous "complétons" en quelque sorte. Je pense tout simplement qu'il faut oser dialoguer avec nos supérieurs et défendre nos propres limites pour ne pas se retrouver complétement "dégoûtée", démotivée par le métier que l'on a choisi. L'employeur est à même de comprendre quand c'est justifié. Alors, en ce qui concerne le licenciement ; c'est vrai que le refus est un bon motif de licenciement, mais de nos jours, le manque de personnel qualifié est tel qu'il fait réfléchir plus d'un employeur avant d'envisager la procédure. Voilà Cathy. lilie.