Re: TISF Lorient
Publié : 17 nov. 2005 19:27
Je voudrais m’adresser à Super D,
Super D que tu sois s amère de ne pas trouver un emploi en rapport avec ta formation, ou de n’avoir que des emplois précaires qui ne te permettent pas de vivre de ton travail, je comprends à 100%, mais ton discours sur les familles qui font des enfants pour toucher les allocations familiales, là je m’interroge quant à l’état d’esprit de quelqu’un sortant de formation TISF ! Pourquoi as-tu choisi ce métier en particulier ? Dans la définition du métier il est clair que notre mission est de mener des actions éducatives et préventives auprès des familles, et entre toutes les catégories de familles, celles que tu décris si bien sont justement celles qui ont le plus besoin d’être épauler au niveau de la prévention et de l’éducation.
Certes ce phénomène qu’on appelle « l’argent braguette » en Outre-mer est une réalité, mais il arrange bien notre société ou le taux de natalité est bas, et pour notre retraite il faudra bien que les futures générations soient assez nombreuses pour nous prendre en charge.
Faire des enfants pour avoir des moyens de subsistances c’est souvent la seule solution qu’ont trouvé ces femmes qui souvent n’ont pas de formation professionnelle. La maternité leur donne un statut dans la société, elle sont reconnues comme « mère de famille ». Et faire ce choix de vie ne veut pas dire obligatoirement qu’elles sont de mauvaises mères, même si elles ne savent pas toujours bien faire. L’aide à la parentalité c’est notre rôle, nous sommes présents auprès de ces familles pour justement les aider à rester des parents aimants et responsables, et si elles n’abandonnent pas leurs enfants à la majorité c’est que nous avons bien travaillé, que nous avons contribué à ce que des liens étroits et solidaires se soient tissés entre les membres.
Quant aux célibataires, sans travail, sans familles, sans revenus... il est vrai que se sont les laisser pour compte de la société. Si tu es sensible à leur sort, peut-être devrais-tu chercher un job du côté des chrs ?
Amicalement
jeanne
Super D que tu sois s amère de ne pas trouver un emploi en rapport avec ta formation, ou de n’avoir que des emplois précaires qui ne te permettent pas de vivre de ton travail, je comprends à 100%, mais ton discours sur les familles qui font des enfants pour toucher les allocations familiales, là je m’interroge quant à l’état d’esprit de quelqu’un sortant de formation TISF ! Pourquoi as-tu choisi ce métier en particulier ? Dans la définition du métier il est clair que notre mission est de mener des actions éducatives et préventives auprès des familles, et entre toutes les catégories de familles, celles que tu décris si bien sont justement celles qui ont le plus besoin d’être épauler au niveau de la prévention et de l’éducation.
Certes ce phénomène qu’on appelle « l’argent braguette » en Outre-mer est une réalité, mais il arrange bien notre société ou le taux de natalité est bas, et pour notre retraite il faudra bien que les futures générations soient assez nombreuses pour nous prendre en charge.
Faire des enfants pour avoir des moyens de subsistances c’est souvent la seule solution qu’ont trouvé ces femmes qui souvent n’ont pas de formation professionnelle. La maternité leur donne un statut dans la société, elle sont reconnues comme « mère de famille ». Et faire ce choix de vie ne veut pas dire obligatoirement qu’elles sont de mauvaises mères, même si elles ne savent pas toujours bien faire. L’aide à la parentalité c’est notre rôle, nous sommes présents auprès de ces familles pour justement les aider à rester des parents aimants et responsables, et si elles n’abandonnent pas leurs enfants à la majorité c’est que nous avons bien travaillé, que nous avons contribué à ce que des liens étroits et solidaires se soient tissés entre les membres.
Quant aux célibataires, sans travail, sans familles, sans revenus... il est vrai que se sont les laisser pour compte de la société. Si tu es sensible à leur sort, peut-être devrais-tu chercher un job du côté des chrs ?
Amicalement
jeanne