Manifeste à l’attention de l’humanité
J’en appelle à toutes les mères,
A toutes celles qui porteront,
A toutes celles qui portent,
A toutes celles qui ont porté
Ce fruit lourd des amours ;
A toutes celles qui auraient tellement souhaité éprouver ce pouvoir magique,
Perpétuer la destinée
Donner le jour
Offrir la vie…
J’en appelle à tous ceux qui ont tenu un tout petit contre,
A tous ceux qui estiment que, assurément, la planète Terre est le vrai paradis,
A tous ceux qui pensent que la seule vraie vie est « ici et maintenant »,
A tous ceux qui souffrent du seul vrai enfer,
« L’activisme frénétique du genre humain »,
Jusqu’à nuire à nous-même,
Jusqu’à nuire à nos petits,
Jusqu’à nuire à nos hôtes, les animaux, les végétaux,
Dans notre propre maison, la Terre.
J’en appelle à tous ceux qui veulent casser cette chaîne,
Cette chaîne qui perpétue des schémas déficients aux besoins humanitaires et planétaires,
A tous ceux qui veulent cesser de repasser de génération en génération,
Ce témoin empoisonné du carcan planétaire consenti,
A tous ceux qui ne veulent pas ou plus être
Avide et pressé,
Résigné et servile,
Ou tout simplement impuissant…
Car tout ce chao, au nom de quoi ?
Au nom de qui ?
Au nom d’un symbole monétaire qui n’existe pas,
Une invention purement humaine,
Qui n’a aucune valeur de ressources propres à servir nos réels besoins planétaires,
En terme de faim, de soif, d’abri, de chaleur, de mobilité, de soins, de sécurité, d’éveil,
Et bien sûr d’amour
Au nom d’un concept ingénieux à vocation originel de réseau universel,
Permettant le flux et le reflux des savoir- être et des savoir-faire,
Cet enfant du troc, ancêtre de la Carte Bleue et du Net,
Pris en otage par une minorité bien cramponné à leurs prérogatives,
Quitte à tuer, quitte à tout faire sauter…
Les grands de ce monde, ceux qui nous dirigent, ceux qui perpétuent
Cette haine imaginaire, ce scénario de cauchemar,
A grand coup de démonstration mathématique,
Jongleurs de mots et de chiffres sur la scénette des nantis,
Se comportent comme cet enfant tyrannique à qui,
Pour avoir la paix,
Les parents commodes et asservis, ont jeté un jouet,
Et qui, l’empoignant comme un forcené,
Ne veut pas le partager,
Oubliant qu’il tire sur une poupée,
La poupée de chiffon de l’humanité.
La communauté planétaire se comporte comme ces parents qui ont jeté l’éponge
Devant la tyrannie de l’enfant Roi,
Celui qu’on gave comme une oie,
À coup de Kinder Surprise, de Télé, de Nintendo ;
Cet enfant Roi avachi et hypnotisé par la nounou du 3ème millénaire,
Cet enfant de la liberté, ce petit de l’égalité, ce gavroche de la fraternité,
Dressé à bien consommer et anesthésié à toutes les tyrannies,
Sous le regard béat des familiers, avec la bénédiction des aînés,
Pendant que toutes les 4 secondes, un enfant de moins de 5 ans se meurt,
Se meurt de faim,
Complètement abandonné par sa propre communauté,
Obnubilée par le comment s’enrichir
Ou plus sordidement par le comment boucler le mois
J’en appelle à vous tous,
Sœurs et frères inconnus,
Pour réformer cette conception impropre aux besoins de l’humanité,
Pour rétablir l’argent comme réel moyen d’échange,
Et remettre l’argent à sa vraie place,
Au service du genre humain.
J’en appelle à vous tous,
Pauvre ou riche,
Pour libérer, dans le plus parfait pacifisme,
L’humanité du dernier des carcans,
L’argent,
Celui qui réclame, pour glisser de mains en mains,
Des composants des plus répandus,
De l’encre et du papier.
Au risque de passer pour impie au royaume du fric,
Je ne suis pas sur terre
Pour subir le poids débile d’un système stérile,
Qui sent la naphtaline,
Imaginé par des cœurs étriqués…
Il est tant de revoir le scénario !
Je veux vivre au Royaume du Cœur et dans cette vie là,
Car il y a place pour tous,
Dans le respect de chacun.
Et vous ?
Cet écrit n’est pas politique,
Il se veut juste humaniste,
Je ne cherche aucune forme de pouvoir,
C’est simplement ce que je pense,
Témoin encore vivant
Et déjà dans la petite mort,
Bramant comme le cerf dans le cœur profond de la forêt,
Avant que la meute ne vienne m’achever.
Le communisme propose un système communautaire qui ne tient pas compte de la dimension individuel
Le capitalisme propose un système individualiste qui ne tient pas compte de la dimension communautaire
Les religions soutiennent tous les carcans.
Après avoir bien méditer sur tous ces aspects,
Vivant dans un système capitaliste depuis 40 ans,
Fille de Yves, communiste et de Nicole, catholique,
Eprouvée par toutes les utopies de la vie des hommes au service de l’Argent,
Camisolée dans un quotidien que je subie,
Sur le grand monopoly de la vie…
J’ai donné la vie par 3 fois,
Dois-je m’en mordre les doigts ?
Mes forces vives, mes compétences, mon énergie, ma passion sont enfermés dans une boite de Rmiste,
Je refuse cette prison,
Alors, je vous écris,
Ainsi, je peux me rendre utile peut-être…
I – Biographie de l’argent depuis que le monde est monde
Je suis arrivée sur la planète Bleue, bien sûr, je n’avais rien demandé, comme tout à chacun.
J’ai atterri dans le peuple et j’ai ouvert mes grands yeux étonnés et curieux sur le monde.
Et puis à 6 ans, j’ai découvert que la vie n’était pas éternelle et qu’elle trouvait sa limite dans la mort infinie, dans cet au-delà inenvisageable ; une vraie claque, j’ai eu du mal à me faire à cette idée. Mais la vie continue, et j’ai continué à rouler ma bosse dans les méandres de notre organisation sociale, ballottée entre les conflits conjugaux, les histoires de famille, le dédale scolaire, le périple professionnel et bien sûr, les problèmes d’argent…
Il faut à peu prés 20 ans, le temps d’émerger de sa peau d’enfant et le temps de savoir à peu prés naviguer dans le système, sans toutefois être bien net sur l’élan à donner à sa destinée. Mais une chose est claire, très rapidement dans nos esprits, c’est que l’argent « c’est le nerf de la guerre » et finalement, cette expression est bien formulée et délivre une vérité à double fond :
1) - Sans argent, dans notre concept actuel, pas de Liberté
Liberté de subvenir à ses besoins vitaux :
Tout humain a besoin de disposer d’une série de biens utilitaires pour développer et réaliser son processus existentiel :
Abri, nourriture, vêtements, chauffage, moyen de locomotion, éducation et instruction, sport et culture, éveil et spiritualité…
Aujourd’hui, pour prétendre à ce droit de « biens utilitaires », il faut être bien né ou bon héritier ou bien surfer sur la vague économique ou avoir « le cul border de nouilles », comme on dit chez nous…
C’est le destin !
Liberté de subvenir à ses besoins existentiels :
S’accomplir en tant que personne, chacun selon son cœur, chacun selon son âme, chacun selon ses motivations, ses compétences ou ses dons…pour incarner notre passage dans la vraie vie et l’unique vie, celle qui se passe sur la planète Bleue, ici et maintenant, celle qu’on respire, qu’on entend, qu’on ressent partout dans notre corps, dans notre esprit et dans notre cœur, je vous parle de ces besoins existentiels dans cette vie, là…
Aujourd’hui, personne ne peut affirmer ou infirmer l’existence d’un Dieu, d’un au-delà, tel qu’on nous le présente dans les religions, avec son détour au paradis, en enfer ou au purgatoire, selon un barème mystique…
Dans cette expectative, je préfère miser sur cette planète Bleue, même si la tâche pour redonner à la face du monde plus de sens commun peut paraître colossale.
Depuis des millénaires, nous, les femmes nous assistons, si souvent, à la mise à mort de nos enfants sans droits de citer ou si peu. Pourtant, je suis intimement persuadée que nos pensées, nos concepts féminins peuvent devenir le baume que la planète implore.
Actuellement pour s’incarner en tant que personne « libre, égale et fraternel » dans un rôle comme Mère, Père, Ouvrier, Artiste, Acteur, Inventeur, Bâtisseur, Informateur, Globe trotteur, Dispenseur de soins, Gouverneur, Octroyeur d’Amour, rien ne sert de posséder toutes les compétences requises au rôle que nous nous envisageons, il faut déjà regarder le fond de son porte-monnaie et surtout, surtout, ne pas rêver !
J’ai eu le « bonheur » en 1993 de gagner 1 million de francs à un jeu de hasard, mais je me suis retrouvée comme une assoiffée au milieu des assoiffés à qui on aurait apporté une citerne d’eau, mon million très convoité, s’est évaporé…
Je suis une capitaliste du bonheur mais mon bonheur à un fond d’amertume si je vois que mon prochain tout proche est dans le besoin et la misère, misère vitale et misère morale.
Les journaux nous gavent et nous polarisent sur les gros malheurs outre canton au déni des milles petits drames qui jonchent nos quotidiens, dans nos rues… comme si nous pouvions peser et chiffrer la misère, comme si nous pouvions fermer les yeux…
Pour capitaliser le bonheur, qui n’est, à mon sens, que du ressort individuel, il faut devenir un communiste des besoins communautaires afin de pouvoir vaquer chacun à ses occupations personnels en toute liberté dans la limite du respect de chacun et dans le répertoire des besoins de la communauté planétaire.
L’Argent est le nerf inflammé qui commande la guerre entre les peuples et dans les ethnies.
Les journaux nous étalent chaque jour tous les maux planétaires, la guerre, les maladies, la famine, les catastrophes naturelles, la pollution, les accidents, le chômage, la prostitution, l’alcool, les drogues, les braquages, et j’en passe, à grand renfort d’images et de témoignages, avec ce constat constant :
L’argent fait cruellement défaut dans tous les domaines, partout dans le monde.
Pourtant l’argent est un morceau de papier imprimé qui n’a que le pouvoir que nous lui donnons, et notre planète est bien malade …
L’argent, qui devrait être le sang circulant dans les veines de l’humanité, véhicule dans notre famille humaine mauvais virus, sales microbes, cellules morbides déchaînant nécrose, ulcère, cancer, embolie, infarctus, eczéma, asthmes, tous ces maux latents ou exacerbés portés par chacun d’entre nous, courtiers de ce système, que l’on soignent à coup de saignée
2) - L’argent doit devenir le nerf de la guerre contre tout ce que l’humain peut combattre ou amoindrir et que nous ne pouvons pas abolir.
Car l’argent permet une chose essentielle et c’est là toute sa richesse ; il permet la juste répartition des ressources planétaires, en terme de besoins utilitaires, de façon à ce que chacun dispose des ressources planétaires et des inventions humaines bienfaitrices, à l’endroit où cela s’impose .
Les 30 millions de séropositifs du continent africains, pour ne prendre que ce symptôme, ne peuvent donc t-ils pas bénéficier de tous l’arsenal des médicaments que produisent les pays dits « riches », les continents Européen ou Américain, pour combattre ce fléau !
Pourquoi, puisque nous disposons du savoirs et des remèdes ?
Nous ne pouvons pas abolir le sida, les tempêtes, les accidents et tous les maux collectifs naturels de l’activité planétaire ou provoqués par l’activité humaine mais nous pouvons, grâce aux ressources planétaires, grâce aux mille inventions et habiletés de l’homme, calmer bien des foyers sans ajouter au poids du malheur, le goulot monétaire. Beaucoup d’inventions sont au fond des tiroirs et beaucoup des énergies sont sur listes de chômeurs pour faute d’intérêt économique.
Et puis tous ces hommes que l’on dresse à tuer d’autres hommes, ne peuvent-ils pas déployer leur énergie sur les vrais combats de la planète, apporter sécurité et secours aux populations,
Une armée de pompiers…
A- Depuis 5 500 ans, Argent, vecteur de pouvoir, de guerre et de misère
J’ai appris Samedi soir, au hasard d’une émission télévisée que je faisais partie des 68% de Français qui ont des difficultés à boucler le mois, car là est l’obsession actuelle collective et la préoccupation majeure de la plupart de notre population,
« Joindre les deux bouts ! »
Toute cette énergie mentale, tout ce pouvoir de l’esprit humain, si spécifique, si prodigieux mobiliser à ces comptes d’apothicaire…
68 % pris dans l’étau de l’argent rien qu’en France, un des pays riches de la planète !
A l’heure où j’écris ce manifeste, la mère que j’incarne est en proie à la plus profonde des inquiétudes, des angoisses. Mon nouveau statut de Rmiste associé à celui déjà très lourds de famille monoparental avec 3 enfants m’expose à des contraintes financières qui remette en question tout mon mode de vie et bien sûr, dans ce raz de marée, celui de mes enfants ; que dois-je faire, je suis instructeur d’équitation de métier, métier de troubadour, métiers payé à coup de sabots, métier vocation ; je revendique pour mes enfants la stabilité géographique à défaut de stabilité familiale ; je revendique de vivre en maison avec un jardin car je refuse d’être en cage à lapin et en transhumance professionnelle avec 3 enfants ; je veux accomplir mon rôle de mère, celle qui éveille et nourrie, celle qui éduque et console, le temps que mes petits prennent l’envol, je veux donner des racines et des ailes à mes descendants…
Que dois-je faire ?
Me prostituer dans un boulot, vendre mon corps au système capitaliste, rendre les clefs de la maison, manger mes poules, caser nos chiens à la SPA, abandonner le chat, vendre le poney, mon petit piano, arracher mes enfants à cette petite bulle d’humanité, quitter cette petite enclave où nous avons posé nos valises depuis 5 ans.
Pourquoi ?
Arrêtez de regarder vos papiers et vos écrans, Monsieur et Mesdames les Dirigeants nantis de la Planète, il suffit de poser un regard sur la planète pour savoir où doivent se porter les forces vives de l’Humanité.
Quel écartèlement entre la femme dont la vocation s’exprime dans un univers quasi-médiéval et la mère qui s’en roder la précarité autour de son foyer…
J’ai les boyaux tout tordus, pourquoi ?
Comme ma vie est une éternelle confrontation à ce pouvoir de l’argent, j’ai cherché à savoir comment nous en étions arrivés à un tel déni de la première ressource et valeur de cette planète, l’Humain, nous-même quoi !
Alors, voici la petite histoire tel que j’ai pu la découvrir et l’interpréter dans nos écrits.
Les dates seront peut-être approximative, à mille ans ou 5 milles ans prés, mais ce n’est pas d’une importance capitale face à la réalité anti-sociale, si cyniquement et longuement voulue par les bénéficiaires subtils de ce système depuis 3500 ans.
Ce qui me paraît intéressant, c’est le rouet que l’homme a inventé pour filer cette toile d’argent…
Le « matérialisme historique » nous permet, non seulement de comprendre l'origine précise et les instruments concrets de cet 'imbroglio anti-social, la monnaie métal, créé par des pouvoirs occultes, mais elle nous permet surtout d'entrevoir la possibilité pratique et concrète de détruire tous ces pouvoirs illégitimes et inhumains.
La monnaie est un instrument purement conventionnel, dès son origine, il y a peu prés 10.000 ans. Ce n'est que depuis quelques 3500 ans, avec l’age de Bronze, que la monnaie reçoit une forme métallique concrète, anonyme, uniforme et permanente, qui permet une totale obscurité sur le marché.
Cette métamorphose successive pourrait se résumer ainsi:
En un premier moment, le marché fonctionne sans système monétaire, par le moyen du simple troc non monétaire, depuis environ, si l’on considère que les humains peuplent la Planète Bleue depuis 3 000 000 années et que le troc non monétaire fonctionne jusque environ – 10 000 av JC, donc pendant environ 2 988 000 années, les humains se passent de cette invention et demeure en paix :
Soit pendant 99.6 % du temps vécu par les humains sur la planète, en troc non monétaire, de l’échange pur…
De fait, chez les populations humaines d'organisation sociale simple, celles que l'on appelle les «chasseurs, cueilleur, collecteurs», l'entretien individuel et familial se développe naturellement à l'intérieur de la communauté, comme dans toutes les communautés mammifères ; c'est pourquoi l'échange utilitaire n'est pas vitalement nécessaire.
Par contre,l’échange que j’appellerai existentiel est nécessaire socialement, puisqu'il sert à établir des liens d'amitié et des alliances avec d'autres groupes, ou bien à affermir les relations sociales existantes à l'intérieur du propre groupe.
En un second moment, apparaissent les unités monétaires avec leurs conséquentes valeurs mercantiles et commence ainsi le troc monétaire.
Au début, la monnaie apparaît comme un moyen d’alléger les échanges du troc qui s’instaure au sein et entre communautés qui, petit à petit peuplent la planète Bleue…
Depuis environ – 10 000 avant Jésus-Christ, soit à partir environ de 2 998 000 ans depuis que l’humanité existe, les hommes troquent de façon « monétaire » pour alléger le système de troc. Ils mettent en places un système d’échanges basés sur un objet reconnu par tous comme valeur symbolique. Cet objet doit être de transport aisé et non périssable ;
Le coquillage, les os, le sel, le blé, le cheptel, …
incarnent tour à tour « cette monnaie d’échange » et c’est ainsi que ce diffuse au sein des ethnies les ressources spécifique au lieu de vie, les fruits de la chasse, de la pêche, de la cueillette, de la culture, de l’élevage, des arts. En fonction des ressources dont les hommes disposent et des matériaux qu‘ils en extraient, chaque ethnie découvrent et mettent au point des savoir-faire que la fabrique d’objets matérialise et que le troc dynamise. Soit environ, selon mes calculs savants :
0.21 % du temps vécu par les humains sur la planète, en troc monétaire, « achats » payés en monnaie symbole, non périssable et largement répandue…
Dans ces deux temps se produit une pacification croissante entre les différentes villes souvent fortifiées, en partie grâce à l’invulnérabilité des murailles bien gardées par des hommes ayant « le sens d’appartenance à une ethnie », et en partie grâce à la prospérité que ce système d'échange induit.
Grâce à la grande importance de ces mœurs sociales, le troc primitif est souvent revêtu de formalités, de rituels complexes, liés à la magie, c'est-à-dire lié « à la conception sacrale de la vie de l'homme ».
Tout acte d'échange est considéré sacré, de même que toutes les relations sociales.
La monnaie est un instrument abstrait qui a une valeur seulement en fonction d'une marchandise qui existe vraiment.
Avec l'arrivée de la monnaie métal anonyme vers - 3500 av JC, « l’Age de Bronze », et vers - 500 av JC en France, via Marseille, vient l'avènement de la banque privée, un véritable «pouvoir dans l'ombre» ; Les fonctionnaires des temples changent leur vocation et s'adonnent à inventer les religions et deviennent des « prêtres » pendant que les « rois » inventent le premier système pondéral des métaux ,un poids de métal dits précieux, depuis lors utilisés comme monnaie concrète. Le vil métal, « or et argent », se mute en métal « précieux ». Les « rois » y voient très rapidement un élément de contrôle et se réservent le monopole de la frappe. Les religions en sont la griffe. Cette stratégie reçoit le nom « d'argent » ou « pouvoir d'achat », soit :
0.18 % du temps vécu par les humains sur la planète, en troc monétaire métal, tant au vu du désastre humanitaire et planétaire que la monnaie métal à induit et si peu au vu de toute ces années, siècles, millénaires où les hommes ont su vivre dans la paix intérieur, intérieur à son ethnie, l’Humanité
À partir de ce moment commencent les colonialismes. Les murailles imprenables tombent, non pas sous les coups de catapultes encore inexistantes, mais sous la subornation de quelques-uns des gardiens des murailles par les assiégeants,des « ripoux » en somme pour parler contemporain.
La monnaie est ainsi devenue une tierce marchandise concrète, en tout semblable à n'importe quelle autre. Dès le début, cette conventionnelle monnaie métallique concrète s'est montrée insuffisante, trop rare pour pouvoir faire front, avec efficacité pratique, à un marché très prospère qui tendait spontanément à une expansion indéfinie, en relation directe avec la démographie.
C’est mathématique !
De plus, toutes monnaies métalliques concrètes sont forcément anonymes, uniformes et de circulation sociale permanente, donc inconnaissables.
Les monnaies permettent maintenant le «sale jeu», terriblement déloyal et malhonnête, de la corruption généralisée, du pouvoir occulte, des propagandes,... documenté tout au long de ce qu'a été la réalité historique quotidienne des 5500 dernières années. Regardez dans les bouquins ou croyez ma brève analyse, cela revient au même…
Peu à peu, on passe du paiement moyennant « instrument monétaire », au paiement en « métallique ». L’argent est commode de transport et permet des transactions instantanées, à une époque où « écrire » était un acte compliqué à la portée de très peu de gens. Un métal précieux (or, cuivre, argent...) est choisie et privilégiée entre toute les autres, pour servir de moyen de paiement de toutes les autres marchandises. La monnaie métallique se répand rapidement et jouie d'une grande acceptation chez les peuples civilisés de l'antiquité.
Malgré cela, elle porte déjà, dans sa nature même, le germe de sa disparition.
En effet, les systèmes monétaires métalliques ont une limite très précise pour leur développement:
La quantité de métal susceptible d'être frappé, existant en chaque société géopolitique, à un moment donné, dans une quantité complètement abstraite pour l’homme…
Cette limitation de mine de métaux précieux, comme le pétrole aujourd’hui, est si contraignante que bientôt devient évident pour les dirigeants de ce monde, la nécessité de renoncer aux systèmes de la monnaie métallique concrète, pour revenir peu à peu, à des systèmes monétaires caractérisés par une abstraction progressive du métal précieux.
Impossible d'augmenter à volonté les réserves de métal monétaire quand celles-ci sont insuffisantes pour la quantité de marchandises réellement existantes.
Chaque fois qu’un marché devient dynamique et fécond, la pénurie de métal susceptible de devoir être frappé en conséquence et qui n’est pas trouvé ou disponible, provoque l'apparition de nouvelles modalités de mesures monétaires moins limitées quand à leurs capacités d'expansion.
Parce que l'émission et le cours légal de la monnaie sont en leurs mains, les autorités peuvent faire que la valeur nominale et légale des pièces de monnaie ne correspond pas à leur valeur réelle de métal « précieux ».
Ceci peut s'obtenir par deux procédés :
En frappant une nouvelle monnaie dite de même valeur nominale avec un contenu inférieur de métal « précieux »
Ou bien en augmentant officiellement la valeur nominale des pièces en circulation.
De cette manière, l'autorité battant monnaie pouvait réaliser ses paiements en utilisant une moindre quantité de métal.
A la fin du Moyen Age, se produit un énorme développement de relations commerciales et, par conséquent, des nécessités de monnaie.
Pour répondre à ces nécessités, les banquiers de l'époque inventent une nouvelle pratique qui essaie de suppléer à la pénurie de métal. Alors les dirigeants planétaires imaginent « la lettre de change », l’ancêtre du billet, qui est un moyen de solder les dettes à distante et d'éviter, de cette façon, les dangers du transport de métal. Puis, plus tard, à la lettre de change, s'ajoute la notion de crédit, c'est-à-dire, de « paiement différé dans le temps ». Cette nouvelle modalité d'instrument monétaire « papier crédit », a la caractéristique de créer « une nouvelle circulation monétaire parallèle » qui s'ajoute à la circulation de monnaie métallique. Une « promesse de paiement en métallique dans un délai donné ».
C'est un nouvel instrument monétaire, qui n'a aucune valeur intrinsèque.
L'unique élément qui le contient, c'est la confiance, très immatérielle, que le délai prévu passé, le paiement sera effectivement réalisé… mystère !
Les banques assument le risque que la lettre de change ne soit pas solvable, mais ce risque n'est pas excessif, à condition que la relation entre « le total des dépôts réellement effectués » et « le total des crédits concédés » se maintiennent dans des limites prudentes.
La limitation évidente du « papier crédit » est que celui-ci est lié à une période de temps très précise et à la conversion en monnaie métallique concrète. La lettre de change n'est pas de durée illimitée et le pouvoir d'achat qu'elle représente disparaît quand elle est venue à échéance….
Cette limitation dans le temps disparaît avec l'apparition du « billet de banque », inventé en 1656, représente « une promesse permanente » de conversion en métal, basés sur la confiance des utilisateurs dans la banque émettrice, dans sa capacité de faire face aux demandes de conversion. La circulation de billets de banque garde encore une relation avec la monnaie concrète: la possibilité permanente de se convertir en cette monnaie.
Grâce à la possibilité d'émission de billets de banque se créent les bases pour pallier à la pénurie des métaux précieux, qui, malgré les successives découvertes de mines, au long du XIX siècle, continuent à être insuffisantes.
Le XIX siècle est déjà pleinement industrialisé: ceci fait augmenter et se multiplier les nécessités du pouvoir d'achat à un rythme impossible à suivre par les métaux précieux.
Le système monétaire basé sur la circulation parallèle de monnaie métallique et de billets de banque convertibles en or est appelé couramment « gold standard ». Ce système caractérise tout le XIX siècle. Les Banques Centrales des différents Etats monopolisent l'émission des billets de banque, ceux-ci devenant ainsi de « cours légal ».
Mais chaque fois que se présentent dans un Etat, des crises, crises de production, guerres, révolutions, émigration, démographie...et que les dirigeants de ce système monétaire doivent faire face à davantage de dépenses, cet Etat émet plus de billets que de réserve en Or. Jusqu'à ce que se produise « l'inévitable crise de confiance ». Tout le monde désire convertir ses billets en monnaie métal et l'unique recours qui reste à cet Etat, est alors, de déclarer le « cours forcé des billets ». C'est seulement quand la situation revient à la normalité que se rétablie la convertibilité.
La suite de cette histoire est ce qui fait qu’aujourd’hui j’agite mes petits doigts sur le clavier, pour vous délivrer le fruit de mes pensées concernant notre système actuel.
J’ai été complètement stupéfaite en découvrant dans un des manuels d’Histoire de France, ce que je préconise aujourd’hui, « multiplier le papier monnaie », comme des petits pains, pour apaiser les maux de l’Humanité et de la Planète Bleue.
Chaque fois que je tiens ce discours auprès de mes semblables, on me regarde avec des yeux ronds et je passe pour hérétique au royaume du fric…
Pourtant je tenais là, dans mes mains, la preuve historique que nos gouvernement avaient déjà utiliser ce procédé de multiplication non pas pour conforter le processus vital de l’Humanité, mais au contraire, pour faire une guerre boucherie. Pendant la Première Guerre Mondiale, les énormes dépenses de guerre provoquent le vide presque complet dans les caisses des Etats participants. Les billets sont émis en grandes quantités et, évidemment, on supprime la convertibilité. Multiplier les billets pour acheter des fusils, des canons, des explosifs et tout l’arsenal nécessaire à l’enfer planétaire
Si nos gouvernements peuvent multiplier les billets, décider le « cours forcé » pour animer des guerres entre peuples, Alors nous pouvons multipliés les billets pour construire la paix… C’est presque enfantin tellement c’est simple, les billets redeviennent coquillages !
B - Pendant 2 998 000 années, Argent, vecteur de hiérarchie, d’échange et de pacifisme
Ce que je propose n’est pas du domaine de la révolution, il ne s’agit d’aller prendre aux riches pour donner aux pauvres, avec cette traînée de charognards, que l’on retrouve dans chaque chapitre de l’Histoire décrite depuis 5500 ans, charognards prêts comme on dit « à tuer père et mère »…
Il s’agit au contraire d’évolution. Le nombre de billets émis doit correspondre aux besoins utilitaires et aux demandes existentielles. Le calcul est simple, il n’y en a pas !
Les besoins de financement de la guerre de 1914 séparent définitivement notre régime monétaire actuel de toute référence concrète à l'or et à l'argent. Les billets de banque sont déclarés de «cours forcé» et deviennent inconvertibles. Dès lors, les systèmes monétaires du «monde civilisé» se caractérisent par l'inconvertibilité des billets de banque. Après la guerre, quelques pays essayent de restaurer une partielle convertibilité, mais la crise de 1929, avec l'absence totale de discipline monétaire, crée une énorme inflation et met définitivement fin à la question.
La crise de 1929 est la conséquence anti-économique non prévue par les experts, mais inévitable, car c’était sans compter avec la démographie !
Pour s'en sortir la majorité des grandes puissances se lancent dans une militarisation et un armement forcenés. Le pétard final est la guerre 1939-1945, qui signe pratiquement, dans tous les États du monde, la disparition définitive de l'or et de l'argent comme «monnaie métallique concrète».
De sorte que le système monétaire, né de la Première Guerre Mondiale est basé sur l'abandon de la monnaie métallique en ce qui concerne les relations utilitaires à l'intérieur de chaque Etat. Dans les relations internationales, on maintient le rôle de l'or mais seulement jusqu'à 1971, année dans laquelle le président Nixon détache le dollar de l'or.
Le billet de banque inconvertible, le « papier monnaie », est le trait caractéristique de la nouvelle étape monétaire. Ce papier monnaie, le même qui circule encore de nos jours, n'a plus rien à voir avec l'or, ni avec aucun métal, ni marchandise concrète. Il ne représente aucune quantité d'Or, et ne peut être converti en Or.
Mais alors, quelle est la nature du papier monnaie? Quel est son fondement?
Le papier monnaie se base simplement, sur la convention sociale qui fait de lui un instrument nécessaire à tous actes d'échange mercantile, et sur la confiance qu'on lui fait, en tant qu’instrument qui remplit adéquatement sa fonction. Par conséquent, sa nature est auxiliaire et abstraite, juste un concept, comme le système métrique. Sa valeur est celle d'un instrument qui nous aide dans la comptabilité et l'échange des marchandises concrètes.
Le système monétaire est revenu, finalement, à sa nature fondamentale primitive… les os, le sel, le blé, le cheptel, …
La coïncidence de dates entre l'apparition de la première monnaie « d'or et d'argent » et la première forme de dictature, « l’impérialisme babylonien » qui s'empare rapidement de toutes les cités de Sumer, sans avoir les moyens guerriers de détruire leurs murailles ; cette synergie engendre le prototype de la « déloyauté » et de « la traîtrise anonymement payée », de « la corruption comme première arme de guerre », de « la prostitution et du pouvoir » contre « tous les peuples avec leurs besoins vitaux et existentiels »,
En rétablissant les réseaux de l’argent, les résultats sociaux que nous pourrons en obtenir à court, moyen et long terme, permettront la confirmation ou non confirmation expérimentale de cette hypothèse:
Disparition des impérialisme et progressive pacification des peuples, disparition des vols et crimes pour de l'argent...
En ce moment, la gravitée des dangers qui nous menacent, nous amène tous à de multiples activismes sociaux frénétiques. Il faut centrer et diriger vers un seul et premier but, tous nos efforts, ce qui dépend d'une compréhension plus réaliste des phénomènes réels. Le réalisme historique nous permet la stratégie adéquate:
«La pratique humaniste, c'est une théorie que nous devons défendre et établir».
Cette proposition n’est pas une utopie en comparaison avec les potentialités technologiques actuelles. C'est simplement une question de politique prioritaire, de stratégie préalable à tout effort de pacification ...
Chaque société, chaque communauté, chaque groupe organisé en vue d'une amélioration quelconque de notre vie quotidienne se doit de l'étudier sérieusement et d'en préparer l'application à sa réalité culturelle et technologique actuelle. C'est « l'énergie intime des peuples » qui peut produire les changements nécessaires de nos structures anti-sociales et sclérosée pour incarner les idéaux et les désirs d'une vie meilleure pour tous.
Cette recherche de nouvelles structures et d'instruments efficaces est un moment historique pour avancer vers la paix, la liberté, la justice et enfin l’égalité et la fraternité.
II - Revoir l’Echelle de nos Priorités
A - regard sur le monde
Vous prenez « les charges non compressibles » d’un adulte, « le boulot, le métro, le dodo, l’intendance familiale, la paperasse, les gosses, le conjoint, la famille », vous appliquez à cette « charge fixe », le coefficient « épreuve » qui frappe de-ci, de-là, les individus,« le deuil, la maladie, les chagrins d’amour, les conflits conjugaux , les discordes familiales » , ou qui frappe les populations, « le chômage, les handicaps, les maladies incurables ou orphelines, les guerres, les famines, les crimes, les viols, l’esclavage, les épidémies, les catastrophes naturelles et artificielles » ;
A l’issu de cette opération vous devez normalement obtenir une boule bien dure, un nœud !
Qui ne croise pas malheurs et fléaux ?
Alors vous passez le tout dans la moulinette politique du système dont vous dépendez ;
Renseignez vous à la mairie!
Normalement vous ne devez plus rien ressentir. Mais si les symptômes persistes, si vous ne supportez pas la pression, vous pouvez toujours anesthésier ce « mal-être latent » à coup de télévision, cigarette, alcool, médicaments, drogues, jeux vidéos, boulots, maîtresses, amants, tous ces placebos largement accessibles, consenti par l’ensemble de la communauté planétaire, par puissance ou impuissance individuel et abandon collectif.
Comme beaucoup d’humains, j’ai recours à l’humour et à l’ironie,
Parfois amer,
Pour supporter la pression de cette cocotte-minute !
Je suis avant tout une ménagère pourvue d’un bon « sens commun », et j’ai « le sens pratique et efficace ». La situation planétaire est dramatique et les systèmes de gouvernement présentent sous le capot une tuyauterie complexe très usager, qui va bientôt exploser et à petit rendement en terme d’Humanisme.
Je ne vois qu’une solution, changer le moteur !
J’ai du mal à croire que ces grands dirigeants « en haut lieu », n’ont pas suffisamment de fertilité intellectuel pour imaginer des concepts plus porteurs, non pas au bonheur. Le bonheur est du ressort individuel et émane de l’intérieur des êtres. Mais plus porteur du bien-être et de la santé communautaire et planétaire.
Ils appliquent à la Plante Humaine et à la Terre Mère Nourricière, cette arythmie et cet engrais chimique qui force la plante au rendement. Si la plante ne supporte pas cette mesure, alors elle crève….
« Marche, produit et crève »
Les petites mesures « soupapes » qui sont votées au fur et à mesure que les symptômes se déclarent et s’installent sur la planète Bleue, font penser, à la bonne mère de famille que je suis, à un petit pansement appliqué sur une brûlure au 3ème degré.
Et, si, mon enfant malade à une crise de foie, j’arrête de lui donner du chocolat, comme toute première mesure de convalescence. C’est le bon sens ! Si malgré ces symptômes nauséeux, éruptifs et de débâcle intestinale, en tant que responsable de l’enfant malade, je persiste à lui administrer ce qui fait la cause de son état, je passerai certainement auprès des autres mères pour quelqu'un de peu de conscience, irresponsable et dans certaines limites, on pourrait remettre en question ma capacité à prendre en charge un petit…
Que doit t-on penser de ceux qui induisent et gouvernent ce comportement malfaisant
À échelle internationale ?
Il existe bien des courants pour soigner les maux de l’humanité, pourtant le courant officiel ne cautionne qu’un remède :
L’anti-…
L’anti-fièvre, les discours électoraux, l’anti-biotique, la police, l’anti-éruption, le racisme, l’anti-spasmodique, l’occident, l’anti-vomitif, les congés payés, l’anti-douleur, les stupéfiants, l’anti-tout ce qui dérange la vision de la « bulle de verre des nantis». Si vraiment les symptômes persistes, l’ablation, les fours crématoires, les rayons X, la bombe atomique, la chimiothérapie, les attentats, la greffe, l’émigration, les organes et membres artificiels, la DASS, la rue, l’esclavage, la prostitutions, le chômage, les Rmistes, le Tiers-monde, les paradis artificiels, le Loto, les Religions, les drogues
Sont les remèdes de la pharmacie officielle…
Dans ce scénario, de plus en plus d’hommes et de femmes, laminés par « l’absence de sens d’une vie ballottée au gré d’enjeux économiques et de flux racistes», sont conscients à la fois de l’impasse matérialiste et de l’impossibilité de revenir en arrière, vers les conceptions patriarcales obscurantistes qui légitiment l’exclusion culturelle et sociale de la quasi-totalité des humains depuis des millénaires …
Les hommes au pouvoir actuellement ne sont pas responsables d’un système établi, il y a approximativement 6 millénaires sur les 3000 millénaires vécus par l’Humanité. Mais ils sont responsables de
« Non assistance à Humanité et Planète Bleue en danger »,
Ils connaissent parfaitement l’état de gangrène du monde agonisant…
A l’instant où je vous écris, je suis consciente, de façon intestine, de la dureté du système, car je suis dans la toile. Les « nantis dirigeants » me semblent au balcon.
La vue d’ensemble doit donner le vertige et faire froid dans le dos !
Bon courage, les enfants !
Si, bien sûr, vous en sortez « vivant et indemne »…
J’en appelle à une réconciliation aux valeurs féminines
Celles qui gouvernent les familles,
Celles qui déploient ouverture à l’autre et au monde,
Celles qui éprouvent compassion et foi,
Celles qui prêchent l’amour charnel et spirituel.
J’en appelle à cette conception de
« L’union d’amour nécessaire entre le principe mâle et le principe femelle ».
Car nous, les femmes, nous ne sommes pas l’aide assortie aux mâles dominants,
Dans une culture étayée sur une volonté de conquête terrestre sans fin,
Servie par la violence charnelle.
Et cette « dureté de cœur »,
Qu’ Epouse et Mère, fidèles et serviles,
Tel que les Evangiles l’ont établi,
Endossent.
Cette idée juive et chrétienne que le divin est purement « mâle »,
« Dieu le Père, le Fils et le Saint-esprit »,
Cette Trinité bancale,
Qui se présente comme « Totalité »,
Devise de la doctrine officielle du divin masculin,
Où il n’y a pas la moindre allusion à l’existence d’un genre féminin dans le monde,
Qui exclu le divin féminin…
Le système actuel enchevêtre ardemment « argent », « pouvoir » et « religions » dans leurs aspects les plus noires, car, comme tout concept, ils renferment les germes du bienfaisant et du malfaisant.
Une voiture en soit, est une bonne conception (principe masculin) si nous l’utilisons dans le respect des règles établies et dans la considération de tous (principe féminin). Mais avec une conduite très personnelle, sous l’influx de pulsions égocentriques d’un conducteur, le véhicule qui est bienfaisant au départ pour chacun, devient malfaisant pour la communauté ; A quoi cède ce jeune conducteur qui jette aux orties le pacte( principe féminin), si ce n’est à la possibilité d’épater ces congénères par un des objets typiquement représentatif du « pouvoir de l’argent » (principe masculin) et qui est reconnu implicitement, sur tous les écrans, dans tous les canards, dans toutes les bibles comme « valeur absolue»…
Le pouvoir malfaisant du « pouvoir de l’absolu masculin »
Quand l’inspecteur accorde le permis de conduire à un candidat, il lui remet un pouvoir.
Lorsque je vote, je donne le permis de conduire « les affaires de la population » de la même façon, à un politique :
Celui de conduire dans le respect des autres,
Valeurs de la sphère féminine,
Ou
Celui de conduire dans l’exaltation de son ego,
Valeurs de la sphère masculine.
Il n’y a pas dualité dans ces 2 principes,
Chaque humain mâle ou femelle les terre en soi,
Pour l’instant, il y a exaltation d’un penchant au déni de l’autre…
Il s’agit simplement de cultiver le principe masculin dans le principe féminin,
De cultiver la graine mâle dans la terre femelle,
Aujourd’hui la terre est épuisée et les récoltes carencés,
Forcés par l’engrais monétaire de-ci,
En jachères de-là.
Nous avons un concept, un pacte à destiner et édifier :
Les ressources terrestres sont communautaires et gratuites.
Tout être vivant sur cette planète dispose des ressources nécessaires
À ses besoins vitaux et à son accomplissement individuel,
Car sur notre Echelle des Valeurs,
L’Humanité est la ressource la plus précieuse,
Comme le sont nos enfants…
De ce point de vue
L’Humain est Libre.
Il navigue librement sur le territoire terrestre.
Par qu’il est curieux…
En conséquence :
Il observe une Egale mesure dans ces actes,
Parce qu’il est respectueux de la source de son bien-être,
La Planète Bleue…
Il est avant tout Fraternel,
Il a une âme Soeur…
La culture de l’Humanité dans le respect de la Planète Bleue,
Principe féminin,
Celui qui nourrie, abrite, soigne, éveille, émerveille…
La Culture de la Planète Bleue dans le besoin Humanitaire,
Principe masculin,
Celui qui conquiert imagine, invente, explore, construit, exalte le potentiel Humain.
A la qualité de la conduite s’ajoute la qualité du véhicule. Je possède une Fiesta « «promo 1991 », qui totalise 250000 km. Cette voiture, ma vieille jument, transportent mes 3 enfants. Je pense quel mérite une bonne retraite et devant sa vétusté, je ne m’aventure pas au delà de 50 Km alentour la maison. Potentiellement, en conduisant cette voiture, je suis dangereuse pour mes enfants et la communauté malgré ma conduite en « bonne mère de famille ».
Cela illustre le « pouvoir malfaisant de l’argent ».
L’argent est bienfaiteur quand chacun en dispose suffisamment pour, à une bonne conduite individuel, allier la possibilité de disposer d’un véhicule récent aux derniers faits technologiques dans le domaine sécuritaire…
Donc le pouvoir est un concept qui,
Au travers d’un objet,
Peut revêtir une attitude bienfaitrice ou malfaisante ;
B - vision du monde
En accèdent librement au « réseau des biens utilitaires et existentielles », par « le papier-monnaie »,
il n’y a aucune raison de se pervertir dans la corruption, les marchés parallèles, les guerres.
Non seulement, en ouvrant grand le robinet de l’argent, nous abreuvons la plante humanitaire assoiffée et acculée dans ces comportements les plus misérables, mais nous vitalisons les énergies intellectuelles et émotionnelles pour une expression pacifique et utilitaire…
Sincèrement, combien somme nous à revendiquer le système actuel ?
J’écris pour le savoir !
Dans ma pratique professionnelle et grâce aux références scientifiques que l’homme a établi au sujet des lignées de mammifères qui habite la Planète Bleue, j’échafaude souvent des comparaisons entre leurs comportements sociaux et les nôtres.
La toute première et la plus importante à mes yeux,
C’est la notion de « Hiérarchie ».
Le « pouvoir à effets malfaisants» tel que nous l’expérimentons au fil des siècles, n’a pas chapitre dans l’organisation sociale d’une communauté de « purs mammifères ».
Souvent, il s’agit de « Hiérarchie »
La « Hiérarchie » met en valeur et intègre tous les représentants dans une espèce considérée dans le troupeau. Les joutes et rituels qui établissent la hiérarchie, n’engagent que les audacieux.
Pas le troupeau…
Le loup, l’éléphant, la baleine et tant d’autres sont nos maîtres dans ce domaine…
Notre vision patriarcale étriquée ne voit que le « leader », une fonction de « dominant » dans un groupe de « dominés ».
En étant moins restrictif et plus humaniste, la hiérarchie permet, par le biais de « meneurs », d’établir un « référent reconnu par l’ensemble ». Non pas pour sa « super puissance » mais reconnu par « sa capacité à » amener le troupeau vers les bons herbages, les différentes contrées nécessaires à sa pérennité, à la préserver des prédateurs et des dangers planétaires. Ces meneurs sont la tête du principe communautaire et une des expressions culminantes de « l’Effet d’Ensemble des Massifs Altruistes ». Sans la communauté, le « meneur » n’a aucune raison d’être ; et sans éclaireur, la communauté sécrète ses énergies à tâtons, de façon spasmodique, convulsive, et finalement suicidaire…
De même que sans malade, le médecin n’a aucune raison d’être
Et que sans médecin, la population agonise…
De même que sans manouvriers, le patron n’a aucune raison d’être
Et que sans patron, le manouvrier croupie…
De même que sans femelle, pas de mâle
Et que sans mâle, pas de femelle…
Dans notre communauté d’humains, le rôle « d’éclaireur /meneur » n’est pas anonyme. Il est nommé et identifié, notion complètement abstraite chez les purs mammifères. Chez nous, il s’appelle César, Louis XIV, Napoléon, Hitler et tant d’autres. Cette notion développe souvent chez nos représentants, des crises d’égocentrisme et dans le pire des cas, de paranoïa, « dans un sillon qu’abreuve un sang impur… » ...
Les rébellions matérialisent les insuffisances du scénario joué par la Force Intime des Peuples soumis et serviles, déployée parfois, dans un sursaut moribond et clairvoyant de l’injustice sociale profonde…
Je pense aux jougs de l’esclavage, du pouvoir monarchique, du pouvoir ecclésiastique, du pouvoir juridique, de la famine,du racisme, de la prostitution, du pouvoir patronale et patriarcale et j’en oublie bien sûr, sans oublier toutefois que beaucoup de ces jougs ne sont pas éradiqués à cet instant…
Il est intéressant de constater qu’autour de ces différents carcans humanitaires,
« L’argent monétaire restreint » est toujours satellisé !
Il est aussi intéressant de constater
Qu’une mule n’en supporterait pas le quart…
Mais égrener et disséquer le chapelet des carcans et nourrir « Radio Litanies » n’est pas l’objet de ce manifeste, il se veut « pratique et efficace »
Mais quelle peut être « l Echelle des Priorités Planétaires » établie par « les Citoyens de la Planète Bleue » ?
Je pense à la pyramide qui marie « les principes masculins » et « les principes féminins »,
Où chaque poussière de vie trouve un cadre d’évolution, « fidèle au principe féminin »,
Dans un monde fêté par le « principe masculin ».
Le « principe féminin à échelle familiale, nationale, planétaire » ne doit pas être un palliatif, un pansement aux maux de l’humanité, en désespoir de cause, représenté aujourd’hui par quelques instances étatiques, associations humanitaires et grands mouvements de solidarité spasmodique et éphémère.
Comme le « principe masculin à cette même échelle » ne doit pas être une conquête de l’hypocrisie et de la duplicité, des territoires et du pouvoir…
Le « principe féminin compassionnel et miséricordieux» doit être la dimension préventive, prophylactique qui conduit le « principe masculin de conquête » dans le respect et au service de l’Humanité dans le bien planétaire.
En rapportant ce concept à une cellule de l’humanité, « Le Couple, la Famille », espace concret et potentiel de la réconciliation des deux antagonismes, de l’union du principe masculin et du principe féminin,
celui qui donne naissance aux enfants, à la famille, sous le joug contemporain du « postulat patriarcal », rend palpable les perspectives.
Toutes ces familles, ces petits royaumes, ces petits ruisseaux sont le réseau virtuel, intime et puissant du potentiel humanitaire. L’expression du dedans que reflète le dehors. Au-delà des distinctions sexuelles, n’être plus mâle, ni femelle, se libérer de la contraintes des rôles imposés par la société pour ce retrouver « nu », seulement « Humain » …
Dans notre société d’humains,
Ce n’est pas un visage qu’il faut reconnaître et élire.
Tous ces visages qui se sont prêté ou que l’on a prêté
A toutes les causes inhumaines,
Et que nos actes et nos édits,
Nos lois laïques, militaires, religieuses ne gardent pas
Du comportement égoïste et narcissique;
Que le pouvoir économique exalte encore et encore…
L’argent ne doit pas représenter un amas retenu par un pouvoir
Qui ne ménage que quelques portes dans les murailles de cette enceinte,
Et qui ne filtrent que quelques visages,
Qui une fois dans la Caverne d’Ali Baba,
A l’abri des regards,
En oublie tous ceux qui sont restés dehors…
Cela semble délirant !
Nous sommes obligés de défendre cette dimension dans notre propre ethnie…
Nous valons plus !
Nous méritons mieux que les schémas actuels !
Nous savons déjà faire mieux !
Il suffit de le revendiquer et de l’instaurer !
De la manière la plus simpliste qui soit,
Pratique et efficace,
Ici et maintenant,
Ouvrir les vannes du courant monétaire à tous,
Dans toutes les nations qui instaurent le système monétaire comme moyen d’échange ;
Reconnaître et Réparer,
Multiplier suffisamment pour que chacun dispose
Du Revenu Minimum d’Existence.
L’argent doit être comme le sang dans les veines,
Comme l’Air dans les poumons,
L’argent doit être le véhicule Humanitaire.
Il faut reconnaître un concept qui assoit définitivement
L’Humain et la Planète Bleue
Comme valeurs absolus,
Au sommet de l’Echelle des Priorités
Pour accueillir toutes les âmes à nourrir…
Il faut reconnaître un concept qui accueille
Toutes les idées individuelles et collectives qui fusent,
Dans le respect absolu de nos valeurs absolues,
Au sommet de l’Echelle des Valeurs,
Comme cadre suffisamment large…
« La reconnaissance du droit à la vie et à l’existence
Dans le respect de chacun et de tous «
1 - Replaçons l’argent à sa vraie place, comme « moyen » et non comme « fin en soi »
Manifestons à toute espèce végétale, animale et humaine de la Planète Bleue,
« Respect et Légitimité ».
Chacun dispose, sans concession aucune, de tous biens utilitaires et existentielles, issues des ressources planétaires et du génie humain, matérialisés par le labeur communautaire, pour garantir et maintenir
« Bien-être, santé, culture et pérennité de toutes les espèces planétaires »…
2 – Édifions la « Hiérarchie Humanitaire »
La « Liberté Individuelle », la liberté de disposer de son « Capital Vie et Existence » de par son appartenance à la grande « Terre Mère Nourricière », trouve ses limites dans le respect du « Bien Communautaire ». Ce « Bien » englobe tous les représentants vivants, aquatique et terrestre, végétaux, minéraux, animaux, connus et inconnus du système planétaire.
C’est plus large que le SMIC comme conception !
En d’autre terme, l’humain a « le Droit et le Devoir » d’exprimer son génie, ses aspirations, ses convictions, ses capacités, ses performances dans tous les domaines requis par le cadre de ce Concept.
Ce cadre est formé et garantie par des Représentants Hiérarchiques qui en ressentent la Vocation et qui inspire la Considération dans les domaines requis, sans pouvoir jamais remettre en question le « Concept Humanitaire Planétaire ».
Ces représentants ont toutes latitudes pour maintenir le cap dans ce cadre, et ainsi imaginer et expérimenter le « Génie Communautaire » qui sert ce « Concept ».
N’est-ce pas ce que pratiquaient implicitement nos ancêtres du néolithique ?
Nos ancêtres le pratiquaient de façon instinctive, intuitive, parce qu’ils avaient conscience implicitement de leur précarité face à ce monde mystérieux…
Maintenant, nous avons percé beaucoup de mystères et nous pouvons établir ce « Concept Humanitaire », parce que nous sommes conscients de nos ressources infinies, éclairées par le génie de l’Esprit, rare et bizarre de l’ « Humain »…
Deux simples « mesures » pour rétablir le « sur mesure » qui n’empêche pas
D’observer « de la mesure » dans son rapport à l’Autre, au Différent ...
Nous devons sortir de ses actions solidaires et solitaires,
Ciblées, palliatives, frénétiques, expiatoires et éphémères,
Au bénéfice d’une « Vue d’Ensemble » pour « un Effet d’Ensemble »,
Et libérer les réseaux d’échanges …
La suite de mes écrits sur ce sujet sont à votre disposition…
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