Tu ne peux savoir combien je suis heureux de lire ton dernier message car ne je ne pouvais pas me résoudre à croire que tu puisses être mesquine au point de vouloir m'exclure. J’arrivais ici ce matin avec quelques pensées provocatrices dans le but de te faire réagir. Et l'Odalixe que nous connaissons tous ici ne pouvait que réagir à ceci :
Le silence est lâche quand il cache un esprit mesquin voire pervers.
Le pervers se soustrait au dialogue pour imputer le conflit qu’il créé à « l’autre », et pour jeter le discrédit sur « l’autre ».
Il n'y a jamais de communication directe avec « l’autre » car « on ne discute pas avec les choses ».
La communication du pervers en société est insidieuse, elle se cache toujours sous un masque de bienveillance.
(Marie-France Hirigoyen)
Je sais cela pour l'avoir vécu.
Tu as réagis avant cette provocation et je ne doute plus de la bonne Odalixe que je reconnais. Nous avons tous nos susceptibilités, nos travers, mais c'est la premières fois que je le découvre chez toi. C'est ce qui fait que nous sommes humains.
Jacquot n'est pas parfait et il est prompte à réagir aux travers qu'il croit reconnaitre chez d'autres, il s'essaye à le faire avec un humour sans doute maladroit, et il s'en excuse auprès de Mariélo et tous les autres qu'il aurait pu froisser.