Mes premiers souvenirs d’une possibilité d’écriture remontent aux alentours de mes onze ans. Allongé sur le sol de ma chambre, je recherche avidement le terme Togo dans le dictionnaire.
Je recopie sur une feuille la présentation de ce pays qui en même temps de me faire voyager, me donne le sentiment assez difficile à décrire d’une possibilité d’écrire. Mon grand-père paternel tout comme ma grand-mère maternelle, paysan·e·s vendéens tenaient des carnets de terrain de manière très régulière décrivant autant leurs activités quotidiennes, que les faits liés aux commerces.

