Selon cette idée, le rythme d’accroissement de 1 % par an soit 350 à 400 000 nouveaux logements répond à peine à la création annuelle de nouveaux ménages (par unions, séparations et migrations). Le marché n’offre aucun débouché à la demande de ceux qui en ont le plus besoin, les 4 millions de mal-logés. Pouvoirs publics, associations, bailleurs sociaux et promoteurs, tous s’accordent qu’il faut construire. Et l’industrie du BTP qui emploie plus d’un million de personnes, n’est pas en reste pour soutenir cette politique.

